Hérétiques (tom1)

chapitre 25: L'invitation

Chers amis, on se rapproche dangereusement de la fin.....

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Une semaine s'écoula, au cours de la qu'elle la vie reprit son cours. Elena préféra repartir dans son appartement, malgré les protestations de Derek.

- Tu peux vivre sans moi quand même, à moins que tu préfère que je te tienne par la main? Dis je en plaisantant.

- Bien sur... Répondit il en fermant le coffre de sa voiture, remplit de mes affaires.

Le lendemain, j'arrivais anormalement à l'heure dans mon propre cours.

- Aujourd'hui, nous allons parler de la  diversification génétique et diversification des êtres vivant. Je me lançait dans un discours précis avec de nombreux détails et les élèves se mirent immédiatement à noter. Je souris, en voyant qu'il avait bien compris mon fonctionnement.

Je remarqua pourtant au fond de la salle quatre élève que ne notait pas, et qui discutais.

- Monsieur Stilinski, je vous dérange?

- Heu non madame désolé nous étions en train...

- De discuter? Complétais je.

- Non pas du tout, nous parlions combien c'est important dans la vie de savoir ce que c'est que le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique. Dit il d'un ton faussement polie et désinvolte, ce qui était de l'insolence à l'état pur.

- Sachez, pour votre gouverne, que nous venons de changer de chapitre. Et je n'aime pas l'insolence dont vous faites preuve. Il sembla pris de cours mais retrouva vite son sourire.

- Hé bien j'expliquais justement à Malia ce qu'elle n'avait pas compris sur le chapitre précédent.

- Pas du tout. Répliqua Malia en regardant bizarrement Stiles.

- Mais si! Insista-t-il en lui envoyant un signal du regard. Scott se racla la gorge pour tenter de reprendre la main peine perdu.

- Désolé madame on va se taire...

- Je l'espère bien. Ha, vous n'oublierez pas votre classeur pour l'heure de retenue que je vous donne ce soir de seize à dix sept heures. Tous les quatre.

Ils me dévisagèrent d'un regard qui disait, "Ho Elena la Sorcière qui sort avec le mec le plus dangereux au monde qui se trouve être plus ou moins notre protecteur ne pourrait elle pas être juste cool?" Et je les dévisagea d'un regard qui disait, " Je suis votre professeur strict et ferme qui ne tolère pas l'insolence". Même si j'étais réellement une sorcière qui sortait avec le mec le plus dangereux au monde qui se trouvait être plus ou moins leur protecteur.

Le reste du cours se passa dans le calme, et j'eus enfin l'attention de tous mes élèves. Quand la classe sonna, les quatre élèves collés sortirent en trainant des pieds. J'avais l'impression de retrouver une vie à peu près normal. Peut être en avait on finis avec toutes ces histoires d'enlèvement et d'apocalypse... Même si je savais que bien évidemment mon destin ne s'était pas encore déroulé, malheureusement. Et puis Cora était toujours porté disparus, ce qui était une énorme source d'angoisse. J'accueillis ma prochaine classe le sourire au lèvres et repris mon cours. La journée se passa aussi normalement que possible, malgré le faites qu'avec mes vingt trois ans, certains dernière année me prenais pour une élève redoublante. Ce qui faisait que la plus part du temps il me draguait. Je soupirais en en rembarrant encore un. Ce fut vite seize heures, et je rejoignis une permanence pour attendre mes élèves en retenus.

- Ha, vous voilà. Je vous en prie asseyez vous, vous allez pouvoir reprendre les cours que vous n'avez pas noter ce matin.

- D'habitude on copie sur Lydia. Cet simple phrase jeta un voile de tristesse dans la salle où on se trouvait tout les cinq. Lydia était toujours à l'hôpital.

- Mme Martins se trouve malheureusement dans l'impossibilité de vous donner ses cours, qu'elle n'a elle même pas en sa possession. Donc aujourd'hui, vous allez copier à partir de moi.

Je repris mon discours du début de matinée. Ils se mirent tous à copié et je récita comme un robot. Mon esprit s'évada de cette salle, et je pensais à tout le chemin parcourus depuis ce début d'année. J'étais une sorcière. Ça, c'était vraiment dur à digérer, surtout en pensant au conséquences que ça avait engendrer. Sans compter que désormais, ma "prophétie" c'était réellement déclencher, et je me rendais à peine compte que l'avenir de milliers de gens reposait sur mes épaules. Soudain, une odeur acre de fumée me remplit les narines. Scott Malia et moi on plaqua notre main sur notre nez.

- Vous la sentez vous aussi?

Scott et Malia hochèrent la tête.

- Il y a peut être un incendie. Je me suis dirigé près de la porte mais quand j'ai voulus l'ouvrir, elle était verrouillé.

- Ce n'est pas normal. Ai je dit aux quatre élève qui me regardaient perplexe. J'ai sentis quelque chose autour de mes chevilles, et j'ai vite remarquer que c'était de la fumée noir. Elle c'était infiltré par l'aération ainsi que l'interstice de la porte. Je ne cria pas, ça aurait était inutile. Par contre Kira monta sur une table en criant au bord de la crise de nerf;

- C'est quoi ce bordel?! Scott tenta de défoncer la porte, mais on remarqua vite que c'était impossible.

- On va mourir! Dit Kira.

- Calme toi, personne ne va mourir. Répliquais je en doutant de mes paroles.

La fumée emplit vite la pièce, nous aveuglant complétement.

- Fermez les yeux! Ordonnais je. Je sentis une présence mais je ne pouvais pas agir. et puis, aussi étrange que cela puisse paraître, un vent chaud me fouetta le visage. J'ouvris les yeux très méfiante, et constata que la fumée était repartis. Mais elle avait laissé sur mon bureau une lettre avec mon nom écrite dessus à l'encre noir.

Tout le monde semblait allez bien, malgré la peur qui emplissait toujours le regard de Kira. Personne ne savait ce que ça signifiait. J'attrapais la lettre d'une main tremblante et la lut d'une traite. Le loup garou et le coyote garou captèrent immédiatement ma peur et mon angoisse après cette lecture.

- Je suppose que la colle est terminé? Demanda Stiles.

-Oui. Dis je d'une toute petite voix. Je n'étais pas enclin du tout à plaisanter.

- Qu'est ce qui se passe? Demanda Scott.

- Les Hommes qui ont tenter de m'enlever, ils ont Cora. Ils veulent m'échange contre elle.

Personne ne répondit, et même Stiles perdit son sourire.