chapitre 9

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Etant trop flemmarde pour traverser toute la salle pour aller jusqu'aux vestiaires des filles et poser mon sac. Je le pose dans ceux des garçons qui sont bien sur à l'entrer de la salle, chacal ! Nous profitons donc de la salle pour faire, et continuez notre chorégraphie. Nous passons plus de temps à nous fendre la poire qu'a danser mais nous réussissons tout de même à faire une chorégraphie. La musique qui s'enclenche à la suite sur son portable est rythmé ce qui nous donne l'idée de faire une impro. Me servent du rythme je me met à bouger en conséquences, toujours en harmonie et accord parfait avec la musique. Je me mets à tourner sur moi-même si vite sur j'en tombe. Mais pour éviter de m'écraser comme un flan j'écarte les jambes au dernier moment et avec l'élan rebondit et revient debout.

London : c'est de la triche moi je ne peux pas faire ce genre de chose
Jordan : ben vas-y surprend moi dans ce cas.

Il fait comme moi au départ, il s'accorde avec le rythme et commence. Il n'a pas vraiment la même style de danse que moi, le mien étant plus gracieux et féminin, normale je suis une fille, et le sien plus hip hop mais toujours fluide. Je m'assois avec ma bouteille d'eau et l'observe, je le regarde faire ces figures impressionnâtes et m'extasie comme une enfant de deux ans. Il s'arrête soudain en même temps que la musique, et quand elle reprend, je regarde attentivement ces mouvements et crache toute l'eau que j'ai dans ma bouche. Je manque de peu de m'étouffer.

Jordan : comment tu fais ça, on dirait les Twins.
London : c'est vraie, j'ai compris comment il faisait et avec un peu, avec beaucoup d'entrainement j'ai réussi à me l'appropriée.
Jordan : apprends-moi s'il te plait !

Je me lève et me met à côté de lui suivant ces pas, et ces instructions à la lettre. Tout le reste de l'heure il me montre comment faire. Ce n'était pas de la tarte mais une fois que j'eu compris le truc se fut plus simple. Nous repartons dans les vestiaires, et avant de repartir dans le mien je prend ma serviette et m'essuie le visage avec. London me l'arrache ce qui m'oblige à le suivre en courant dans les douches. Je le suis de prés mais finit par glisser (finalement il n'y a pas que les idiots qui glisse) et London a le malheur de se retourner pour voir ce qui avait fais un tel boucan. Ouais, quand j'étais tombé j'avais fais autant de bruit qu'un mammouth. Je le fauche et il tombe sur moi, en m'écrasant tel une crêpe, avec délicatesse bien sur. Notre glissade se stoppe en douceur et nous confirme la fin quand nos pieds touchent la paroi lisse soit le mur. Mais pour l'instant, cette glissade finit ou pas nous importe peu. Nous avons tous deux les yeux grands ouvert, le teint qui a virée au rouge, ne sachant que faire et les lèvres collées. Ne pouvant bouger, il se relève libérant mes lèvres, me laissant respirer.

Jordan : désolée j'ai glissé.
London : ce... ce n'est pas grave c'est moi qui t'ai fait courir.

Nous repartons aux sacs et je constate que j'ai oubliée ce pourquoi je courrais.

Jordan : ma serviette que tu m'as arraché, tu peux me la rendre... et mon soutif aussi, il était avec, s'il te plait.
London : et qui te dit que c'est moi qui les ai.
Jordan : tu me les as arraché.

Je prends son tee-shirt en otage le menaçant de ne pas lui rendre.

London : ce n'est pas cool.
Jordan : ça aurait était mieux si j'avais mis mes affaires dans mon vestiaire !
London : ouais mais j'aurai du attendre.
Jordan : Rho tu aurais pu m'attendre un peu.
London : au début, vu qu'on étais seul et que je savais pas si on avais le droit, je pensais le faire dans les vestiaires mais si on avais autant glisser comme tout à l'heure... oh c'est mignon tu rougie.
Jordan : tu peux parler l'écrevisse ! Bon aller rends moi mon haut j'ai que celui là !
London : tu pourras plus venir te baigner chez moi, à moins que tu viennes en sous vêtements.
Jordan : jamais !
London : je ne vois pas trop la différence.
Jordan : les sous-vêtements c'est plus transparents avec dentelle, et ça cache moins.
London : raison de plus pour ne pas te rendre ton maillot, ah j'ai bien fait de te le prendre.
Jordan : idiot.

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