Si j'avais su qu'appartir de ce moment où tu m'a bousculée, je ne passerais plus un jour sans toi, j'aurais rigoler. Oui, j'aurais sûrement rigoler, rigoler comme une grosse débile .
Si j'avais aussi su ce que je te ferais endurer je n'aurais même...
Mon réveil, ne sonnait pas, je me risque à ouvrir un œil, puis l'autre. C'est qu'une fois mon cerveau fonctionnel, que je sentis des douleurs resurgir. Je regarde mon réveil qui m'indiquait 5h45. Je me lève, n'ayant aucun envie de dormir, et me dirige devant mon armoire. Je m'assois devant avec difficultés et observa son contenue avant de me décider sur ma tenue du jour. Un pull orange, un jeans troué , un bonnet gris et des Alexander McQueen .
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Je préfère mettre un pantalon pour cacher mes bleus, même s'il risquait de faire très chaud. Ma sœur se lève entendant du bruit et vint vers moi tout sourire. Elle me prit dans ses bras en me caressant les cheveux.
Hassane : dis-moi, petite sœur, où tu as dénichée un beau gosse pareil ? Jordan : quoi ? Le pervers ? Hassane : celui à la casquette noir. Jordan : ouais, le pervers ! Hassane : et que lui vaut ce nom si flatteur. Jordan : bah je suppose que j'ai le temps de t'expliquer.
Elle me prépara des tartine à la confiture de fraise avec du jus de pomme pendant que je lui racontais toute les mésaventures avec l'altesse pervers. A la fin de mon récit, elle sourit mais ne bougeait plus. Elle se dirigea vers la porte comme un robot.
Jordan : tu vas où ? Hassane : je vais le tuer.
Elle ouvre la porte et je me jette sur elle pour qu'elle n'aille pas lui refaire la face. Je la tire de mon côté pour qu'elle rentre mais elle essayer d'avancer. Une voix nous stoppa, une voix qui a mon avis aurait mieux fait de ne pas ce faire remarquer.
London : salut rouquine, et Hassane !
Hassane le fixa et une aura noir l'entoura , comme dans les dessins animés . Elle prit un sourire affreux qui me faisait des frissons dans le dos. Elle me donna mon repas du midi, enfin elle me l'enfonça dans le sac en continuant de le fixer.
Hassane : tiens, tiens, tiens, tu es justement celui que je voulais voir. London : ah... ah bon ? Jordan : ah, ah, ah aller, aller, on y va le pervers, je ne suis pas sur que ma sœur soit d'humeur bisous Hassane, à ce soir !
London ne comprit pas et Hassane le fusilla du regard jusqu'à qu'on ne soit plus dans son champs de vision. Nous nous dirigions vers le lycée et plus je le regardais plus cette silhouette me revenait en tête.
London : elle avait l'air bizarre ta sœur je me trompe ?
Je m'étais arrêté. Il se retourna vers moi l'air interrogatif. J'avais les poings sérés et mes yeux cachés par mes cheveux. Je pris mon courage à deux mains et lui demanda.
Jordan : c'était toi hier soir ? London : soit plus précise. Jordan : tu sais de quoi je parle. London : comment je le saurais, où ? Jordan : sur le port. London : oui j'étais sur le port hier. Jordan : après le cours de danse. London : oui je me suis rendu sur le port hier après le cours de danse. Jordan : tu... sur le bateau . London : oui j'étais sur un bateau . Jordan : tu m'as sauvée. London : oui, c'était moi hier . Jordan : alors c'est toi qui me suivais ? London : oui. Jordan : jusqu'où tu m'as suivi ? London : ça tu le sauras bientôt. Jordan : je ...merci. London : quoi ? Jordan : merci de m'avoir sauvée je te remercie, mais à l'avenir ne le refais plus c'est dangereux !
