Je ne sais pas trop comment je suis arrivée dans ma chambre à la villa mais j'y suis. Il me semble que je suis aller autre part avant mais je ne m'en rappelle plus c'est le trou noir. London est installé sur mon lit et assis et me regarde. Je n'ai toujours pas récupérée l'emprise de mon corps et ces désirs me ronge toujours de l'intérieur embrasant mon corps. Je commence à enlever mes chaussures et à défaire la fermeture éclair de ma robe, mais Jordan, stop, il y a London qui est en gros bug en train de te mater ne fais pas ça... ce qui s'ensuit fut encore plus gênant. London se lève et dans un geste vif, me plaque contre le mur. Il tient mes poignets fermement et plonge son regard dans le mien. Il lâche mes poignets et entoure ma taille de ses bras. Il remonte sa main jusqu'a ma nuque et me fait un baiser dans le cou. C'était mort et je le savais, j'ai succombé. Il était trop près beaucoup trop près... tout était propice à la réalisation de mon désirs. J'entoure son cou de mes bras, il relève la tête et m'embrasse en me plaquant contre le mur. J' accroche mes jambes autour de sa taille et il me tient pour que je ne tombe pas. Il arrache mon élastique, détachant mes cheveux que j'avais soigneusement préparée. Cette sensation me submergeais, mon corps n'était pas satisfait, il en voulais plus toujours, encore et inlassablement plus. Lui était déjà torse nus ce qui émoussait encore plus mes désirs. Mon corps était comme.. ce n'était plus le mien, je ne contrôlais plus rien, il était guidée par mes désirs et rien d'autre. C'était plus fort que moi, mais cette sensation était, indescriptible. Je passe ma main dans ses cheveux et fus surprise de voir à qu'elle point c'était agréable de le faire. Ils étaient doux et somptueux, je fait des aller et retour dans ses cheveux sans jamais m'en lasser. Pour me tenir il avait positionnée sa main sous mes fesses, la Jordan normale l'aurai brûler vivant pour ça, mais là, ça me faisait plaisir... vraiment plaisir, c'était étrange. Tous ça était étrange vraiment étrange. Tout ces sentiments qui me submergeaient toutes ces sensations qui se bousculaient dans tout mon corps et mon cœur qui s'amusait à accélérer comme un malade. De l'air mon dieux. Il me pose sur le lit et j'enlève ma robe, NON, mais qu'elle crétine. London est encore plus bourré que moi je dois m'arrêter à tout pris avant que ça dégénère. Mais en y repensant ça à déjà dégénéré. Je le tire par la nuque l'obligeant à venir avec moi, bien qu'il ne ce fit pas prier. Je me met sur lui mon corps contre le sien et l'embrasse. Il passe sa main le long de ma taille et faut de simples aller et retour, mais il ne se doutais pas que ce simple gestes aller embraser encore plus mon corps. Il remonte jusqu'à ma tête et passe sa main dans mes cheveux les caressant, pas comme il en avait l'habitude quand je n'allais pas bien, là c'était tout autre chose, il était moins doux, mais ce n'était pas pour me déplaire, au contraire. Je n'arrive tout bonnement plus à me détacher de lui j'était aller trop loin pour m'arrêter, c'était trop tard , j'ai succombé comme une idiote. London inverse les rôle et je me retrouve sous lui il m'embrasse sauvagement et à partir de ce moments c'est le vide le trou noir.
Pdv London
Je suis où moi, tiens c'est Jordan , ah oui je me rappelle je suis bourrée et Jordan aussi. Mais qu'est ce qu'elle fait. Elle est en train d'enlever ces chaussures et s'apprête à enlever sa robe, je voulus la stopper en la plaquant contre le mur mais la proximité avec elle réveille en moi tout ces désirs qui était décuplés sous l'effet de l'alcool. Elle était trop prés de moi trop... je n'arrive pas à me retenir, c'était bien plus fort que moi, je n'ai jamais ressentis ça auparavant, même bourrée, avec aucune des autres filles ça ne m'étais arriver, ce sentiments d'insatisfaction d'en vouloir plus, de vouloir la serrer plus fort, de l'embrasser sans jamais la lâcher et ... je n'arrive même pas à croire que j'en suis venue à penser ça. Jordan n'est pas une fille qui le veux, elle est bourrée, il ne faut pas que je profite de ça faiblesse. Mais je n'arrive même pas à me stopper moi même, que dois-je faire, je ne sais plus. Elle ne m'aide pas vraiment en plus elle s'accroche à moi avec ses jambes, je suis donc dans l'obligation de la tenir, en positionnant ma main sous ses fesses. Mais je suis Mazo ou quoi, elle va me tuer !Attends voir elle sourie, non, pas possible, oh non je vais craquer il faut absolument que je retrouve l'usage de mon corps avant de faire l'irréparable.... Elle passe sa main dans mes cheveux et je fond littéralement, mon corps est pire qu'en feu, j'ai l'impression d'être un soleil tellement que je brûle d'envie. Ce sentiment est tellement fort, je n'ai jamais ressentis ça, ce sentiment me guidait, il me submergeait, me faisant succomber à tout mes désirs, que devais-je faire ? Je n'ai presque plus envie de résister, je dois le faire pour elle, mais si ça n'avais compris que moi, j'aurais continuer pour assouvir mes désirs. J'essaie de reprendre mon corps, de le contrôler de faire quelque chose. Je le sais que je ne peux rien faire mais je me persuade du contraire, j'essaie en tout cas. Je la pose sur le lit et elle enlève sa robe, la chose à ne surtout pas faire quand je suis dans cette état, déjà qu'en temps normal c'est limite, là je ne peut plus repartir et l'ignorer, pas après l'avoir vu en sous-vêtement. J'eu un léger moment de résistance qui succombe très vite au contact de sa peau. Elle me tire et je ne me fais pas prier. Je me retrouve sous elle et elle m'embrasse tandis que je caressais sa taille avant de remonter dans ses cheveux qui était imprégnées d'une odeur de noix de coco. Je l'ai sentis au plus profond de mes tripes, je l'ai sentis, à ce stade je ne pouvais plus m'arrêter, j'étais même motivée à le faire. Une partie de moi résiste toujours mais elle avait était ronger par l'alcool, et ne pouvais donc rien faire, ni même intervenir. Je renverse la situation et l'embrasse sauvagement. C'est à ce moment que la seule partit de résistance disparus laissant l'alcool tout contrôler. A partir de ce moment je ne me rappelle de rien, c'est le trou noir.
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I Need You
Teen FictionSi j'avais su qu'appartir de ce moment où tu m'a bousculée, je ne passerais plus un jour sans toi, j'aurais rigoler. Oui, j'aurais sûrement rigoler, rigoler comme une grosse débile . Si j'avais aussi su ce que je te ferais endurer je n'aurais même...