Provocante

Chapitre 18

Attention au jeune lecteur scène hot...

Retour vers le passé Will.

On a quitté le bar, sans un regard en arrière au pas de course, une fois assit dans la voiture, j'ai repris mon souffle. Daisy à mes côté m'a dit:

-Il n'y a personne chez moi.

J'étais encore à me demander si c'était la bonne chose à faire quand nous somme arrivé à la maison, Daisy m'a dit:

-Une nuit Will, juste du sexe entre nous, je ne veux rien de plus et toi non plus on le sait.

Je la regarde et je vois qu'elle est très sérieuse. D'habitude c'est moi qui dis ça. Putain.

-Si j'en veux plus? Je dis pour la taquiné, elle le sait très bien.

-C'est sur que tu ne pourras plus te passé de moi après cette nuit! Elle me répond sur le même ton d'un air aguicheur, en descendant le fermoir doucement de sa robe pour le laisser entrevoir une partie de ses seins.

-Putain tu n'a pas de soutient gorge? Dis-je surpris les yeux ronds affamés.

-Oups !...Dit-elle en me regardant. Puis elle ouvre la porte, pour sortir et me dit: J'ai peut-être oublié de mettre une culotte aussi. Et elle se dépêche de sortir avant que je réagisse.

Putain elle me fait quoi là, je me dépêche de la rejoindre alors qu'elle franchi le seuil de la maison. Je ferme la porte derrière moi et la plaque contre le mur.

On se fixe du regard, je peux voir la lueur de défie dans ses yeux, je prends ses deux poignets et les maintient au dessus de sa tête d'une main. La lueur change dans son regard, elle devient brillante de désir, je passe mes lèvres doucement le long de son cou, que j'explore de baiser, elle soupire contre moi. Je descends le zipper de la robe qui me nargue depuis le début de la soirée et la fait tombée parterre à ses pieds.

-Putain... Je grogne lorsque je la vois nue devant moi. Ma déesse. Je la contemple, ébloui, la lumière du lampadaire extérieur, laisse passer un mince filet de lumière qui glisse sur son corps parfait. Affublé seulement de ses bottes en cuir noir, elle est la tentation incarnée. Je glisse le bout de mes doigts le long de son cou.

-Ta peau est tellement douce. Je dis la vois rauque de désir. Je sens sa peau frémir sous mes doigts.

-Tu aime ce que tu vois voyeur, dit-elle d'un ton narquois.

-Putains tu es tellement belle! Je rajoute avant de m'emparé de sa bouche. Je mords sa lèvre inférieure.

-C'est ça que tu veux Daisy? Je demande en la fixant dans les yeux.

-Oui c'est toi que je veux connard! Dit-elle ton de défi.

Je l'embrasse ardemment, tandis que ma main glisse vers son sein, que je caresse habillement, ses mains glissent sous mon t-shirt pour me caressé le torse. Qu'es ce qu'elle a bon gout. Je quitte ses lèvres pour descendre le long de son cou, je la lèche, la goûte, puis je descends vers son sein que je tiens dans ma main, elle gémit quand ma langue rencontre le bout de son mamelon durcit, je le suce et l'aspire avidement. Ses mains agrippent mes cheveux, quelle malaxe,

-Will! Gémit-elle.

Je m'empare de son autre sein pour lui faire le même honneur, la pointe durcit, frémit à mon contact, mon autre main descend sur son flanc en la caressant délicatement, sa peau est brûlante sous la paume de ma mains. Je glisse mes doigts vers son intimité mouillé, que je caresse, elle gémit les yeux fermé, elle cambre le bassin vers moi, lorsque je pénètre un doigt, puis deux. Elle gémit de plaisir, putain qu'elle est belle. Je reprends sa bouche impatiemment, je l'explore de ma langue.