chapitre 4

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Le prof arriva et les filles partirent s'asseoir à leurs places. London n'était toujours pas revenus. Il fit une entrée magistrale en défonçant la porte.

Prof : London mais ça va pas, tu prends de très mauvaise base.

Je cour telle une furie vers le bureau du prof avant que London n'est eu le temps de dire quoi que ce soit.

Jordan : monsieur, je vais vous expliquer pourquoi il fait tant de mauvaises choses dés le premier jour. (Chuchotant) je lui ai promis plein de choses s'il faisait tout ce que je lui demandais (fin de chuchotages) alors vous comprenez le punissez pas !
London : qu'est ce que tu lui as dit la rouquine !
Jordan : rien mon brave juste la vérité !

Je passais un bras autour de ces épaules, attendant une quelconque réaction. L'autre abruti lui ne comprenais plus rien. Le prof baissa la tête désespérer, je souris persuader que j'avais gagnée mais au contraire.

Prof : London , tu me désespère, cette jeune fille est nouvelle, on ne doit pas ce servir des gens come ça, sa ne se fait pas London, tient pour que tu retiennes la leçon, deux heures, pauvre jeune fille, ne vous inquiéter pas London et pourtant gentil, mais il est manipulateur, il vous a surement demandé de le couvrir et de dire ça veuillez l'excuser.
London : merci rouquine, t'es trop mignonne !
Jordan : quoi non mais non je vous assure, tu... rah tu m'énerve !
London : je t'avais prévenue, ma réputation est fondée, ouh t'es déçus, hein t'es déçus, eh oui parce que grâce à toi mon plan à marché, eh oui tu voulais te venger, oh tu ne vas pas me faire un caprice comme tout à l'heure.
Jordan : je vais te tuer, sale pervers.

Il partit en courant et je le suivis. C'est vrai qu'il avait raison, je n'ai pas sa réputation, ça risque d'être dur de gagner. Alors que j'étais plongée dans mes pensées il s'arrêta et ce retourna d'un seul coup. Je ne l'avais pas vu et je le percute une fois de plus.

Jordan : mais ça va pas de t'arrêter comme ça.
London : je te facilite la tâche tu devrait être contente, non ?
Jordan : c'est nul si c'est toi qui m'autorise à te frapper.
... : shahahahahaha c'est mignon n'est ce pas Jordan !

Au son de sa voix, je sentis l'adrénaline parcourir tout mon corps, mon corps se figea et ma respiration s'accéléra. C'était lui, oh non London, dans quoi je t'ai embarqué. Je prix mon courage à deux mains et essaya de formuler une phrase à peu prés correct et sans marquée dans ma voie une quelconque trace de peur.

Jordan : ça na rien de mignon, qu'est ce que tu fais là ?
... : hier tu n'es pas venue, pour tant je te les avait réclamer, rapidement, je croyais te l'avoir dit.
Jordan : je ne les ai pas encore, mais j'y suis presque.
London : arrête de te cacher dans l'ombre et sort de là, t'es qui toi ?
Jordan : arrête ça sert à rien.

Il me prit à la gorge et me plaqua contre le mur. C'était bien lui, son visage, cette voix lui appartenait bien. Steve était venue ici pour me chercher.

Steve : je t'avais demandé de me les rapporter rapidement, serais tu une incapable, veux-tu que je la prenne ! C'est ça tu veux que j'aille la chercher, hein ?
Jordan : non je t'en supplie, ce soir, ce soir je viendrai, ce soir, je te le promet, je t'en supplie, ne va pas la chercher, elle n'a rien fait.

Soudain Steve me lâcha, ses pieds quittèrent le sol et je vis derrière London qui avait l'air, légèrement irritée, légèrement. Il le soulevait par la nuque. Je tombais à terre essayant de retrouver une respiration à peu prés normale.

London : tu te prends pour qui pour lui faire ça, t'es qui, et qu'est ce que tu lui veux ?

London le lâche et Steve rigole. Il se relève et mit un poing dont il connaissait le secret dans le ventre à London. Celui-ci valdingua à l'autre bout du couloir, laissant derrière lui une trainer de sang.

I Need You Où les histoires vivent. Découvrez maintenant