chapitre 20: en découdre.

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point de vue externe

Le marionnettiste avait fait mouche, que c'était prévisible. il attendit à l'abri dans l'obscurité que sa proie ne vienne à lui. Pendant se temps, Alizée courait à travers les rues de Beacon hills sans savoir ou elle allait.

Alizée, je dois allé chercher de l'aide, ne t'inquiète pas.

- Tu pars?! s'exclama la jeune fille en panique.

Je suis vraiment désolé, mais seul je ne peux rien faire.

-Derek! S'écria-t-elle en prenant un tournant serré. Le loup s'évanouit dans l'ombre tandis qu'elle continuait sa course.

Enfin elle s'arrêta. Elle reprit son souffle en regardant ou elle avait atterris. Elle était dans une minuscule cour encadré par des bâtiments désaffecté. Une bouche d'égout à ses pieds dégageait une odeur de poisson en putréfaction et de viande périmé. Soudain, le marionnettiste sortit de son ombre et la jeune fille écarquilla les yeux d'effroi. Elle réprima à grand peines le haut le corps qui le submergea à la vue de cet homme. Ce dernier sourit face à sa réaction.

il s'approcha de Evans qui ne pouvait pas s'enfuir.

-Je n'ai pas peur de vous. Dit elle courageusement.

Tu devrais pensa t il.

- Ha oui, et pourquoi? Répondit il agressivement.

Le marionnettiste perdit son sourire. Comment avait elle entendu ça?

- Je peux lire dans les pensées. Et les votre débordes de votre tête comme une cascade. Alizée venait de découvrir son don à l'instant et se dit que ça pouvait être plus qu'utile. Elle devait surement ça découverte à l'urgence de la situation.

C'est impossible!

- Si ça l'ai. Dit elle.

Hé bien si tu peux lire dans ma tête comme dans un livre ouvert, sache que tu va mourir.

- Et qui l'exige?

Tu t'en fiche.

-Non.

Si.

-Non.

Ne joue pas à se petit jeu avec moi. Je pourrais bien décider de te livrer en plusieurs morceau.

Elle ne répondit rien et le marionnettiste retrouva son sourire, qui découvrit sa bouche entièrement édenté.

C'est bien se que je pensais.

- Qui êtes vous?

On m'appelle le marionnettiste. Je suis celui qui joue avec les fils de vos vies. pensa-t-il en ricanant.

- Et qu'est ce qu'on attend?

La voiture qui te conduira à ta mort.

- Sympa. Je me demandais puisqu'on doit attendre, je pourrais pas avoir un café?

Le marionnettiste se replia dans l'ombre.

- Ça vous ferais du bien à vous aussi vous savez. Vous êtes aussi pâle que la mort.

Tu ne crois pas si bien dire. Entendis t elle. Elle frissonna et retint ses larmes. Elle n'avait aucune idée de se qu'elle allait bien pouvoir faire.

un mouvement sur la droite attira son attention mais le marionnettiste ne sembla  rien remarquer.

Sans préambule, Lydia apparut près d'Alizée.

- Mais qu'est ce que tu fais?!

- Je viens vous aidez!

- Non, si il te touche avec ses fils, tu sera à sa merci! Vas-t-en ! Elle pouvais voir plus loin dans la tête de son ravisseur qu'il ne le pensais et elle savait exactement qu'elle était son "métier".

Trop tard...

Alizée eu juste le temps de voir un jet de magie noir fusais vers Lydia. Cette dernière pourtant dans un mouvement innocent l'évita.

Le marionnettiste sortit de l'ombre et commença à chanter une étrange mélodie, une mélodie envoutante.

- Mais qu'est ce que tu fais là?!

- J'ai sentis quelque chose...

- Tu veux dire que tu as sentis la mort?

Lydia ne lui répondit pas mais le regard qu'elle lui jeta suffit à Alizée pour comprendre.

Le marionnettiste joua plus fort et Alizée se demanda bien ce qu'il essayait de faire.

- Pars! Lydia eu juste le temps de faire un pas en arrière qu'un berger allemand gigantesque lui barra le chemin en montrant les crocs. Il fut bientôt rejoins par une horde de chien des rues aux gueules écumantes.

- Je vais peut être rester finalement.

Demande lui qu'elle sont ses dernières prières, car je n'ai pas besoin d'elle. Et si elle est inutile.... Un sourire sadique s'étira sur les lèvres de l'horrible ravisseur.

- Lydia, ces chiens ne sont pas dans leurs états normales, et sans vouloir te faire peur, ils vont te tuer.

- Merci, ça me rassure.

la jeune fille rousse regarda les chiens un par un et tomba à la renverse en poussant un cri quand un d'entre eux lui sauta dessus. Son bras droit était devant elle pour la protéger, mais elle savait que ce Husky n'en ferais qu'un bouché. Alizée regardait impuissante son élève se faire dévorer.

Hérétiques (tom1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant