(Je vais vous faire un petit récapitulatif pour ceux qui n'auraient pas compris ; Tout ce qu'Anaya a vécu n'est qu'un rêve. C'est à dire, le fait qu'elle se fasse battre, son mariage avec Aziz, sa fille Ina, les viols, tout ! Bien sur, suiviez bien la suite car tout à une explication. Ne pensez pas que la chronique est sur le point de se finir, car pour vous dire : elle viens tout juste de commencer.
bonne lecture.)
A N A Y A
Je sens comme un manque... Ma fille, enfin celle qui est sensée être ma fille, me manque. Je me dis que peut-être que je rêve, mais hélas, c'est la réalité, je ne reverrai jamais Ina.
En plus, Ina me rappelle tellement ma sœur... Tout ce que j'ai rêvé me paraît tellement vrai.
La nuit dernière, j'ai essayé de rêver là où je me suis arrêtée, mais j'ai comme un blocage, je me suis directement réveillée.
C'est fou quand même, j'ai de l'amour pour une personne qui n'existe que derrière un rêve.
Enfin bref, aujourd'hui on doit aller à l'anniversaire de la pote à Jana, je la connais que de vue, mais c'est le genre de fille qui est hlel devant sa famille alors que derrière, c'est la plus grosse des chiennes.
Mais Jana m'a dit qu'elle est bon délire, j'attends de voir. Je descends de chez moi après avoir prévenu mes parents de sortir.
O M N I C I E N T
Elle est descendu, écouteurs aux oreilles, sans ce douter qu'une personne l'attend derrière la porte. Du theweekend aux oreilles, Anaya est toujours pensive. Elle se fait surprendre par une femme qui surgit de nulle part, lui coupe la respiration avec un torchon d'alcool. Elle l'a traine jusqu'à une cave.
Bouche scotcher, elle est incapable de parler.
? : Écoute bien ce que je vais te dire. J'vais te demander de faire une chose, t'as pas le choix, soit tu l'exécutes, soit j'te tue à coup de poignard, c'est bon?
? : Répond quand j'te parle !
elle hoche la tête
? : J'vais te détacher la bouche, t'as pas intérêt à crier.
Elle acquiesce et la femme la détache.
Anaya : *elle respire fort, manquant de souffle*
- ? : On va pas faire les présentations, je te demande une chose super simple : tuer quelqu'un. Peu m'importe les raisons.
Elle : Mais... elle tremble
- ? : Je t'expliquerai à la fin de ta mission, suit moi je vais te montrer quand et comment tuer cet personne.
Elles se dirigent toutes les deux vers une pièce noire et elles y trouvent des photos accrochés sur un mur, terrifiant. Un mur remplie de photo, des plusieurs hommes mais un en particulier attire son attention. Sur le mur, on y trouve des photo d'un homme, jeune, dans toutes les situations. Que ce soit sur une plage, dans un parc, au quartier, au restau, dans une voiture. Partout, il à comme été traqué.
- ? : Tu le tue lui, si dans un temps écoulé que je te donnerai il n'est pas mort, je te découperai en morceau.
A N A Y A
Comme ci j'en avais pas assez vu, me voilà dans une merde pas possible. Pourquoi c'est moi qui doit toujours être dans ce genre de situation, je dois maintenant tué un homme que je ne connais absolument pas.
Purée mais ça vous étonne pas de voir qu'il m'arrive que des trucs chelou? comme par hasard c'est à moi que ça arrive. Il peut tout m'arriver, plus rien ne me choquera.
Son physique..elle fait peur. Elle est pleine de cicatrice, son visage à des traces de couteau, j'ai à peine vu ses yeux à cause de la capuche qui les camoufles. Mais son ora, agrh.
Vu son parcours, pourquoi c'est à moi, petite moins que rien qui doit tuer un homme que je ne connais pas mais surtout qui ne m'a rien fait? Je sais pas comment elle compte s'y prendre mais je vais tout faire pour ne plus la croiser.
Elle est complètement folle, mais elle me terrifie. Au vu des nombreux clichés que j'ai vu de cet homme dans la cave, j'ai peur que si je ne coopère pas, elle vient à me faire la même chose, c'est à dire : enquêter sur ma vie et me faire du mal.
L'OMBRE
Je sais qu'elle va réussir, cette petite, je le sens ! Même si elle semble fragile, elle est capable d'en tuer plus d'un.
Mais tout d'abord, je veux qu'elle tue lui, ma proie ! Je l'aurais bien tué moi-même, mais ma maladie m'en empêche pour l'instant et puis même voir la peur sur le visage d'un autre être me fait tellement de bien.
En tout cas, ce fils de pute va bien souffrir. On ne fait pas souffrir une femme, moi j'vous l'dis !
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Anaya « Plaies & coeur »
General FictionPrisonnière d'une vie qui n'est pas la mienne, suivez mon histoire entre : haine, violence, amour. « Je t'aimerai toute ma vie. » Des plaies au coeur. EN RÉÉCRITURE.