Danse @vec Moi

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Mia dolce! Je la regarde dormir recroquevillée sur elle même et ne peux m'empêcher de sourire. Jamais je ne m'ennuierai à ses côtés. Elle est pleine de surprises. Je lui ai donné du fil à retordre toute la semaine. Il y avait un audit au sein de l'entreprise. Je rentrais tardivement, épuisé par tout ce qu'il y avait à faire.
Chaque soir elle m'attend pour dîner sans m'assaillir de questions. Sans une crise de jalousie ou de suspicion.
La comptabilité de la société vidait à petit coup mon énergie, comme si j'avais participé à un tournois de basket-ball durant un mois.

J'espérais me libérer avant le week-end pour prendre soin d'elle et la remercier pour sa compréhension.
Ce soir en rentrant, je me suis arrêté chez la fleuriste pour lui prendre un bouquet de roses blanche, pour lui exprimer la pureté de mes sentiments. Elle s'est sûrement demandé s'il n'y a que le boulot. Je ne me vois lui être infidèle. Elle me donne tout ce dont j'ai besoin.

Mais quelle ne fut pas ma surprise en la voyant dans cette robe assez suggestive.
Elle était tellement sexy que j'avais envie de lui faire l'amour dans cette robe.
À mon dépend j'ai compris que ce ne serait pas facile. Elle m'a allumé par tous les moyens. Avec subtilité que je me suis surpris à l'admirer.

Comment cette femme, câline, pudique et réservée peut avoir un esprit aussi créatif et osé pour me séduire. On dirait qu'elle se transforme en une autre personne quand on se retrouve seuls.

Elle m'a fait languir toute la nuit. Je me suis résignée, enfin c'est ce que je croyais jusqu'à ce que mes bourses ne tiennent plus aux environs de quatre heures. J'avais besoin de me soulager. Et qui d'autre pourrait me venir en aide si ce n'est que la responsable de ma douleur.

Elle à pour habitude de se coucher sur le côté, une jambe repliée en forme de V. Comme si elle m'attendait, cette nuit elle dormait les jambes écartées. C'est un péché de voir un tel tableau. Sa nuisette couvrait à peine ses fesses, offrant une visibilité sur ses parties intimes.
Au point où j'en suis, j'aurais voulu la prendre sans perdre du temps. Mais je n'aurai dans ce cas pas le plaisir escompté. 

Je glisse mon pied entre les siens, souffle dans son oreille pour l'aider à se réveiller. Je mordille la lobe de son oreille, remonte ses cheveux afin d'avoir accès à son cou. Elle bouge son corps, et je me mis de côté pour la laisser émerger.

Elle me sourit, et mordille sa lèvre du côté gauche. Çà par contre quand elle le fait, je sais qu'elle me provoque. Elle a donc compris ce que je veux.

D'une petite voix elle me demande l'heure. À ma réponse, elle me souffle que j'ai été tenace.
Là c'est le comble. Elle s'attendait à ce que je la défouraille plus tôt. Moi qui voulais la laisser dormir.

Je fais la lippe un court instant, puis capture ses lèvres. Le parfum mentholé du dentifrice, est très agréable. Mes lèvres se délectent des siennes avec avidité.
Mes doigts au contact de sa peau laiteuse, caresse son entrecuisse. D'un doigts je joue avec son grain de café endurci par le plaisir que je lui donnais. Elle gémis, cambre sa hanche, j'entre un doigts, puis deux en elle. Elle est une fontaine, je me réjouis qu'elle soit aussi réceptive.

D'un coup de hanche je la pénètre et la martèle, me fondant en elle tel du sucre au touché de l'eau.
Elle crie mon nom, griffe mon dos. Heureusement qu'elle ne laisse pas pousser ses ongles. Sinon je garderai avec fierté quand même, les empreints de nos nuits endiablées sur le dos. 
Le plaisir à son paroxysme nous balaya dans des feulements qui résonnent dans la chambre.

Ce fut un moment intense.

Je dépose de doux baisers sur son épaule avant de sortir de la chambre.

J'ai encore une démie heure devant moi. J'espère que la femme de chambre sera ponctuelle. Les collègues de bureau ont réussi à me convaincre de participer à un matchs de basket-ball ce matin.

Ana trottine les pas pour s'asseoir sur un tabouret. Je lui sers du café, pour l'aider à se réveiller.

- Buongiorno mi dolce.

Elle me sourit et embrasse ma joue.

- Bonjour mon ange. Pourquoi tu ne m'as pas réveillé?

- Tu dormais à poing. J'ai fait la cane.

Tu n'es pas en retard?
J'aurais voulu t'accompagné mais je ne fais pas encore confiance à la dame pour la laisser seule.

- Ce n'est pas grave tesoro. Je te reviens dans deux heure.

Mes collègues se sont divisés en deux groupes. Ayant perdu l'habitude, il m'a fallu la première mi-temps pour me retrouver. Deux heure après, la victoire est dans notre camp. Deux contre un, ils se sont battus. Malheureusement pour eux j'ai été basketteurs à l'Université, et chaque fois que j'en ai l'occasion je lance quelques balles dans le panier.

À mon retour, la dame et ses acolytes n'étaient plus là. Tout était nickel.
Je pris une douche vite fait et aida ma compagne à mettre de l'ordre dans le dressing. Elle a eu le temps de faire la lessive.

J'ai passé une agréable journée, et compte bien passer une soirée plus agréable comme hier.

Vers 19 heure j'envoie un message à ana. Elle est bien à mes côtés, la tête sur mes cuisses en train de regarder la télé.

<< Accorde moi une danse ce soir. Va te préparer, nous sortons.>>

Elle m'observe un moment et me réponds par message.

<< Avec plaisir>>

C'est étonnant comme nous pouvons nous comportés comme deux adolescents.

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