Donne Moi Un Nom ( VKOOK )

Chapitre vingt-huit : I'm here

Note de l'auteur : Yo ! Ça fait longtemps pas vrai ? Désolé. C'est juste que, je sais que vous ne voulez pas que je ressente ça mais...voilà, je ressens une espèce de pression. On me demande des chapitres pour cette fiction et c'est normal, mais j'essaye aussi de finir les One-Shot que j'ai commencé mais quand je vois que des gens ajoutent ma fiction dans une liste de lecture intitulée « Terminée » je me demande des fois si je ne devrais pas tout arrêter et prendre du recul. Je ne compte pas abandonner cette fiction ni les one-shot mais cette impression de « pression » me pèse un peu et des fois ça me blesse. Je ne veux pas vous décevoir, mais en ce moment avec les examens c'est dur de continuer à écrire. Si vous voulez savoir ce que je ressens, je vous invite aussi à voir le petit pavé que j'ai fais sur le mur de mon profil. Peut-être que vous comprendrez, je ne sais pas. En tout cas, je vous serais très reconnaissante de ne plus me poser des questions comme « Quand sort le prochain chapitre ? ». Ça me fait vraiment plaisir car ça prouve que vous aimez ma fiction mais c'est à double tranchant car l'angoisse de vous décevoir et la pression que je ressens augmentent. Voilà j'ai fini XD

Sur ce, bonne lecture ! ~

- Non...Comment tu-

- Jung Kook, pour qui tu te prends ?

Je n'en croyais pas mes yeux. Devant moi était assis Taehyung, soit le gars qui se trouvait à New-York il n'y avait même pas un jour. Mais comment il m'a retrouvé ? Et surtout comment a-t-il su que j'étais retourné en Corée (du Sud évidemment) ? Bon, pour le moment hum...il n'a pas vraiment l'air très content... Il était entrain de me lancer le même regard que celui de Chorong quand j'avais fais une connerie. J'en ai fais une ? J'ai vraiment eu tort de sauver mon plus précieux ami ? Celui à qui je dois tout ? Non, pour moi, j'ai eu raison et je ne le regrette absolument pas. Ah non mais moi je m'en fous qu'il soit une personne importante ou mon amant. Jusqu'à preuve du contraire je suis encore libre de bouger mon cul.

- Sortez s'il vous plait. Ordonna-t-il froidement tout en continuant à me regarder. (Wow il cligne même pas des yeux...Je tente un duel de regard ? Non, c'est pas le moment là...)

- JAMAIS ! Qu'est-ce que tu vas lui faire espèce de sale bâtard ?! Cria Jimin en s'approchant de lui.

- Yoongi, Jin.

Yoongi s'approcha alors un air désolé sur le visage et empoigna Jimin (avec ce Jin) par le bras et le tira dehors. Le nain se débattait en vain criant à Tae' de me laisser tranquille. Puis quand la porte claqua, un cri surpuissant retentit. Il arrête jamais de gueuler c'est pas possible.

- Jung Kook...

A l'entente de mon prénom, je me retournais lentement vers lui pour finalement le voir se lever et se rapprocher de moi. Il arborait un air furieux sur le visage et son souffle assez rapide m'indiquait qu'il n'était...pas très content, oui on peut dire ça comme ça.

Je me contentais de rester droit sans bouger (comme ma...Non j'ai déjà fais cette blague), trop stressé à l'idée de ce qu'il allait me faire subir. Un coup de poing ? Une claque ? Oui bon ok, j'ai déconné pour la bonne cause ! Donc je mérite clairement pas qu'il abime mon visage d'ange !

- Quoi ?

- Comment ça « Quoi ? », tu te fous de ma gueule ou quoi ? Non mais ça va pas bien de partir comme ça sans me prévenir ? Je ne t'ai jamais donné l'autorisation de me quitter !

Ah bon ? Parce qu'il faut que je demande l'autorisation pour aller sauver quelqu'un ?

- Tu ne m'aurais jamais laissé retourner en Corée pour aller secourir le seul ami que j'ai !

- Ce n'est pas quelqu'un d'important. Il n'aurait pas été une grande perte.

A sa dernière phrase, je lui assénais un magnifique coup de poing dans son visage, le faisant chanceler vers la droite. Il se tint la joue, cachant la magnifique marque rouge que j'avais fais apparaître. Quel connard... « Il n'aurait pas été une grande perte. » ? Sérieusement ?! Putain, le gars il a jamais eu de meilleur ami ?! Un frère ?! Non, c'est vrai que Monsieur est trop égoïste pour s'occuper réellement des autres à part moi. Je suis la seule personne dans son univers de merde c'est vrai. Pardon, mais j'ai aussi une vie ! De merde oui, mais j'ai une vie ! Et lui il en a rien à battre. Clairement pas.