Victoria T1 [Terminé Ou En Cour De Correction ]

le temps passe

Six ans passèrent. Victoria était toujours promise à Fabrice qui depuis la mort de son père n'avait plus vu. Elle avait encore l'image de sa main claquant la peau du jeune prince.
Des regrets ont poussés en elle comme une fleur empoisonné jusqu'aux épines.
Elle avait fait depuis le deuil douloureux de celui qui représentait sa vie. Depuis elle regardait les cameras et les appareils photos avec un regard noir.
L'année même de son enterrement, des élections recommençèrent car le pays n'est rien sans son représentant.
Fabian Hichviniger prit ce rôle pendant ces cinq dernières années. Victoria commençait ses années de droit en ligne, car aller dans une école était toujours inconsevable.
La journée elle était en voyage avec sa mère, le soir elle apprenait ses leçons, et repondait à des QCM plus ou moin compliqué.
Elle avait commencé à l'age de dix sept des études concernés pour les personnes de dix-huit, dix-neuf ans.
Elle est à sa sixième dernière année, après une licence, un master, elle fut envoyée à l'ecole de magistrature en France où après trente et un mois elle eut son diplôme pour juste être juge.
Doriane et Victoria avait, avant tout sa, fait un pacte.
Doriane laisserait sa fille faire des études à condition qu'elle épouse Fabrice .
Malgré la condition de sa mère, elle accepta et six ans plus tard elle ne regretta pas son choix.
L'année de ses vingt-deux ans, va être l'année ou on doit dire au revoir a ce Fabian Hichviniger qui, comme tous les autres, n'avait,  a part représenter les États Unis partout sur le globe, pratiquement rien fait.
Elle était décidée à se présenter, enfin si elle en avait le courage.
Le dire c'est bien mais le faire c'est autre chose.

Quand à l'enquête pour retrouver l'assassin, parce que c'était bien un assassinat, toutes les équipes de police n'avaient rien trouvé, a part un gant blanc tâché de sang que son père avait dans la poche de son manteaux, mais on y trouvait que les empreintes de celui-ci.
Donc l'affaire était qu'il c'était tuer lui même.

Mais pourquoi le faire avec un gant blanc qui n'est même pas à lui pour le mettre dans sa poche ?
Un gant que Victoria a soigneusement gardé en mémoire de son père.

Dans quelques mois elle partira pour la seconde fois, au château d'Angleterre pour décider la date de son mariage qui devait avoir lieu le jour des vingts quatre ans du prince. Elle allait en avoir vingt trois.
-"Je me demande si celui-ci est toujours avec cette anglaise." Pense t elle en dévalant les escaliers de l'avion.
Comme d'habitude, des flashs d'appareils photos l'accueillir à peine avoir toucher le sol américain qui la manquait tant.
La France n'était pourtant pas si mal, leurs roses sont si rouges, si épineuses et leur plat si exotiques. Elle avait pris plusieurs kilos, mais elle était revenu, enfin, à la maison où elle devait absolument faire moin de cinquante kilos.
Une des règles strictes de sa mère.
Doriane, depuis se temps, avait retrouvé sa famille. Six ans d'amitié et de retrouvailles, six ans de bonheur malgré le décès de son mari elle s'était, contrairement à sa fille, bien remis et avait continuer à fréquenter fièrement la famille Fraiser et la famille Octave qui attendent patiemment la jeune mariée.

Tante Anna c'était retrouvée avec une maladie qui la faisait clouée à son lit.
Ses jours étaient comptés, c'était flagrant.
Depuis six ans, Miss Novia voyait que quelque chose la préoccupait depuis un certain temps. Quelque chose d'assez dure s'était enfouis en elle.
-"Vous êtes sur Miss Novia ?" Demandait Doriane.
-"Elle n'est plus elle même, et je sais se que je dis". Repondait toujours celle ci.

Aujourd'hui, Victoria revenait pour revoir ces êtres dangereux que sont les Fraiser ainsi que les Octave.