Ambre Métamorphe

premier bal

La jeune fille attendais son cavalier dans un salons de forme circulaire avec un canapé rouge ron à son milieu. Les mur était blanc avec des motifs beiges et rouges. Des miroirs et des dorures hornaient les alcôves régulières qui entouraient la pièce. Loucas avait expliqué à la danseuse que ce salon était autrefois réservé au riche bourgeois, qui venaient régulièrement à l'opéra. Les dames laissaient leurs affaires aux domestiques vérifiaient leurs tennues dans les grands miroirs, puis montaient les escaliers pour aller se montrer aux autre. Ambre était d'ailleurs en train de vérifier sa tenu et décida de se faire pousser ses canines afin de paraître plus animale.
Lorsqu'un homme arriva derrière elle. Ame se retourna et souris, le vieux professeur était déguisé en renard lui aussi, il portait un costume ancien orange beige et blanc. Avec une queue de renard et des oreilles assortie.

-Et bien mademoiselle Leroux nous avons eu la même idée.

-Effectivement monsieur Renard nous sommes les animaux les plus futés de la nuit. Dit la jeune fille et les deux rigolèrrent de bon coeur.

-Et que faite vous ici seul? Demanda le vielle homme une fois son fou-rire passé.

-J'attend mon cavalier et justement il arrive.

Un superbe chat roux arriva en dandinant légèrement sur le sol. C était loucas.Ambre lui avait demandé de l'accompagner car c'était sa première réception et quelle avait peur de faire des faut pas. Lorsque l'audition avait s'était terminé le chat lui avait fait visiter sa "maison" et salle par salle il lui avait raconté l'histoire de l'opéra.

-Salut comment tu vas? Tu sait que ça ma manquée de ne pas pouvoir te parler. Dit le chat en montant sur le canapé rouge.

-Toi aussi tu m'a manqué tu est le chat le plus classe que j'ai rencontré et le plus beau. Répondit Ambre mentalement. Après avoir découvert qu'elle pouvait communiqué avec les animaux elle avait essayé de rentrer en contacte avec tout les chien, les chat, les rats et les souris qu'elle avait rencontré.

-Votre cavalier est le chat de l'opéra? C'est très inhabituel.

-Oui je sait professeur, mais il est adorable avec sont noeud papillon. Répondit la jeune fille, puis elle suivie le chat jusque dans la salle de réception.

-J'aime bien ce vieux, il a l'aire sympas. Dit le chat très franche.

-Il l'est, moi aussi je l'aime bien. Tu est très élégant ce soir. Répondit Ame avec un sourire.

-Merci je voulait te faire plaisir.

-Ho tu est adorable.

-Ouais, je sait, je sait, je suis à croquer.

Ils arrivèrent dans le halle puis dans une grande de salle décoré de partout par de l'or du marbre et de toute sorte de matériaux hors de prix. Tout était sublime. Il y avait beaucoup de personne présente dans la salle et la jeune fille ne savait pas ou aller. Lorsqu'elle vit un Nathan qui discutait avec une autre personne elle décida d'aller le retrouver.

Pdv Nathan.

Je discutais avec mon père, lorsque je la vie. Elle avait l'aire de flotter au dessus du sol avec sa chevelure rousse qui hondulait dans son dos. Un sourire sublime sur ses lèvres rose illumine son visage et ses yeux pètillaient d'une lueur adorable. Elle s'approchait de moi et une fois quelle arriva à ma hauteur je lui sourie et lui dit:

-Tu superbe mais dit moi tu n'aurait pas grandi d'un seul coup? J'adore la taquiner, et elle fait de même c'est un petit jeu entre nous que Julien ne pourra jamais comprendre.

-Merci du compliment, et oui j'ai grandi grâce à ses talons haut. Me répondit elle, je regardais et ses chaussures et je compris. Elle avait aux pieds des escarpins avec un talon de plus de 10 cm. Mais comment fond les filles pour marcher avec ça ce n'est pas possible. Je me souviens que Jérôme m'avait mis aux défis de marcher avec les talons de ma tante et que j'avais passé mon temps à tombé. Et pourtant elle, elle avait la classe avec.

***

-Nathaniel peut tu aller me chercher un verre de champagne fit le père du jeune homme. Celui ci s'exécutait laissant la danseuse avec son père, Alexander Dumas.

-Mademoiselle Ambre je suppose, fit Mr Dumas sur un ton neutre.

-C'est cela et vous vous êtes le père de Nathan ?

-Effectivement comment avez vous compris?

-Et bien vous lui ressemblez énormément, vous êtes tout les deux grand avec la même carrure et les même cheveux, il n'y a que les yeux, vous avez des yeux vert anis et lui bleu océan mais c'est tout.

-Vous êtes observatrice, intelligente et plutôt mignonne, je ne comprends pas pourquoi mon fils ne parle pratiquement jamais de vous. Cela était bien évidemment un mensonge Nathan parlait très souvent de la jeune fille mais, le père de celui ci était près à tout pour arranger ses affaires.
Cependant la jeune fille c'était rendu compte que Mr Dumas n'était pas sincère avec elle, mais elle se tue et ne dit rien à part :

-Si vous le dites mais je ne peut rien y faire...

Nathan revint et l'orchestre commensa à jouer ce qui donna une idée à Ame.

-Et dit moi Nathan pourrait tu venir danser avec moi s'il te plait fit elle avec un sourire charmeur.

Le père de celui ci était abasourdi, ce n'était jamais les filles qui demandaient aux garçons à danser. Le violoniste lui ne savait pas quoi faire alors il répondit qu'il ne savait pas danser, mais la je ne fille n'avait pas l'intention de lâché le morceau et retorquait

-Mais moi si je peut te guider c'est pas compliqué.

-Et t'a pas plutôt envie de danser avec Julien

-Je danse avec Julien tout les jour s'il te plait? Je n'ais jamais danser avec mon ami.

-Bon d'accord.

Elle l'entraînait dans une valse endiablée ou ils n'étaient ni trop près ni trop loin loin de l'autre.

Pdv Julien.

Je parlais avec mon père d'Ambre je souhaitais lui faire rencontré lorsque je la vie enfin. Elle était en train de dansée, elle avait une tête de plus et un sourire magnifique sur ses lèvres légère et pulpeuse. Des oreilles de renard dans ses cheveux et canine suffisait a la déguisé. Elle portait une robe légère qui dévoilait ses jambes sublime. Mais elle dansait avec lui. Il portait des oreilles de loup un costume noire et une queue noire, il était déguisé en loup et dansait avec elle. Cela me mie dans une rage que je ne laissait pas paraître.