Remise en question

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"Voyez vous sa Franc ? Elle est devenu si belle ! Il y a maintenant six ans que je ne l'ai point vu !" Dit Frabrice en apercevant Victoria qui discutait avec les frères sénégalais, de grands amis du roi. Son majordome, Franc, âgé d'une soixantaine d'anné, se tenant droit comme un piquet, si droit, qu'il parrait cambré, hochait la tête à chacune de ses phrases. Ils étaient au haut du grand escalier qui ne faisait pas mouche dans la grande salle de bal.
-"Oui monsieur! "
-"Je ne l'ai point vu depuis le jour où elle a appris que son père, qui est en passant le président du pays américain, est mort tristement. "
-"Oui monsieur!"
-"Hey majordome, un peu plus de respect pour elle !"
-"Oui bien sur monsieur.."
-"Vous avez raison je vous dit cela, alors que moi je l'ai beaucoup offensée en lui disant clairement la vérité. Croyez vous qu'elle m'ent veut toujours? "
-"Oui monsieur."
-"Mais cela date de six ans maintenant, pourrions nous pas enterrée la hache de guerre ?"
-"Bien évidemment monsieur ."
-"On va se marier, à quoi bon ?"
-"C'est vrai monsieur. "
-"Mais vous avez raison, le mieux c'est de lui faire face, d'adultes à adultes! " dit le jeune prince décidé à affronter l'ennemi.
-"Comme vous dites monsieur. "
-"Merci Franc, je vous doit mes remerciements les plus sincères."
Et Fabrice devala les escaliers pour aller à la rencontre de sa future femme.

Le majordome souria. Une femme de ménage s'approcha de lui et le mururra à l'oreille.
-"Je prépare le vin rouge et le champagne avec les autres dans la cuisine centrale, on fête sa nous aussi." La vielle fit un clin d'oeil forcé à un serveur qui lui rendit son clin d'oeil.
-"Oh oui, bonté divine, j'en avais marre de subir les questions de ce jeune prince ! Je ne suis pas un psy ! Six ans de dépression à cause d'une gifle, dans mon temps les jeunes vivaient plus longtemps ! Ah sa oui !"

Pendant ce temps, Fabrice avait avalé les marches pour se retrouver en bas tout essouflé. Mais il se releva est fit bonne figure devant les invités de son père, qui à sa grande surprise n'était pas dans la salle.
Il commença a marcher aussi vite qu'il pu pour venir à sa rencontre.
Il bouscula des dames, des seigneurs, des servants, et surtout un qui servait des confiseries. Le plateau piqua une tête sur le sol, et tout les bonbons vinrent jonchés le sol.
Et bien-sur les premiers à prendre l'information sont les enfants qui se précipitèrent sur les sucreries qui passaient de mains en mains, une fois leur poches et leur robe remplit il s'enfuyerent comme des voleurs pour se retrouver dans leur cachette où ils partageront leur butins.
Une fois cela fait Fabrice arriva enfin devant le nez de Victoria qui était au bord du fou rire.
Fabrice passa un regard au enfant puis accompagna la jeune femme à rire.
-"Ah ces enfants! "
-"Ah ces hommes...."dit elle en reprenant son sérieux. Ils firent la reverence.
Il prit une confiserie qui était au pied de la jeune femme et l'avala.
-"Vous mangez quelque chose qui jonchait à même le sol prince."
-"Je respecte le travail du personnel, je montre que grâce à eux le sol est propre et respectueux."
Victoria fut comme surprise. Il avait tellement mûri depuis.
-"Escusez moi, vous buvez ?" Demande Fabrice qui avait remarqué le verre de vin blanc dans les mains de la jeune femme.
-"Une Tranklink doit savoir boire la bonne alcool, pour la bonne fête."
-"Et le vin blanc signifie...? "
Victoria leva son verre au niveau de ses yeux et inspecta le liquide avant de le boire.
-"Cela signifie que la soirée est noble, goûtu mais avec un fond désagréable." Repond elle en le visant avec un regard noir.
Elle lui en voulait toujours et le voir devant elle était comme voir le deuxième assassin de son père.
-"Mademoiselle Victoria, je vous pris d'accepter mes sincères escuses." implore le jeune homme en se pliant en deux pour lui faire une révérence de pardon.
-"Je vous pardonne, redressez vous maintenant. "
-"Mademoiselle je..."
-"Je n'ai pas à vous en vouloir en fait...vous avez dit la vérité se soir là. Mon père est mort, mort et enterré, et est devenu poussière. Maintenant je représente la seule Tranklink qui le soulève encore de la où il est ! "
Victoria avait toujours la tête froide et haute, comme son père l'était, imperturbable et froit comme la glaces et impérialement sobre fort.
Fabrice fut étonné, il croirait voir en elle le fantôme de sa mère.

Victoria T1 [Terminé Ou En Cour De Correction ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant