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Vendredi 27 juillet.

J'entends la porte d'entrée claquée, étant donné que nous sommes vendredi et que Léna finit de bonne heure j'en déduis que c'est elle.  

- J'suis dans la cuisine j'ai fais des cookies ! 

- J'espère ils sont bons.

Je me retourne et vois Quentin, qu'est ce qu'il fait là même ? Je ne lui ai pas parlé depuis la dispute en boîte et je ne compte pas le faire maintenant. 

- C'est bon Sasha arrête de faire la gueule je me suis excusé je sais pas combien de fois. 

Je ne lui réponds pas et sors la dernière fournée de cookies du four.

- Bon vas-y ce soir tu te mets en bombe je t'emmène quelque part.

Je me retourne vivement et lui lance un regard interrogateur, son visage s'illumine et un air amusé prend place sur celui-ci.

- Ah tout de suite ça t'intéresse, se moque t-il.

Je lui tire la langue et nettoie la cuisine. Il s'installe sur un tabouret et me regarde son téléphone rivé sur moi.

- Tu fais quoi là ? 

- Bah rien, je supervise le nettoyage.

- Il est fou lui. Quentin si tu m'as mis sur snap j'te castre.

- Bon bah tout mes potes vont le savoir, dit-il tandis qu'il manipule son téléphone.

- Wesh t'es pas sérieux ? T'as qui en amis sur snap que moi je connais ? 

- Les gars de L'entourage.

- Ok j'vais te niquer.

- Attend ce soir pour ça.

Je lui lance un regard noir tout en me retenant de rire. Ça me fatigue de pas savoir resté énervé contre lui. 

- T'as eu des nouvelles d'eux ?

- Ils sont bloqués sur mon téléphone et mes réseaux sociaux.

- Je pensais pas que tu le ferais.

- Si.

- Tu tournes la page ? 

- Pas du tout je pense à eux dés que je m'ennuie parce'que je me dis qu'il aurait fallut d'un d'eux avec moi pour pas que ça arrive et mon téléphone est remplit de photos de nous.

- Supprime les.

- T'es fou toi je suis pas rendu à ce stade là wesh.

- Bref faudra que tu te sapes bien.

- On va où ? 

- Tu verras. 

Je lève les yeux au ciel qu'il me fatigue ce garçon. Léna rentre une trentaine de minutes plus tard tandis que son frère part pour aller se préparé.

- Vous allez au resto ? 

- A ce qu'il m'a dit ouais.

- Pourquoi ? 

- J'en sais rien, répondis-je en haussant les épaules.

- C'est bizarre.

Sur les coups de dix huit heures je décide d'aller m'habillé.

Sur les coups de dix huit heures je décide d'aller m'habillé

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