Victoria T1 [Terminé Ou En Cour De Correction ]

Tranklink président

Quelques semaines plus tard, une nouvelle faisait la une des journaux. Tranklink était le nouveau président des États Unis.
Une fête avait été organisée chez les Tranklink, pour féliciter leur fils, Wilson qui pour la seconde fois avait reprit les reines du pays.
Les Fraiser, on froncé les sourcils à la suite de cette nouvelle.
-"Le père de cette traînée et redevenu président mes soeurs..." dit Tante Anna, en effleurant sa table à manger avec sa manucure parfaite.
Elle s'adressait à trois autre dames qui devait être les cousines de Doriane.
La première avait le teint assez bronzé, elle avait des rides apparentes au niveau des yeux, elle devait donc avoir la trentaine même plus. Sa robe d'un bleu profond trainait à peine à ses pieds. La deuxième, avait une beauté particulière, elle ressemblait beaucoup à Doriane mais avec des cheveux blonds aux mèches brunes et avec des lèvres assez fines et stricte.
Celle-ci devait être plus jeune que la première.
Et enfin la dernière, on pouvait pratiquement pas la décrire. Entre ses cheveux gris, ses veines apparentes et son regard bleu perçant.
Les quatres dames se regardaient avec de l'angoisse et de la peur dans mes yeux.
-"Que faudrait-il faire ?" Demande la plus jeune en levant le menton vers Tante Anna qui était submergé de colère noir.
-"Si celui est président, madame Victoria sera protéger par celui-ci.  Elle ne fait que résister à ma nièce qui meurt d'envie de revenir victorieuse dans notre vénérable famille." Indique Anna en se posant sur une de ses belles chaises au près des trois femmes.
-"Il faudrait miss Novia, dit la plus vielle en s'adressant à la plus jeune. Que vous usiez de vos talents pour la chasse pour cette fois ci"
Miss Novia fit un sourire amusée à Lady Daisy.
La première dame se leva.
-"Je décrète que si Victoria n'épouse jamais Fabrice, jamais Doriane ne sera admise dans la famille royale. "
-" Au contraire ma chère Belle Tatania, que Victoria épouse le fils de la couronne comme prévu. Et que ma nièce revienne nous baisez les pieds." Conclue Anna en se relevant les épaules détachées, laissant apparaître ses clavicules creuses.

Pendant ce temps de l'autre côté, Victoria était fière du parcours de son père et méprisait celui de sa mère, qui s'accrochait à l'idée qu'elle soit à tout pris mariée.