Prisonnière d'une vie qui n'est pas la mienne, suivez mon histoire entre : haine, violence, amour.
« Je t'aimerai toute ma vie. »
Des plaies au coeur.
EN RÉÉCRITURE.
Je suis qu'une grosse merde, je me deteste. Comment je peux etre une traite pareil? jouer avec les sentiments d'un mec bien? je le veux en vie et pres de moi. Je suis prete à me sacrifier pour lui, je me deteste d'avoir agit comme ça. Pourquoi ça arrive qu'à moi? pourquoi j'ai pas essayer de changer les choses? pourquoi je suis une traite? j'ai envie de mourir.
Je regrette, je regrette de lui avoir fait croire des choses, et qu'il est maintenant dans le coffre en route vers la mort.
Je peux pas rien faire, je dois faire quelque chose quitte à prendre des risques pour ma vie, impossible. Je sais où les clefs de sa voiture, je me débrouille pas mal en conduite, je vais les suivre...
COURSE POURSUITE.
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Les phares de la voiture transperçaient l'obscurité, mes mains crispées sur le volant. L'adrénaline pulsait dans mes veines, chaque battement de mon cœur résonnant comme un compte à rebours. Devant moi, les feux arrière de la voiture qui avait enlevé Kassim brillaient, se faufilant dans les rues désertes.
Ma respiration était rapide et saccadée, mon esprit en mode survie. C'était à cause de moi que Kassim se trouvait dans cette situation, à cause de mes émotions impulsives. Je devais réparer cette erreur, peu importe les risques. Mes doigts tapotaient le volant nerveusement, mes yeux rivés sur la route.
Les virages s'enchaînaient, la voiture glissant avec agilité dans les coins sombres de la ville. Le grondement du moteur de la voiture kidnappeuse résonnait dans mes oreilles, le son de la poursuite me faisant frissonner.
J'appuyais sur l'accélérateur, ma voiture bondissant en avant, avalant la distance entre nous et la voiture en fuite. La voiture kidnappée accéléra brusquement, défiant ma détermination. Mes mains tournaient le volant avec agilité, mes yeux fixés sur les feux arrière de cette bagnole maudite.
Soudain, un virage serré, les pneus crissant sur le bitume. J'étais à portée de la voiture kidnappée, presque côte à côte. Mon souffle était court, mes mains crispées sur le volant, mes yeux fixés sur la silhouette de Kassim à travers la fenêtre.
Tout à coup, un bruit assourdissant. Un coup de feu. La voiture en fuite chancela, les phares vacillant. J'ai freiné brusquement, la fumée enveloppant la scène. Mon cœur tambourinait, l'angoisse s'emparant de moi. J'ai sauté hors de ma voiture, mes jambes tremblant sous l'effet de l'adrénaline.
Je me suis précipitée vers la voiture kidnappée, mon souffle haletant. Kassim était là, le visage en sang, les yeux fermés, il avait l'air apaisé. Mon estomac se noua alors que des hommes en costumes noirs émergèrent des ténèbres, armes à la main.
Leurs voix criaient des ordres, des menaces. Nos mains tremblaient en l'air, le désespoir envahissant mes pensées. Cette traque haletante avait pris une tournure bien plus sombre, et Kassim et moi étions pris au piège.
