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MAISON GRIEZMANN

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MAISON GRIEZMANN

OMNISCIENT

17 MAI 2014

16h13


     Le soleil était omniprésent sur la ville de San Sebastian. Le groupe d'amis se trouvait dans le jardin, jouant au football, encore. C'était plus qu'un métier, c'était leur passion et ils ne passaient pas, ou presque, une journée sans toucher un ballon. Après un long moment passé à l'extérieur, la chaleur les fit rentrer à l'intérieur.

     Antoine, Carlos et Yuri étaient installés sur le canapé, tandis que Geronimo se trouvait par terre, les jambes en tailleur et Iñigo était assis sur un tabouret de bar avec lequel il n'arrêtait pas de s'amuser. Il tournait sur lui-même en chantonnant des chants typiquement espagnol. On aurait dit un singe suspendu à un arbre, mais c'était Iñigo attaché à son tabouret.








Tu ne veux pas la boucler deux minutes, Martinez ?

Elles sont cool mes chansons.

Contrairement à ta voix.

On dirait une chèvre qui bêle.

Merci les amis, hein.








Il tourna une nouvelle fois sur sa chaise en baissant la hauteur, puis en la remontant. Il n'arrêtait pas une seconde. Il fallait lui enlever cette chaise des mains sinon elle allait être réduite en petits morceaux avant la fin de la journée. Il était pire qu'un enfant de quatre ans à qui il fallait confisquer des objets des mains.








Vous ne voulez pas aller boire un verre ?

T'as qu'à te servir dans la cuisine.

Très drôle, le Français, fit-il en levant les yeux au ciel. Il y a un nouveau bar pas mal à quelques rues qui vient d'ouvrir.








Finalement, ils avaient tous approuvé la proposition de leur coéquipier. Ils sortirent de la maison et le propriétaire ferma derrière lui. Ils vaquaient dans les rues de la ville espagnole, le soleil tapant sur leur peau. Il faisait vraiment chaud pour un mois de mai. On se serait cru en plein été.

     Les joueurs de football se retrouvèrent devant le fameux bar et entrèrent, déclenchant la petite sonnette accrochée en haut de la porte. L'endroit était accueillant et cosy. Le petit groupe se rendit au fond du bar et s'installèrent à une table libre. Ils commandèrent un verre et pendant que l'employé s'en occupait, ils débutèrent une conversation.








Alors quand est-ce que tu nous quittes ? Demanda Carlos au Français.

La semaine prochaine, si je me souviens bien vendredi.

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