Elle n'a rien voulu me dire, tant pis... j'espère juste que ce n'est rien de grave car avec toutes les histoires qu'elle a eu j'ai peur que tout lui retombe encore une fois dessus.
Je suis debout contre ma voiture, en attendant Zaïr. Deux jours sans lui eh ben... c'est long !
Zaïr : Ça va ? dit-il en s'approchant de moi.
Je lui souris avant de le prendre dans mes bras.
- Ne me refais plus ça.
Zaïr : sourire T'es là depuis quand ?
- Je ne sais pas, mais j'ai attendu quand même !
Zaïr : Scuse w'Allah bébé, je sais tu m'as dis de rien faire mais regarde comment il m'a...
- Chut, dis-je en posant mon doigt contre sa lèvre. Je sais, j'étais là et j'ai tout vu. T'as essayé de te contrôler mais c'est cet idiot là, il a joué avec tes nerfs.
Zaïr : Ce fils de chien là !
- Qu'est-ce qui va ce passer pour lui ?
Zaïr : Je sais pas, mais c'est mieux je le calcul pas parce que sinon je vais avoir que des problèmes avec les keufs. En plus se fils de pute il a avoué avoir dit que de la merde pour me provoquer.
- Sur ?
Zaïr : Bah tu sais bien, quand il a dit que Aya l'avait... enfin tu captes quoi ?
- Ah bah tant mieux, bon tu viens, dis-je en montant dans la voiture côté conducteur.
Zaïr : Mais tu joues à quoi ? Mdrr c'est moi qui conduit Zëyhar.
- Monsieur veut faire des manières alors qu'il vient de sortir de garde à vue et qu'en plus c'est ma voiture.
Zaïr : pff fit-il avant de monter côté passager. Les petits sont avec qui ?
- Ils sont chez Mama.
Zaïr : Hein ?
- Bah ils sont chez ta mère quoi.
Zaïr : Non mais toi qu'est-ce que t'as dis ?
- Quoi qu'est-ce que j'ai dis ? rire.
Zaïr : T'as pas dis tantie Zëyhar mais mama.
- Ah j'ai pas fais attention, dis-je en démarrant. Et c'est grave ?
Zaïr : Non mais ça me touche que après toutes ses années tu t'es enfin décidé à ne plus l'appeler "tantie" mais "mama.
- J'ai pas fais exprès, je sais pas c'était sur le coup.
Zaïr : Oui bah c'est continu, je pense que ça lui fera plaisir.
- sourire Tu penses ?
Zaïr : Elle te considère comme sa fille Zëyhar et officiellement c'est ta belle-mère je te rappel.
- Et moi avec le temps j'ai fini par le voir comme une deuxième mère.
Zaïr : Ça fait plaisir d'entendre ça.
- À ce point ?
Zaïr : Bah oui.
- rire
Zaïr : Bon vas-y met de la musique.
- Je conduis, tu peux le faire toi.
Zaïr : Si tu veux mais ne te plains pas, dit-il avant de mettre la musique.
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« Dis moi que tu m'aimes. » - Zëyhar
Romance- ... Tu peux me le dire Zaïr ? Zaïr : Dire quoi ? - Que tu m'aimes... dis le moi. Zaïr : ... - Dis moi que tu m'aimes... Après la mort de ses parents Zëyhar, 18 ans, est accueilli par leur très proches amis qu'elle considère comme son oncle et s...