Victoria T1 [Terminé Ou En Cour De Correction ]

Les effets du vin

La mère de Nicolas et Damien, les a toujours enseigné que l'alcool était mauvais pour la santé, de temps en temps, un diner de famille, mais jamais plus, et puis ce n'est pas élégant un jeune prince dépendent à l'alcool ou à la nicotine présente dans la cigarette. Fabrice lui n'a pas eu de mère, morte quelque année après sa naissance, il préfère dire qu'il n'en a jamais eu. Son père ne lui donne que des conseils sur la chasse, comment être un gentleman ou comment géré les finances et le trésor de la couronne. Mais sur l'alcool, son père lui a habitué au vin depuis qu'il sait marcher. L'abus et la modération, pour les Octaves, il n'y a jamais trop ou peu d'alcool sur une table, et dans un sang noble, le vin ne fait jamais effet. Une tradition chez les nobles, pas manger pour vivre mais vivre pour manger, le fait d'avoir des tonnes de nourritures sur une seule table montre la puissance et les richesses diverses de celui qui mange.
Fabrice est donc un adepte de cette boisson, comme son père, comme tous les Octaves mâles d'ailleurs, les femmes sont plus réfléchis, plus calme et plus timide, tout le portrait d'Iris, la frangine de son père.
Il fut même un temps ou il est arrivé à se rendre complètement saoul, lors d'une soirée ennuyante du jeudi soir, on l'avait laissé déliré pendant des heures avec sa bouteille dans ses appartements. Ce soir là, il était dans un très mauvaise état, ses grands parents venaient de mourir d'un bête accident domestique, dans le genre de Claude François, son père venait d'être couronné roi et lui future héritier.
Chaque fois qu'il buvait, il lui manquait quelque chose ou quelqu'un, mais chaque fois qu'il était bourré, déjà il faut qu'il soit dans un sale état, grosse dépression par exemple. Et ce n'était que le début.
Il demanda à se qu'on le serve du vin tout les cinq minute et il buvait d'un coup sec. Bien sur Iris lui faisait des remarque sur son abus, mais peine perdu il ne pouvait s'arrêter. Il but ainsi toute la bouteille de Miss Novia. A même pas à la fin du diné, il finit la tête la première dans son assiette en ronflant. Le roi demanda un médecin, et son majordome le conduisit dans sa chambre accompagné d'autre domestique.
Miss Novia regardait la scène en jouant la comédie d'être sincèrement désolé d'avoir apporté la bouteille à table. Le roi l'excusa, puis conduit sa soeur et ses enfants dans le jardin en attendant le médecin.

Franc lui, fit allongé le prince qui délirait.
-"Où est-elle Franc ?" marmonnait celui ci le front couvert de sueur. Jamais il n'avait vu Fabrice dans un tel état. Il n'était pas seulement bourré mais il était aussi malade et en plein chagrin.
-" Je ne sais pas Monsieur..."
-"Ma lettre..."
Franc eut une pensée pour Nathalina qui devait retrouvé bec et ongle, la bien aimé du prince.
-" Aucune réponse"
Les mots de celui ci déchirèrent le jeune homme, le brisa, de son coeur en ciment, il en a fait de ces simples mots du sable, de la poussière.

Fabrice aimait vraiment Victoria, se voir avec une autre qu'elle n'est pas envisageable.
-" Si elle ne vient pas à moi, j'irais à elle !" murmure à moitié endormit le jeune malade. Franc sentit ses jambes le lâcher. Il sourit.
-"Enfin une parole censé monsieur."
-"Franc ! Vous avez raison ! je dois la retrouvé, les lettres et la patience c'est pour les bonnes femmes, et vous savez quoi ?" S'exclama Fabrice en faisant valsé quelque coussins.
Jamais Fabrice n'a été aussi délirant, mais il semblait décidé, comme si il avait lut dans les pensées de son vieux bras droit.
-"Vous n'êtes pas une femme ?" dit ironiquement le vieil homme, souriant de toutes ses dents.
-"Exactement ! Je suis un homme ! Un vrai... et les hommes font quoi ?" s'extasia le jeune homme en bondissant sur son lit.
-"Ils vont sauver les jeunes demoiselles en détresse monsieur !"
Franc savait vraiment parler la langue de Fabrice qui lui emporté par l'idée de se rendre lui même aux états Unis, avait le sourire jusqu'au oreilles et le corps tout raide par l'adrénaline.
Surement l'effet du vin...