Chapitre 23

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Holden comme je l'imagine, juste au dessus. Avec un peu de barbe en plus peut-être😏

HOLDEN

Je tourne en rond. J'en ai marre d'être enfermé dans ce foutu bureau à attendre qu'il arrive. J'appelle ma secrétaire.

- bonjour monsieur, que puis-je pour vous.

- Bonjour. J'aurais besoin que tu coupes les caméras dans mon bureau, ainsi que les micros. Bip moi des qu'il passe devant toi.

- Bien monsieur. Ah... attendez, je le vois qui arrive.

- Très bien.

- J'ai fait ce que vous m'aviez dit.

- Merci.

Et je raccroche.

La porte s'ouvre.

- salut frangin ! Dit-il en me narguant.

- Ne m'appelle pas comme ça. Nous ne sommes pas de la même famille. Rappelle toi que tu n'es que le fruit d'une erreur.

- C'est pas très cool ça mon petit Holden.

- Je n'ai pas tout mon temps. Venons en au but.

- Tu as des choses à faire ? Une copine à voir peut-être ? Enfin... un peu volatile cette copine dit donc ! Il ricane.

Je le regarde avec dégoût. Je sais que je n'ai pas le droit à l'erreur. Pas cette fois. Je dois garder mon self-contrôle.

- j'aimerais savoir si tu comptes continuer à parler aux journalistes. Juste pour pouvoir me préparer.

- Tu ne crois quand même pas que je vais te le dire ? Il a l'air hilare.

- Tu n'as pas vraiment le choix.

- Laisse moi rire... enfin bon j'ai exhaussé son vœu, tu ne peux pas m'en vouloir.

- De quoi tu parles ?

- Eh bien, c'est une... prostitué. Et la on peut dire que je lui ai fait une publicité d'enfer !

Bon finalement je peux faire un petit écart pour cette fois. Apres tout personne n'en saura rien... j'ai fait éteindre les caméras et les micros.

- laisse la en dehors de tout ça ! Elle se contre fout d'être médiatisé. Ne la mêle pas à nos conneries.

- Aurais-tu un faible pour elle ? Il rigole a plein poumon. Pas à moi Holden, tu es incapable d'apprécier qui que ce soit. Regarde papa, tu ne lui es même pas reconnaissant de tout ce qu'il a fait pour toi !

- Ne part pas sur ce sujet ! Tu es juste dégouté que notre père ne t'ai porté aucun intérêt. Tu n'es que le batard sorti du ventre de la putain de mon père.

Le calme après la tempête hein ? Je crois plutôt que c'était le calme avant la tempête.
J'enchaîne avant qu'il ne la ramène.

- alors maintenant tu vas m'écouter attentivement. Si jamais je devais être amené à te redire ce que je vais te dire, j'aurais bien peur que je ne reste pas aussi calme que je le suis maintenant.

Pourquoi pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant