35- ASTIMOS PASTEÏS.

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Le temps sembla se figer. Un colosse se dressait devant moi Brun aux cheveux longs, curieusement vêtu . Je compris.

Pas le temps de savoir la suite. ADLER détourna son attention, effrayé, tandis que le gars m'envoya de l'autre côté de la pièce, au pied d'Adler, qui en une fraction de second, et prit par le cou.

Au même moment, les gars dégainèrent leurs armes, mettant en joue l'individu en question, le sommant de poser Adler et de se rendre.

D'un geste, l'homme nous projeta tous aux quatre coins du salon tombant sur le mobilier. On se relève tous avec du mal, prenant nos armes, le mettant en joue. L'homme soulève ADLER en le questionnant, puis l'envoie à mes pieds. Il s'avance. Ces yeux sont rubis. Je le somme de s'arrêter. Je tire même. Il avance en poussant un cri bestial. Il fait face à ADLER en une seconde, puis, d'un coup sec, m'envoie sur le canapé. J'ai mal partout.

Soudain, il est plaqué contre la porte d'entrée. Il se bat. Il se libère. Un combat commence, dans un vacarme assourdissant. Et là, on le retint à nouveau, mais à la gorge. Un nom se fait entendre : GEALACH ! j'essaie de comprendre. ADLER vint vers moi, m'aide à me mettre debout. La pièce est s'en dessus dessous. On regarde la scène. Un corps momifié retint un autre corps. Un brouillard noir apparaît sous eux. Le corps momifié reprend vie.

– GEAL ?!

Elle me sourit. Son corps avait changé, ces cheveux ondulés en gaie étaient magnifique, ces yeux ocre, canines acérées. Nous fîmes face au gardien.

– Merci, me dit-elle. Tout- est- fini, insista-t-elle sur chaque mot.

Elle tendit une main à ADLER, qui, comme hypnotisé, vint vers elle. Sans trop comprend, je m'assis sur le canapé, observant la scène. Elle ouvrit la porte. ADLER sortit. Elle vint vers moi, me caressant la joue.

– C'est ici que tu recommences, me fixait-elle. Ne te retourne pas, mais sache que je serais toujours là.

Je la fixe. Puis ...plus rien.

Je me réveille dans mon canapé. La tête à l'ouest, et l'appart en vrac. Une soirée bien arrosée ? Oui, sans doute. Ma vie reprend...

GEALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant