Ma mémoire perdue-Tome 1

Chapitre 39: Conférence de presse

Bon déjà désolé si je n'ai pas posté mercredi, en fait comme je l'ai dit la dernière fois j'avais un stage à faire la semaine dernière qui ne me laissais que très peu de temps pour continuer à écrire et vu que dans ma zone c'est les vacances depuis vendredi dernier, le weekend, je suis partie en vacances avec ma mère. On est rentrée mardi soir mais j'avais rien eu le temps d'écrire donc j'ai fini d'écrire un chapitre d'une bonne taille jeudi soir mais j'allais pas le poster le jeudi alors j'ai attendu samedi.

2 jours plus tard

Le jour que la bleue attendait tant était arrivée. Elle se leva, enfila une chemise et un jean avec des simples talons. Elle se boucla les pointes et se maquilla légèrement. Avant de partir elle attrapa un petit sac en bandoulière. Le parfait look d'une journaliste. Elle courut, même si elle était en avance, jusqu'au lieu de l'interview. Elle aperçut l'immense bâtiment et sourit. Elle courut presque jusqu'à la porte et donna une fausse carte à l'entrée. Elle avait tout un tas de faux papiers maintenant. Elle avança et chercha à se frayer un passage comme les autres journalistes. Elle entendait la voix de son amie mais elle ne pouvait l'atteindre et ça la faisait enrager. Elle continua son parcours en se frayant un passage à travers les corps et atteint enfin le devant de la scène. Elle s'avança encore pour que Louise puisse la voir. La jeune femme avaient des cheveux noirs c'est tout ce qui la différenciait de celle d'il y a 8 mois. La bleue se demandait ce qu'il c'était passer mais revoir son amie était plus important, elle reporta donc ses questions dans un coin de son cerveau. Tous l'assaillaient de questions et des gardes du corps faisaient reculer les journalistes pendant que la jeune écrivaine montait sur la scène près du micro. Un homme aux cheveux gris argentés entra, cet homme avait l'air d'avoir 20 ans 30 maximum. Il avait un sourire oscillant entre le poli et l'amical. Il posa sa main sur l'épaule de Louise et salua les gens présents dans la salle, tous assis sur des sièges écoutant comme un prophète les mots de leur président. La bleue serra les poings en le voyant mais se retint d'aller le frapper, ça lui aurait apporté trop de problème et à peine elle aurait fait un pas qu'elle serait arrêté. Pourtant son but était tellement proche, il lui suffisait de tuer cet homme et elle et Louise était libres pourtant elle se contenta de serrer les dents. Elle continua de pousser et l'écrivaine tourna enfin la tête vers elle mais son visage ne changea pas comme si elle ne reconnaissait pas Levy. La bleue fronça les sourcils et le président tourna la tête vers elle à son tour. Il lui lança un sourire narquois qui la rendit furieuse. Elle partit en trombe de la conférence de presse et partit dans un hôtel pas loin pour la nuit. Ce soir, pas de mission.

Le lendemain, la bleue reprit son ordinateur pour trouver un créneau ou prendre un Rendez-vous avec Louise mais elle avait l'impression que toutes les forces de l'univers se liguaient contre elle. Dans le mois, il n'y avait aucun créneau de libre. Bon elle allait devoir employer les grands moyens. Elle regarda pour le 11 octobre, le lendemain. A 16H, une certaine Typhanie Clarioré avait rendez-vous. Elle chercha une photo de la jeune femme sur Internet et trouva une blonde pulpeuse. NON

Levy continua ses recherches et finit par trouver pour le 12 octobre à 14H50, une jeune femme aux longs cheveux bleus avec des yeux roses et grande.

12 octobre, 14H25

Levy enfila la même tenue de journaliste que la dernière fois et piocha une paire lentille dans sa boîte, de couleur rose, et mit une bonne paire de talons, assez hauts pour rivaliser avec la taille de celle dont elle devait jouer le rôle ; Fumiko Watanabe. Elle partit au même endroit que la dernière fois, à 14H30. Elle attendit jusqu'à 14H45 pour voir débarquer au coin de la rue, sa cible. Elle courait pour arriver à l'heure. Quand elle passa devant Levy, elle se ramassa par terre sans voir le pied devant elle sensé la faire tomber.

-Aïe, aïe, aïe...

-Ça va, mademoiselle ? Demanda Levy

-Oui, enfin je ne sais pas j'ai mal au genou.

Elle regarda sa jupe et vit du sang couler.

-Oh non ! Et moi qui avais réussi à décrocher un rendez-vous avec Louise Dragonia. Je vais être bonne pour me faire tirer les bretelles par mon patron.

Fumiko téléphona à un taxi et à 14H55, elle n'était plus là. Durant la chute Levy avait subtilisé la carte d'entrée de la pauvre inconnue. Notre héroïne se présenta alors à la sécurité.

-Vous êtes ? Demanda un grand baraqué

-Fumiko Watanabe... Dit-elle faignant l'épuisement. Désolé pour le retard

Elle tendit sa carte aux 2 gorilles qui la laissèrent passer. Elle suivit les indications accrochées aux murs et atterrit rapidement dans une petite pièce munis de 2 sièges et un piano. Louise tourna la tête vers elle et la bleue espéra quelques secondes avant qu'elle voit que son amie ne la reconnaissait pas.

-Bonjour mademoiselle ? Demanda Louise

-Fumiko Watanabe. Enchanté. Dit la bleue en tendant la main à son amie

Louise prit la main tendue et la serra brièvement avant d'inviter à s'assoir Levy d'un signe de tête.

-Allez-y posez-moi vos questions

-Alors tout d'abord d'où vous est venue l'idée d'écrire ce livre ?

-Eh bien, je dois remercier mon imagination qui a sa dose de mérite là-dedans mais j'ai longtemps ressassé cet univers que j'ai créé dans ce livre. Petite, ça me permettait de m'échapper. J'ai l'impression d'avoir toujours connu cet univers que je décris dans « Fairy Tail »

La bleue ne répondit pas.

-Pourquoi vous mentez ? Demanda calmement Levy

Louise sursauta brusquement et parut totalement désarçonnée.

-Je ne mens absolument pas

-Je sais très bien d'où vous vient cette idée, vous en faites des rêves la nuit sûrement n'est-ce pas. Ce sont des souvenirs, ne l'oublies pas. Reprit la bleue en oubliant le tutoiement.

L'écrivaine ne voulait plus entendre ça, elle visait tellement juste que ça l'insupportait presque autant que son esprit lui chuchotant « Zeref...Fairy Tail...Souviens-toi... ».

-Si c'est pour divaguer vous devriez peut-être vous en aller

-Non, je vais te faire te souvenir, je te le jure.

La bleue sortit pendant que Louise reprenait ses esprits. Cela la bouleversait.

-Annulez mes rendez-vous d'aujourd'hui

-Mais mll...Commença la secrétaire

-S'il vous plaît je ne me sens pas très bien Sophie.

-D'accord, je téléphone. Soupira la petite rousse

L'écrivaine monta àl'étage où se trouvait quelques lits de secours. Elle tomba raide dessus .

Je ne veux pas faire plagiat parce que quelque uns on déjà écrit un petit texte sur quelque qui énerve tous ceux qui écrivent; Les lecteurs fantômes. Ce qui est assez dérangeant c'est ceux qui lisent, qui votent mais qui ne disent rien, j'ai l'impression que c'est un vote poli genre "c'est de la merde mais comme je suis gentille je te mets un vote".  Quand vous en commentez pas c'est assez énervant on a l'impression que vous n'êtes pas là, vous survolez le texte votez mais en lisez pas. J'ai l'impression de faire ma mendiante en réclamant des petits commentaires mais ça fait toujours plaisir de recevoir des commentaires, vous pouvez me poser des questions, vos réfléxions ou je ne sais quoi d'autre. Par exemple comment pensez-vous que Louise va retrouver la mémoire?

Tout ça pour dire que ça serait bien d'avoir un peu plus de commentaires pour que je puisse rectifier des choses si elles sont ma faites, par exemple quelque chose qui n'est pas logique etc...