Myths recreated : The legend of the wolves [TERMINÉ]

Chapitre 8 partie 2 ✔

J'entendis la porte de la chambre s'ouvrir. Puis des pas légers. Il voulait peut-être me faire une blague.

« -C'est toi Adam ? »

Aucune réponse, c'est étrange. La couverture, qui était posée sur moi, fut soulevée. Un tissu se déposa sur ma bouche. J'essayais tant bien que mal de respirer, mais il était imbibé d'un produit qui me fit tomber dans les pommes.

★

Adam entra dans les chambres et découvrit le lit vide. 

" Elle s'est échappée. " Pensait-il furieux. " Elle m'avait dit qu'elle ne partirait pas, c'est étrange. "

Il aperçut le bout de tissu qui avait servi à l'enlever. Il entra dans une colère noire. Il se transforma en un magnifique loup noir. Puis, sortis comme une furie de l'hôtel suivant l'odeur. 

Son poil luisait sous la lumière de la lune, lorsqu'il arriva à l'entrepôt où l'odeur s'arrêtait. 

« Elle est ici. Dépêche-toi. Je ne veux pas qu'elle meure, parce que tu aurais été trop long à entré. »

« -Tu as raison Césarius. Allons la secourir. »

Il fonça comme un fou sur la porte. Celle-ci céda sous son poids. Les personnes qui se trouvaient au centre de l'entrepôt sursautèrent.

« C'est le clan MoonBlood. Pourquoi l'ont ils enlevé ? »

« -C'est le clan de Vénus. Ça, j'en ai aucune idée. »

Les personnes présentent, se transformèrent et sautèrent sur Adam. En un clin-d'œil, ils volèrent dans la pièce. Ils furent blessés mortellement, tués, découpés en morceaux. Une fois le massacre terminé, Adam monta à l'étage avec un peu de difficulté. Il avait été mordu à la patte arrière gauche par un jeune loup. Il tua les quelques gardes présents et continua son chemin, jusqu'à arriver dans une pièce où l'odeur d'Ève était très forte.

★

Tout était noir. Aucun bruit. À part ce bourdonnement dans ma tête. J'avais horriblement mal. J'ouvris les yeux avec beaucoup de difficultés. Après m'être habituée à la faible luminosité de la pièce, je vis que j'étais attaché dur un poteaux. En face de moi, sur une chaise, se trouvait une femme aux longs cheveux bruns. Elle ressemblait à Vénus en plus âgée. Dès qu'elle vit que je la fixais, elle se leva et s'approcha. 

« -Ma fille m'a dit que tu étais son ennemi. Elle m'a demandé de te torturer. Espère juste pouvoir tenir longtemps. Disait-elle un sourire sadique plaqué sur le visage. »

J'essayais de parler, mais, ma bouche étant pâteuse, je ne pouvais parler. Elle prit mon visage dans sa main droite, sur ses ongles se trouvait des fausses griffes en aciers. Elle me les planta dans le visage. Je ne pus hurler de douleur. 

« -Lâche la Camélia.

-Oh ! Mon beau-fils préféré.

-Ne te fous pas de moi. Lâche la. Je ne le répéterais pas une fois de plus. »

Elle se retourna. Adam se retransforma en humain et lui fit face. Elle s'approcha de lui.

« -Ma fille m'a demandé de l'a débarrassée d'une nuisance.

-Votre fille me trompe avec son mari et toi ce que vous trouvez à faire, c'est l'écouter. Elle n'a pas respecté le contrat de mariage.

-Certes, mais vous non plus mon cher.

-Je demande à rompre les fiançailles de toute façon, vous êtes les deux derniers du clan. Tous les autres sont morts.

-J'en trouverais un autre.

-Non, je vous tuerais, et morte ce sera difficile. »

Un éclair de colère et une envie de meurtre grimpèrent en flèches sur son magnifique visage. Ses os craquèrent et il se transforma. Camélia recula jusqu'à ce que son dos me touche. Pourquoi avait-elle peur ?

« -J'oubliais que vous êtes humaine. D'une simple morsure, vous mourrez.

-Ne me tuez pas, ma file vous en voudra à mort.

-Votre fille est une louve, elle tient de son père. Elle se moque de vous.

-Vous n'avez pas le droit de faire ça.

-J'ai le droit de faire ce que je veux. »

Après avoir dit sa dernière phrase, il lui sauta au cou et le lui mordu. Et cela, jusqu'à ce qu'elle tombe sans aucun signe de vie. Il la poussa d'un coup de patte, puis se transforma à nouveau en humain.

« -Je suis désolé pour tout ça. J'aurais mieux fait de te prendre avec moi, ou bien ne pas partir. J'ai…

-Ne t'inquiète pas, c'est moi qui t'ai demandé d'aller voir. Je n'aurais pas dû laisser la porte ouverte. Je ne peux m'en prendre qu'a moi.

-Tu es d'une bonté indescriptible. Disait-il admiratif. »

Il me détacha et me prit dans ses bras.

« -Reste avec moi, j'ai vu ce qu'il s'est passé. Je vais faire un acte de divorce et quand tu seras d'accord, j'aimerais que tu sois ma femme.

-Je veux bien te croire. Mais pour l'instant, je ne veux pas me remarier pour l'instant. 

-J'accepte ton point de vue, j'attendrais le temps qu'il faut pour que tu m'acceptes. »

Après cela, il me ramena à l'hôtel. Il ferma la porte et fit la garde en attendant que je dorme.