Ambre Métamorphe

reception et délicieux dîné

Ambre avait passé le repas coincé entre le père de Nathan et Mr Renard ce qui annonçait une soiré très ennuyante mais finalement elle avait parlé d'architecture et de l'opéra avec le professeur et le faux-cu c'était joint à eux avec un certain intérêt. Les plat eux était exquis tout comme les différent vin. Loucas lui avait disparue lorsque les petites fille qui le caressaient se sont misent en tête de l'habiller avec des foulards. Nathan et Julien eux étaient à une autre table avec les parents du dernier, ils avait l'aire d'avoirs une conversation plutôt animé. Ensuite Julien proposa à la jeune fille de danser et elle accepta cependant aux boue de 4 morceaux de musique elle prétexta d'avoir mal aux pied et elle préféra se retiré pour aller se repoudrée le nez et prendre l'aire. Elle s'approchait d'un balcon lorsqu'elle vit le garçon déguiser en loup parler aux chat.

... tu sait, je n'ai aucun problème avec les minou je suis juste plus chien que chat, mais j'aime bien les chats aussi.

-Je suis certaine qu'il ne t'en tien pas rigueur. Dit Ame en souriant. Nathan lui sursauta de peur puis se calma en voyant la danseuse. Son visage pris une teinte rouge.

-Ambre! C'est que toi, qu'es que tu fait ici ?

-Et bien je viens d'échapper à Julien et prendre un peu l'aire. Et toi tu fait quoi? Demanda la jeune fille.

-Et bien je câline, et je tape la discute a cet adorable chat.

-Bien sur je te crois... Loucas tu peut me dire la vérité sil te plait? Ajouta la jeune fille qui n'était pas dupe.

-Il était jaloux de ne pas pouvoir danser avec toi et de ne pas être ton cavalier. Dit le chat, mais lorsqu'il vit au loin une petite fille avec des ruban dans ses petites main il ajouta: je te laisse, désolé mais si je veut rester en vie je doit me cassé. Et le chat parti rapidement se cacher laissant Ambre et Nathan seuls.

-Tu sait tu n'est pas un si mauvais danseur. Fit la jeune fille se dirigeant vers un balcon.

-Tu trouve ?

-Bas oui, tu ne m'a pas marcher sur les pieds, je ne suis pas tomber et j'ai bien aimé. Les deux amis rougirent et détournèrent la tête pour contempler Paris de nuit.

-Ha bas t'en mieux parce que vue qu'on est ensemble en cour d'art du spectacle, je crois qu' on vas devoir danser ensemble quelque fois. Répondit le violoniste.

-Oui Mr Renard m'a prévenus.

La danseuse tourna la tête vers son ami et fut surprise, il était beaucoup plus près d'elle qu'elle le pensait et il la regardait avec des yeux remplis de désire. tout d'un coup elle ne savait plus ou elle était, elle ne savait plus comment elle était arrivé ici il n'y avait plus que les yeux et les lèvres du garçon présent devant elle. Ils se rapprochaient l'un de l'autre et une parti de la jeune fille avait envie d'aller plus loin, de l'embrasser, de le toucher. mais une autre lui indiquai de fuir, que ce n'était pas le bon moment, qu'elle ne pouvait pas, qu'elle ne devait pas, que c'était dangereux . Et avant qu'elle ne puisse faire quelque chose il recula, s'excusa et parti ailleurs la laissant seul.

Elle s'effondra par terre et respira un bon coup, elle ne pleura pas, elle resta figer sans rien dire sans rien penser, puis lorsqu'elle eu trop froid elle décidât de revenir dans la salle de balle. Elle fut tout de suite rattrapé par Julien qui la présenta à son père et à sa mère.

-Père mère je vous présente Ambre Leroux ma partenaire de danse.

-Bonjours mademoiselle c'est avec un grand plaisirs que nous vous rencontrons.

-Oui Julien nous a beaucoup parler de vous.

-Pour moi aussi c'est un grand plaisir.

Ame fut happé dans la conversation et ne revis Nathan que de loin et le violoniste ne la regardait jamais dans les yeux. Mr et Mme Lescure les parents de Samantha et de Julien était très clicher, il parlaient beaucoup d'eux, et avait des bijoux extrêmement cher et précieux qu'ils vantaient sans arrêt.

-Vous ne trouvez pas honteux ces filles du peuple qui mettent des mini jupe ou des short trop cour? Demanda Mme Lescure a Ambre

-Si! Bien évidement comment peut on porter aussi peu de vêtement? Fit Ambre sur un ton outrée, même si c'était un mensonge car elle portait souvent ce genre de tenue en été avec ses amis.

Toute la soiré se passa comme cela et heureusement à minuit la danseuse réussi à s'échapper et à partir de cette soiré pompette. Elle quitta les filles trop maquiller, les bijoux trop gros et précieux, fini les faux rires horribles et les lèches boules soumis. C'était partit pour une soirée d'horreur, de peur, de cris et surtout de fous rires sincère. Elle se retrouva seul dans la pièce ronde aux canapé rouge elle enleva sa jupe et la fourra dans un sac qu'elle avait emmener. Elle sorti de ce sac un short assez cour avec une queue de renard elle raccourcie ses cheveux et se fie un chignon. Et quant elle allait sortir elle vie Nathan assit sur les marches du grand escalier. Elle alla le rejoindre et s'assit a coté de lui. Lorsqu'il la vit habiller comme ça il écarquilla les yeux.

-Je sort avec des potes dans le monde des pauvres, voici un aperçue de moi. Répondit celle ci avant qu'il ai eu de dire un mot.

-J'ai l'habitude t'inquiète e ne dirait rien à la mère de Julien

-Merci fit la jeune fille, mais comment il avait fait pour entendre il étai beaucoup trop loin non ?

-Tu a passer une bonne soiré? Demanda t'il sans la regarder dans les yeux;

-Oui ça vas mais j'ai été à des fêtes beaucoup plus sympas.

-Je te comprend sur ce point.

-Nathan pourquoi tu laisse tout le temps les gens décider pour toi ?

-Ambre ça ne te regarde pas

-Si ça me regarde car tu est mon pote. Je n'aime pas quand tu joue au bourge t'es différant tu est limite lèche boules avec les plus riche.

-Ambre arrête ça, c'est faux tu t'imagine des choses. Le garçon commençait à s'énerver car il savait que c'était vrais et il avait honte, il ne pouvait pas lui dire la vérité, elle ne comprendrait pas. Ame elle était abasourdit elle n'en croyait pas ses oreilles.

-Si tu le prend comme ça je me casse. Et elle partit en courant, lui restait assis il ne chercha pas à la rattraper. Il avait, gagner Julien avait gagner, il s'était éloigner d'elle, mais elle allait en souffrir.