Chapitre 25

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Une douleur insoutenable lui tiraillait le ventre. Cette douleur lui faisait peur, pour elle comme pour le petit être qui grandissait en elle. Seulement, attacher par les poignets sur un matelas de fortune, elle ne pouvait rien faire. Elle entendait simplement le bruit sourd de ce qui semblait être des explosion, et écoutait sans bruis le son stressant des gouttes d'eau qui creusaient le sol de terre, et qui, venaient briser le lourd silence qui habitait le lieu ou elle était retenue.

Un lieu sordide aux mur de pierres, aux étagère de vieux bois et au dessus de sa tête, ce qui pouvait ressembler a un plancher. Dans une niche creusait dans la pierre, pendait soutenus par des clous, de vieux outils rouillé. Le froid et l'humidité habitait la pièce. Elle grelottait en ne pensant qu'a lui.

Sa notion du temps commençait a lui joué des tours, mais il lui semblait que cela faisait déjà une semaine qu'elle était enfermé ici. Cela faisait donc une semaine qu'elle l'avait laisser seul. Teresa ne pouvait cesser de s'imaginer comment il passait ses journées. Connaissant les peurs de son homme, elle se doutait qu'il avait laisser tomber le thé pour le café et qu'il ne cessait de s'acharner, durant des heures, a trouver une piste viable et plausible.

Un horrible mal de crâne lui embrumait l'esprit mais pourtant il pensait a elle. Il venait de passer sa septième nuit seul. Une nuit ressemblant a toute les autres depuis une semaine. Une nuit sans dormir, vivant de café, et quelque fois, de quelques verre de whisky. Une nuit ou quelques larmes étaient venues et où de nombreuse pensés noires l'avait fait chavirer. Il passait des heures entière a chercher quelque chose, un moyen de la trouver. Il gardait toujours sous ses yeux, certainement comme signe de réalité, la lettre qu'elle avait chiffonné avant de disparaître.

Depuis une semaine il refusait les appels de son père et refusait de prendre contact avec ses beaux-frères, par peur de leurs réactions. mais en y pensant bien, les deux frères de Teresa pourrait peut être comprendre ce que lui ressent. Toute cette peine, cette douleur, cette colère et cette rage que lui ressentais a son égard tout comme a l'égard de ceux qui ont fait ça.

L'homme qui était assis dans le canapé et qui tenais son téléphone dans une main, fixait la bouteille remplie de ce liquide brun posé sur la table basse. Apres quelque minute, il détourna les yeux vers son téléphone et composa le numéros de Stan dont Teresa avait noté le numéros.

Il devait s'en rendre compte, il avait besoins d'aide...


Un nouveau départ avec elle...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant