Si j'avais su qu'appartir de ce moment où tu m'a bousculée, je ne passerais plus un jour sans toi, j'aurais rigoler. Oui, j'aurais sûrement rigoler, rigoler comme une grosse débile .
Si j'avais aussi su ce que je te ferais endurer je n'aurais même...
Les filles me fixait, attendant une réponse à toute leurs questions, mais au fond de moi, je savais très bien que je ne pouvais pas elles se contentent d'un petit désolée, enfin pas vraiment. Ce petit mot sembler à la fois les avoirs énervées par mon silence mais à la fois inquiéter par celui-ci. Nous rentrons en classe, et j'en oublie même de récolter des heures de colles et me fait devancer par London de 4h, enfin 6h si on compte celle d'hier que j'ai ratée. A midi Nitsa m'annonce quelque chose qui ne m'enchanta pas vraiment.
Nitsa : Jordan aujourd'hui on va manger avec tout le monde, donc aussi avec les gars. Jordan : mais pas de problème je rencontrerai de... Spencer : y a London. Jordan : hors de question, je vais manger toute seule aller mangée avec eux moi je ne mangerais jamais avec lui ! moi vivante jamais !
10 minutes plus tard.
Jordan : je vous déteste. London : tu parles à qui ? Jordan : à mes sois disant amis.
Me voilà, aux milieux de tout ces types que je ne connais pas, sur une table à manger. A coté de moi sont assise ces traitresse qui mon trainais jusqu'à la table, juste en face de ... roulement de tambour, de London, comme de par hasard. J'ouvre ma boîte à l'intérieur duquel réside un tube de Tabasco, du poulet et du rit. Je prends la cuisse de poulet que London regarde avec admiration. Pour le narguer je commence à en manger mais devient vite rouge. Je sens la viande enflammer mes papilles. Je me mis à crier tant ça me brulais. London en face rigolais, et j'eu un mal fou à avaler ce charbon ardent. Ma sœur avait un peu abusée sur les épices.
London : c'est pour ça que j'aime pas les épices, ça gâche le gout de la viande. On aurait dit un dragon.
A cette réplique je me jette sur lui, armée d'une cuisse de poulet et du tube de Tabasco, en le faisant tomber à la renverse. Je lui fis avaler un morceau d'un coup, il devint rouge et je vit presque des flammes sortir de sa bouche. J'étais allongé sur lui, tel une sadique, contemplant ce spectacle.
Jordan : c'est qui le dragon maintenant. London : de l'eau, de l'eau, de l'eau, de l'eau, de l'eau. Jordan : ouvre grand la bouche !
J'ouvris le tube de Tabasco et déversa son contenu dans la bouche du pervers. Épris d'une confiance aveuglante, ou désespérer, il avala le contenu sans réfléchir. Cette fois j'en étais sur je voyais des flammes sortir de sa bouche. Je rigolais à gorge déployé, fier de ma vengeance.
London : de l'eau...
Je me relevai et prix ma bouteille d'eau. Je me remis comme au début et mit le contenu de la bouteille, dans sa bouche. Il avala et soupira de soulagement.
Jordan : alors le dragon se sent mieux.
Il se releva en position assise ce qui m'obliger à en faire de même.
London : t'es vraiment une sadique ! Jordan : je sais !
Je me remis à ma place fier de moi et tout le monde rigolais surtout en voyant la bouche encore fumante de London. Il finit son repas en m'accusant d'avoir réduit à néant ses papilles. Il boudait dans son coin mangeant sa viande dont il ne sentait plus le goût. Autour de cette table, je fis la connaissance de Caleb, qui avait la fâcheuse mani de ce battre avec Nick, Alias petit blond . Ensuite il y avait Mike , avec sa casquette panda et ces yeux couleurs charbon, Frank, qui était baraquée, vraiment baraquée, Toby, avec sa coupe afros et ses mensonges à tout vas, et pour finir Matthew qui avait des cheveux châtain et des yeux caramel. Nous dûmes malheureusement quittée toute cette joyeuse bande, pour aller en cours. Je réussi à arriver en retard, mais pas à me faire coller. Je m'assis à côté de Nitsa et réfléchi à un plant. Je commence à ranger mes affaires et me lève. Je me dirige vers la porte suivit par le regard des élèves et du prof déconcertées.
Prof : eh bien mon petit chou, ou vas -tu ? Jordan : je sors ça me soule votre cour. Prof : à d'accord, tu viendras demain quand même sa me ferais vraiment plaisir mon chou.
J'étais abasourdi par la réponse du prof. J'entend un rire au fond de la classe qui m'énerva encore plus. Cet abruti le savait.
Jordan : ta gueule le pervers ce n'est pas marrant ! London : ah... si... si, si.
Je boude et partit à ma place vaincu, aucune heure de colle pour cette journée. Les deux heures passèrent vite et ce fut le moment de partir chez lui. Nitsa, Kendall, Spencer et Faith viennent me voir.
Kendall : tu viens avec nous on va en ville. Jordan : désolée les filles, mais j'ai autre chose de prévus. Toute sauf Faith : ah bon, c'est quoi ? Tu vas où ? Avec qui ? Jordan : je vais chez London, désolée les filles mais il me la demander avant. Spencer : tu... tu... quoi ? Tu vas chez London ? Mais quoi ? Comment je depuis quand... London : eh Princesse Rouquine tu viens ? Tu vas te perdre sans moi ! Jordan : impossible que je me perde, je connais le chemin par cœur.
Elles me regardent toute avec des yeux rond, surtout parce que j'avais dit que je connaissais le chemin par cœur. Je part en leur promettant de leur expliquer le lendemain. Sur le chemin vers sa maison je lui demande trop curieuse.
Jordan : qu'est ce qu'on va faire ? London : tu verras bien impatiente ! Jordan : je n'aime pas les surprises. London : je tacherai de m'en rappeler à l'avenir.
Je continue de bouder tout le long du trajet jusqu'à arriver chez lui. Enfin chez moi. Il se stoppa et m'ordonna d'aller chercher mon maillot de bain. Mon Maillot de bain?
Jordan: euh pourquoi? London: tu verras, va le chercher ou c'est moi qui vais le prendre. Jordan: tu sais pas ou il est! London: justement je pourrais te prendre autre chose, je pourrais me tromper ou confondre. Jordan: ok j'y vais !
j'alla chercher mon maillot de bain ainsi qu'une serviette (on c'est jamais) et redescendit.
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Sa maison était organisée un peu comme la mienne, mis à part la décoration sobre qui y régner. Il sauta sur le canapé comme un enfant de deux ans et attrapa un ordinateur portable. Il m'invite à m'asseoir mais étant toujours allonger j'eu une idée sadique.
Jordan : je peux t'écraser ! London : non !
Il se remet en position assise l'ordinateur sur ses genoux. Je m'assois à côté de lui, un peu déçus et attend qu'il m'explique le pourquoi du comment de ma présence ici.
