Prisonnière d'une vie qui n'est pas la mienne, suivez mon histoire entre : haine, violence, amour.
« Je t'aimerai toute ma vie. »
Des plaies au coeur.
EN RÉÉCRITURE.
J'ai trop bien mangé ! Ma cuisine préférée est l'italienne <3. Il était tellement attentionné ce soir, j'avais carrement envie de le laisser en vie. Sauf qu'il faut que je termine ma mission, ma vie est en jeu. Certes je l'aime bien mais mon but premier n'est pas de faire un love story, au contraire celle là finira par etre une blood story.
J'ai envie de tenter ce soir, il est en confiance. Mais j'ai peur, je le tue où? je cache où le corps, parce irina ne m'a pas encore expliquer comment ça se passe, peut-être parce qu'il est encore trop tôt?
- Lui : ça va pas trop fatiguer?
- Moi : Non ça va, j'ai un peu mal aux pieds.
- Lui : tu veux j'te porte?
- Moi : abuse pas *rire* je sais encore marcher.
- Lui : j'te propose plus rie, creve de douleur.
C'est ça son probleme, il boude pour rien.
- Moi : c'est booon je rigole ! d'ailleurs merci beaucoup pour le restau.
- Lui : T'as kiffé le restau ou ma presence? ça change tout.
- Moi : J'te reponds meme pas.
- Lui : T'as du rouge à levre partout, attend j'te retire ce qu'il deborde.
Il me retire ce qu'il depasse, je rigole. Il sait tres bien ce qu'il fait, Kassim pas à moi serieux.
- Moi : fait pas semblant.
Il ris, et se jete sur moi. Comme ci il en avait envie depuis tres longtemps. Tout en moi criait que c'était une mauvaise idée, que je risquais tout. Mais l'interdit avait quelque chose de tentateur, de dangereux.
Lui : Anaya...
Moi : Kassim, attends, c'est pas...
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Avant que je puisse finir ma phrase, ses lèvres ont trouvé les miennes. C'était comme un incendie, un mélange d'interdit et de passion. Mon cœur battait à tout rompre, les frissons parcouraient mon corps. On se savait, et pourtant, on continuait à s'embrasser, comme si le monde entier avait disparu.
Le goût de l'interdit, de ce risque insensé, se mêlait au désir qui brûlait entre nous. Nos souffles se mêlaient, nos mains s'entrelaçaient. Chaque seconde de ce baiser était comme un défi lancé à nos frères, à Irina, à tout ce qui nous "menaçait".
Mais au milieu de cette étreinte passionnée, une voix dans ma tête hurlait. C'était le rappel de la mission, du but principal. L'amour naissant, cette attraction qui grandissait entre Kassim et moi, pouvait mettre en péril tout ce pour quoi j'avais travaillé.
Moi : Non, Kassim. Il faut que tu comprennes que...
Mes mots se sont perdus dans le désir, dans la tension. On s'est écartés à contrecœur, nos regards étaient emplis de confusion, de frustration. On savait tous les deux que c'était dangereux, que ça pourrait tout ruiner. Ce baiser était comme une ligne franchie, un point de non-retour.
Lui : Putain Anaya on fait de la merde.
Moi : C'est compliqué, Kassim. On ne peut pas.
Lui : J'aime le risque, on tente?
Le poids de l'interdit, le frisson du risque, était encore là, flottant entre nous. On était des joueurs, mais cette fois-ci, le jeu était beaucoup plus grand, beaucoup plus dangereux. Notre attirance était comme une arme à double tranchant, capable de tout détruire. On s'est éloignés, chacun perdu dans nos pensées, dans cette tension palpable qui persistait.
Ce baiser, chargé d'interdit, n'était que le début d'une histoire qui prendrait des tournures inattendues. Une love story à laquelle se mêlerait l'ombre d'une blood story.
