I Need You

chapitre 33

Je reviens toute contente avec mon bol de céréale, je me met entre les jambes de London et nous recouvre de la couette. Je place l'ordi juste en face de nous et remet la vidéo que nous avions débutés. C'était une pub... un pub de parfum qu'on a fait il y a de ça un mois... tout au plus. Ça fait bizarre de me voir ainsi. La pub commence et la première chose qu'on voit c'est MOI ! Merci je sais (applaudissements) enfin bon, je me rappelle qu'on a dû du refaire un bon milion de fois cette scène, car je m'extasier devant un flocon de parfum qui me faisait particulièrement rire. Pourtant sur la pub on avait l'impression que j'avais fais ça toute ma vie. Après m'être mis du parfum de la façons la plus chic que l'on puisse mettre du parfum, je peux voir un autre plan ou je suis dans une robe je dois dire magnifique. Elle est courte devant et finis en traine derrière. Tout le monde se retourne à mon arrivée et la se fut l'apparition de London qui me lance un regards bref. Ma voix off alors prononce ces mots en anglais "quand tout le monde est à mes pieds, la seule personne que je convoite et celle qui ne l'ai pas". J'arrive alors jusqu'à London et par magie il accepte une danse avec moi, un tango sensuel, qu'est ce qu'on a eu du mal à garder notre sérieux pendant cette séquence. J'avais tellement envie de lui sauter dessus que j'avais un rire nerveux, tout comme lui. On devait se soutenir du regards sans nous lâcher une seconde... ça va c'est facile, le truc compliqué c'est de ne pas l'embrasser. J'ai du même faire semblant que je voulais l'embrasser... ces types voulait ma mort. Une fois la danse finit... elle a durée que deux secondes à tout péter, seul les meilleurs moment on était gardée, j'effleure ces lèvres des miennes et me barre sans regarder derrière moi tel... une batarde. Ensuite on voit en gros plan en noir et blanc avec moi seul. Je tiens dans ma main le parfum et je commence à dire en anglais toujours "et quand il l'est, je m'en vais... mais il a était le seul à me rattraper." Et là on voit apparaître London qui vient m'entourer la taille de sa main. Il met sa tête contre mon oreil et je m'en rappel encore de ce qu'il m'a dit ce qui me fit sourire, bien que j'avais envie de lui dire " éloigne toi de moi espèce de pervers !" Mais bon ça l'aurais pas fait sur la pub. Mais le sourire que j'affichais était super jolie... ça portée à confusion. La pub se finit ainsi avec le "blason" de la marque. Je m'apprête à dire un truc mais là London la chose à ne pas faire il mange ma cuillère de céréale. Il voulais pas lâcher la cuillère et je me débattais pour la reprendre.

Jordan: arrête London !
London: Non, c'est trop bon !
Jordan : London déconne pas ça suffit !
London : non c'est trop bon pour que je cède !
Jordan : Arrête London !

J'entend des pas courir jusqu'ici et ...Jake rentre dans ma chambre... Jake ?!

Jake: qu'est ce qui ce passe ici, London qu'est ce que tu fais à Jordan....

On le fixe figés en pleine action de "c'est ma cuillère rends là moi". Jake nous fixe gêné... pour je ne sais quel raison. Je suis tellement hypnotisée par lui que je ne vois pas que London me pique une deuxième cuillère de céréale. J'essaie de lui arracher mais il la bouffe... On se battait pour récupérer, notre "trésors". Je tire de toute mes forces sur la cuillère pour la récupérer mais il est coriace le London il est pas prés de lâcher c'est moi qui vous le dit ! je finis par abandonner et lui laisser ma cuillère et bouffe tout mes céréale en une boucher tel une porki. Après avoir avaler ma bouché je fonce sur Jake... non pas à moitié à poile mais avec un tee-shirt à London qui est tellement grand qu'il m'arrive mis cuisse.

Jordan : qu'est ce que tu viens faire ici Jake... je suis tellement heureuse de te voir !
Jake : je viens pour le festival et je crois que j'ai louper un épisode entre vous deux.
London: comme quoi ?
Jake: comme te tuer peut être.
Jordan: je suis la seule à ne rien comprendre où...
Jake: qu'est ce que tu faisais dans le lit de MA JORDAN D'AMOUR !
London: on regardait une pub !
Jake: te fous pas de ma gueule.