I Need You

chapitre 32

Et ça monte, et ça redescends, ça monte et ça redescends. Mon corps depuis une bonne demi heure maintenant ne cesse de s'éléver et de redescendre. Pour ma part je me concentre sur le regard perçant de Nitsa .

Jordan : c'est mort tu gagneras jamais !
Nitsa : comment tu peut en être sur, c'est moi qui vais gagner.
Jordan : ça jamais, impossible, on est bien plus fort !
Nitsa : ça c'est ce que tu crois, mais sache que votre équipe est misérable comparée à la nôtre.
Jordan : on est bien plus accordée et en harmonie que vous. Quelques secondes et vous serez à terre.
London : Jordan , tu parles comme ci c'était toi qui faisait tout !
Caleb: ouais c'est clair, c'est nous qui faisons tout !
Jordan/Nitsa : et non mais les deux là, vas y qu'ils se plaignent ! nous c'est le bateau depuis tout à l'heure on se plaint pas pour autant !

J'étais assise sur le dos de London et celui-ci faisait des pompes. Caleb en faisait de même avec Nitsa sur son dos. On finit par discuter de façons civilisé après avoir compris qu'ils étaient bien plus solide que nous le pensions. Toute notre classe nous observe et parie sur qui perdra en premier.

Jordan: c'est bien ce que je pensais, t'a pris du muscle petit pervers pendant ces deux mois !
London: en même temps, j'ai pas vraiment jouer aux échecs pendant ces deux mois.
Jordan : à vrai dire je m'en suis rendu compte... ben le premier jour, en même temps je pouvais pas louper ça.
London: et après c'est moi que tu traîte de pervers, non mais je rêve !
Jordan : ça marche que dans un seul sens, juste pour les mecs ! Non mais c'est vrai, c'est comme ta cicatrice, je pouvais pas ne pas la remarquer, ça m'est venue, ça m'a ébloui ça ma flasher... fin bref tu m'a compris !
London : je pensais que tu aller pleurer ou être choquée, mais non t'a pas réagis comme ça.
Jordan : j'aurais pu mais monsieur n'a pas réussi à ce contenir !
London: hey ! j'étais bourrée soit indulgente.
Jordan : ben raconte pas du caca, c'est pas de ma faute si j'ai pas pleurée, je l'aurais surement fait si tu avait étais plus patient.
London : j'ai anticipé ton potentielle chagrin et je t'ai réconforté !
Jordan : invente toit une excuse, mouais mouais.
London: c'est toi qui a suivis, je ne t'ai forcé à rien!
Jordan : te trouve pas d'excuse !
London: t'a envie de me faire chier là je le sens.
Jordan: Mouais, j'suis inspirée là, j'ai pleins de petits plans diaboliques pour te faire chier.
London : fais gaffe j'ai une imagination débordante !
Jordan : oui je m'en rappelle encore de cette négociation de une heure contre ma liberté.
London: c'était bien penser avoue.
Jordan: mouais, sans plus, peut mieux faire.
London: jalouse !
Jordan : hey le coup du truc gluant vert dans ta gueule c'était pas mal non ?
London: de 1 tu t'es fait aidée par Chris et de deux je t'ai fait un calin après donc tu a partagé ma souffrance en te recouvrant autant que moi de cette chose répugnante.
Jordan: fait tes pompes et tais-toi tu m'énerve !
London: à ça faisait longtemps que notre chère Jordan Waters ne nous avait pas fait de petit caprice.
Jordan  : Callate !
London: oh quand Jordan dis ça c'est qu'elle fait son caca nerveux.
Jordan: ferme là vieux pervers ou je saute sur ton dos, fais gaffe je suis cape !
London: je blaguais Rouquine, fais pas ça tu va me péter le dos.
Jordan : ah merde, c'est con ça en plus j'ai encore besoin de toi donc, je peut pas, flute alors ! Bon London je compte sur toi, tu lâche pas.
London : je peux encore faire ça longtemps je suis même pas fatiguée.
Jordan: frime pas trop non plus l'altesse.
Caleb: fatigué... je vois pas ce que ça veut dire.
Nitsa: bonjour je m'appelle Caleb et j'ai un égaux surdimensionner, malgré mon incapacité à retrouver ma propre chambre.
Caleb: arrête te moque pas je m'améliore.
Jordan: à tes souhaits.
Caleb: j'ai pas éternué !
Jordan: ah c'est pas possible, j'ai entendue un truc du genre "je me suis amélioré " et vu que c'est impossible j'ai supposée que tu avais éternuer.
Caleb: sorcière !
Jordan : mais oui c'est ça aller c'est pas grave !

Je commence à sérieusement m'ennuyer, j'essaye de trouver une position confortable sur son dos, mais... pas possible. Je finis par bouder, je montais et redescendais inlassablement ce qui commencer à devenir lassant. Et là arriva une personne que je n'avais pas forcément envie de voir car je sais que ça venue serais forcément porteur de mauvaise nouvelles. Le grand père de London venait de faire irruption dans notre salle de sport. Je me relève d'un coup et London alertée se relève à son tour. Caleb crie victoire mais se tue en voyant PapiLondon avec sa cape d'amiral.