Chapitre quatorze : Un Nouveau Jeu Commence

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Note de l'auteur : Wow ! Déjà le chapitre 14 ! Merci de me suivre encore !
J'ai juste une question un petit peu bête XD Y en a-t-il parmis vous qui habite à Strasbourg ? Voilà X)

Bref, bonne lecture !

Vous savez quoi ? J'en ai marre.

Si je devais me réincarner, je voudrais être un caillou. Au moins, personne n'essayera de me trancher la gorge ou de me flinguer une balle dans la tête. Je n'étais (pour une fois) pas attaché sur une chaise mais juste enfermé dans une cave, genre film d'horreur. Franchement, entre nous, ma vie est devenue beaucoup plus chiante qu'avant. Genre j'ai rien demandé ! Là, j'avoue que j'accueillerai l'aide de n'importe qui. Et même de... « lui ». Non, non, faut pas abuser. Et Jimin peut même pas me sauver. Quand je dis ça, j'ai trop l'impression d'être un putain de gosse à qui on aurait volé sa peluche. Je ressentais comme de la peur et de la colère, accompagnés d'un soupçon de stress. Allez, Jung Kook, il y a sûrement un truc ici qui pourra te sortir de ce trou ! Ouais bah t'es gentil, mais il fait complètement noir ! Bon, peut être qu'avec un peu de chance, je vais trouver l'interrupteur. M'enfin...

Je me levais donc des marches sur lesquelles j'étais assis depuis déjà un bon moment. Et comme on m'a confisqué mon portable, je ne pourrais pas vous dire l'heure qu'il est...la déprime. Puis, à l'aveugle, je parcourus la pièce à la recherche du petit boitier.

- Putain...il est où ce truc à la con ?! Aïe !

Bordel ça fait mal ! Quelques pas et paf ! Je me prends une porte ! Attendez, non c'est pas une porte...c'est une armoire ? Hein ?

Avec précautions (et délicatesse) j'ouvrais la grande armoire. À l'intérieur (grâce à un tout petit rayon de lumière) je pouvais distinguer pas mal d'objets. Alors, qu'est-ce qu'on a là... Un fouet...Des menottes...Des rubans...Une muselière...Des tenues bizarres en cuir... Oh non.

Soudain, j'entendis le petit *clic* qui signalait que la porte venait d'être déverrouillée. Je regardais derrière moi et pu voir qu'un de mes ravisseurs avait pénétré dans la pièce. Ok, alors ce sont des amateurs du SM. Il faut VRAIMENT que je trouve un moyen de sortir !

- Jeon Jung Kook. Tu vas payer pour ce que tu as fais.

- Putain de merde ! Mais qu'est-ce que vous me voulez à la fin ?! Criais-je en m'avançant vers l'homme.

Je m'arrêtais brutalement dans mon geste quand je vis un flingue pointé vers mon ventre. Ah, il veut aussi que je meurs lentement en plus ce couillon ! Pardon, je m'emporte.

- Allez, emmenez le les mecs.

- Vous foutez quoi oh !
Ça suffit bordel !

Sans plus me retenir j'empoignais par le col celui qui s'avançais vers moi. Il me regarda avec surprise avant que je ne lui souris et l'envoyai à terre d'un coup de tête. Voilà, ça c'est fait.

- Ah nous deux maintenant, p'tit couillon.

- À ta place, je ne ferai pas ça.

Il claqua alors des doigts et au moins cinq hommes apparurent. Trois d'entre eux étaient équipés de flingues tandis que les deux autres portaient des barre de fer. Ah, ouais...on sort le grand jeu !

- Bordel...

Ils passèrent alors derrière mon dos et menottèrent mes mains de façon à ce que je ne puisse plus rien faire. Puis l'un deux colla le bout de son pistolet contre ma nuque. Tss, c'est toujours plus facile quand on a cette merde entre les mains. On vous respecte, limite si c'est pas sucer pour avoir la vie sauve. Au final, c'est ce truc qui souligne la faiblesse des hommes. Le tireur jubile de son pouvoir tandis que les victimes le craigne et lui baise les pieds comme de gentils petits esclaves. Moi, je ne suis ni fort ni faible enfaite. Je suis plus du genre à fermer ma gueule et agir s'il le faut. Bref, content d'avoir de vous avoir connu.

Donne Moi Un Nom ( VKOOK )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant