Zaïm- À la recherche du bonheur

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T'es mon bijou
J'suis fou d'toi je veux mon bisou 🎶

PARIS

Le temps passait à une vitesse impressionnante, ça faisait deux semaines que je cherchais Aya sans relâche, j'avais tout essayer, je suis aller voir ses anciennes fréquentations, les anciens bars ou elle traînait avant, et je me rends compte que je ne la connaissais pas du tout. Je ne savais pas qu'elle avait une sœur muette, pour être franc je ne savais même pas qu'elle avait de la famille, chaque jour un peu plus j'en apprend sur elle.

J'ai tout essayer pour essayer de la retrouver et toutes mes pistes ce sont avérée fausse, bien entendue, j'ai demandée à Lyna de se renseigner, j'ai finit par comprendre ce qu'elle à fait, elle voulait protéger son père parce que c'est la seule famille qu'il lui reste depuis la mort de sa mère et même si ça n'excuse rien, la famille c'est ce qu'il y à de plus chère. Mon père avait quitter l'hôpital, notre relation à changer, on se parle sans se regarder de travers ou même être froid, il y toujours une certaine gêne, mais la haine et la rancœur on disparue, il à besoin de nous, et nous serons là.

Comme je l'ai dit, Lyna me servait bien, Aziz pense toujours que je ne suis au courant de rien, il continue de lui donner des directives, il n'y à pas plus intelligent que celui qui fait semblant d'êre idiot et cela, lui, il ne l'a jamais compris. Je comptes biens découvrir toute la vérité, j'était entrain de monter un dossier en béton contre lui, la seule façon d'être sur qu'il souffrira c'est de l'envoyer en prison pour le restant de ses jours.

AYA

C'était devenue une routine, quelque chose d'habituel, dont on ne se passe plus, je me levais le matin je traînais et le soir venue je me transformais en Leila, ma mémoire me faisait de plus en plus défaut, il m'arrivait même de me regarder dans le miroir et de me demander qui je suis, j'avais l'impression d'être dans un cauchemar, tout ce que je vivais, tout ce que je voyais je me demandais si c'était réelle, je me suis même demander si j'avais réellement accoucher, si j'ai réellement eu un bébé, j'en ai parler à Stella, qui m'a confirmer que tout cela n'était que le fruit de mon imagination.

Ne me demander pas pourquoi je lui en parler, mais je me sens tellement seule, tellement abandonné, livré à moi même, je n'ai personne avec qui parler, personne pour m'aider, me réconforter, j'ai trouver ce réconfort toutes les nuits, dans les bras d'hommes différents.

Le seule moment ou j'ai l'impression d'exister, le seule moment ou je me sens vivante c'est dans leur bras, ils me regardent, me parlent, me font sentir vivante, rien avoir avec l'acte sexuel puisse que je ne suis pas encore " habiliter" à avoir des rapports, pour le moment je me contente de les distraires, les faires boires les boissons les plus chères de la maison, et le temps d'une soirée je ris, je parles, je me sens regarder, je suis intéressante, il n'attende qu'une seule chose, m'emmener dans leur lit, mais ce n'est pa grave, parce que c'est mon seule moyen d'exister et si pour cela je dois me vendre, je le fais.

J'ai le vague souvenir que ce n'est pas la première fois que cela m'arrive, parfois je fais des rêves, ou des sortes de retour en arrière je ne sais pas comment définir tout ça, il y à toujours un homme dans ses rêves, il me souri, il me parle, il me regarde puis plus rien, le néant un énorme trou noir. Tout devient noir et à la seconde ou j'ouvre les yeux, à la seconde ou je reprends mes esprit, je me demandes si je l'ai vraiment vécu, si cet homme à compté pour moi, si j'ai compté pour lui. Il n'y à rien de plus frustrant que de se demander si on n'est pas entrain de devenir complètement fou, on se pose une tonne de questions, des questions sans réponses.

Au final j'ai finit par tout raconter à Stella et contre tout attente elle m'a écouter attentivement, sans me couper et au final elle m'a dit.

- Tout cela est le fruit de ton imagination, tu te sens seules alors tu te crée des fantasmes, crois-moi si tu avais accoucher je l'aurais su et je te l'aurais dit. Oublie toutes ses choses, oublie le passer et pense à l'avenir que tu as ici, j'ai de très grand projet pour toi Leila, fais-moi confiance. Pense à autre chose.

LYNA

Je regardes autour de moi, une demi-heure plus tard la voiture de Zaïm entre dans le parking, je parcours la distance qui m'éloigne de lui, une fois devant sa voiture je souffle puis monte dans celle-ci.

- Lui: Qu'est-ce que t'as ?

- J'ai entendu Aziz parler d'une maison close.

- Lui: Une maison close ?

- Oui...C'était flou, j'ai pas trop compris mais tu devrais chercher là-bas, peut-être que tu y trouveras Aya.

- Lui: C'est une mauvaise piste, pourquoi Aziz prendrait le risque de la garder en vie ? Si sa se trouve elle est déjà morte depuis longtemps.

- Tu devrais essayer pour etre sûr. Et si ça fonctionne pas et bien tu seras fixer.

- Lui: Je vais réfléchir.

ZAIM

- Il est ou Naïl ?

- Azhar: Dans sa chambre, qu'est-ce que t'as ?

- Comment ça ?

- Elle: T'as pris un coup de vieux. T'as des problèmes ?

- Non, j'ai aucun problèmes, t'inquiète.

Je la laisse avant qu'elle ne me pose plus des questions et montes à l'étages, Naïl était bien dans son ancienne chambre au téléphone, sûrement avec sa meuf, il raccroche une fois m'avoir vu.

- Lui: Qu'est-ce qui t'amène ?

- J'ai besoin de ton aide.

- Lui: T'as fais quoi encore ?

- Rien...J'ai besoin que t'ailles à une adresse.

- Lui: Pourquoi ?

- Il y à peut-être quelqu'un là-bas, et il faut que je lui parles.

- Lui: Pourquoi tu le fais pas toi même ?

- Tu penses vraiment que si je pouvais le faire je serais là a te demander ?

- Lui: [...]

- Stp Nail, oublie pas tous les coup que je me suis pris à ta place.

- Lui: Mddr t'es sérieux ?

- C'est pas un plan de merde, tu dois juste savoir si la personne que je cherches est là-bas.

- Lui: Et c'est qui cette personne ?

- Aya.

J'ai trouver un peu de temps alors voici la suite comment vous voyez la fin de l'histoire je sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que encore une fois ça va vous surprendre.

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Thugyh©