JE SUIS RESPONSABLE DE CE QUE J'ÉCRIS ET NON PAS DE CE QUE VOUS LISEZ, SI LES SCÈNES À CARACTÈRES SEXUELS VOUS DÉRANGE, VOUS N'ÊTES PAS OBLIGÉS DE LIRE CE CHAPITRE, PUISQU'IL NE CONTIENT QUE CELA, «APPROXIMATIVEMENT», OU PLUTÔT QUE D'UN INTIME RAPPROCHEMENT ENTRE DARYL ET KYLIE.
Pour ceux qui le liront, dites moi ce que vous en pensez. :)***
La question ne se posait même plus, elle l'attirait irrévocablement, il le savait. Mais ce qu'il ne savait pas, c'était comment agir vis-à-vis d'elle. Rentrerait-elle dans son jeu, ou le repousserait-elle. Il ne voulait pas d'une relation amoureuse, il voulait d'une relation libre, dans laquelle il pourrait se défouler et ne pas penser à ce qui l'entourait. Et Kylie semblait parfaite pour remplir ce rôle.
Pour Kylie, le chasseur représentait le parfait homme pour lui faire tout oublier pendant un long moment d'échange. Rien qu'à le regarder, son corps était en ébullition. Elle ne pouvait s'empêcher de s'imaginer le bien qu'il pourrait lui faire.
Les deux se combleraient à la perfection, donnant à l'autre ce qu'il demandait sans forcément attendre quelque chose de sérieux et d'épanouie par la suite. Juste de l'amusement et de l'évasion, à l'abri des regards.
Plus les minutes passées, et plus la tension devenait palpable. Tous les deux étants pleinement conscients que si ils restés ainsi encore, ne serais-ce qu'une minute. Ni l'un, ni l'autre ne pourrait empêcher l'inévitable d'arriver.
Daryl fut le premier à flancher. Et comme Kylie avait pus se l'imaginer, il saisit son corps par ses épaules, et la plaque sauvagement contre le mur le plus proche. Ses mains se déplacèrent sur ses hanches, la soulevant légèrement du sol pour accentuer son envie, alors que ses bras à elle, entourés son cou. Les lèvres du chasseur se placèrent sur la clavicule dénudée de la jeune femme, y déposant un délicat baiser, puis remonta à son cou.
Leurs regards se croisèrent, et sans pour autant ouvrir la bouche pour parler, mutuellement ils se demandèrent si ils pouvaient s'embrasser dans un léger froncement de sourcil.
Puis comme si ils venaient de réaliser ce qu'ils allaient faire, leurs lèvres se touchèrent, non pas timidement mais sauvagement.
Dixon la souleva, lui faisant enrouler ses jambes autour de son bassin, déposant mille et un baisers de parts et d'autres. Kylie lui retira habilement sa veste, tant dis que l'arbalétrier jonglé d'une main à l'autre pour le faire tomber au sol. Son t-shirt suivit rapidement sa veste, dévoilant des bras et un torse bien musclés.
Dixon la reposa au sol, lui retirant à elle aussi ses hauts, dévoilant quant à elle une poitrine bien ferme ainsi qu'un ventre malheureusement trop plat, justifié par le peu de nourriture engloutit ces derniers jours. Tout les tatouages gravés sur son corps étaient tout simplement magnifiques. Rendant son corps davantage attirant pour Dixon qui avait un léger penchant pour les femmes tatouées.
Un sourire pervers au visage, ils entamèrent d'enlever eux-mêmes leurs bas, sans pour autant se lâcher du regard. Ils se retrouvèrent nus, l'air plutôt froid en parfait contraste avec leurs peaux brûlantes.
Ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre, afin de retrouver ce surprenant et étrange plaisir qu'ils pouvaient ressentir ensemble. Avant de s'embrasser passionnément.
Il la souleva à nouveau, avant de la déposer délicatement sur le matelas qu'elle avait installé quelques jours plus tôt, puis d'une extrême habilité il entra en elle, leur union leurs faisant lâcher un grognement plaisant.
Jamais Dixon n'aurait cru, il y a encore une heure de ça, finir dans ce mirador, avec comme première pensée de s'excuser auprès d'elle, pour finir par coucher avec elle, et pour en plus, adorer ça. Il était vrai qu'elle lui faisait prendre son pied à merveille, les sensations étaient différentes, plus intenses, il ne cessait de lui en redemander plus.
Dixon ne pus s'empêcher de balader ses mains sur son corps lorsqu'il la fit passer au-dessus de lui. On pouvait dire de celui-ci qu'il était parfait. Des courbes alléchantes, des cuisses aussi fermes que sa poitrine, ou même que son fessier. Elle était vraiment attirante, et pendant quelques secondes il se sentit fier de coucher avec une femme comme elle.
Quant-il se sentit enfin venir, il se retira d'elle, impossible qu'il finisse en elle, hors de question qu'un truc aussi stupide n'arrive. À court d'idée, il la laissa allongée, à bout de souffle, se dirigea vers le balcon, et se vida à l'extérieur. Il en profita pour pisser et retourna à l'intérieur.
Elle était toujours allongée, mais couverte d'une couverture, voulant malgré ce qu'il venait se passer, préserver le peu d'intimité qu'il lui restait. Il enfila son caleçon, puis s'assit sur le matelas, en s'adossant au mur. Il s'allume une cigarette, ne la lâchant toujours pas du regard.
Elle se redressa sur ses coudes, puis chercha sa petite culotte du regard afin de l'enfiler. Une fois la chose faite, elle enfila également son soutif, ainsi que son débardeur et son t-shirt trois fois trop large. Elle se fit un rapide chignon détaché, puis s'installa à ses côtés.
«-T'aurais une clope pour moi, s't'plaît, demandât-elle. Il la regarda, puis d'un sourire imperceptible il lui en tendit une, merci Dixon.»
Elle se l'alluma, son briquet n'étant jamais vraiment loin d'elle.
«-Je pense pas être l'homme qu'il te faut.
-Et je ne pense pas être la femme qu'il te faut, elle se redressa, cherchant son regard qu'il n'arrêtait pas d'éviter, donc?, demandât-elle tout de même.
-Donc j'en sais foutrement rien.
-Qui ne tente rien, n'a rien comme on dit, dit-elle en rigolant, ça peut pas faire plus de mal que de bien si?
-Tu parais bien sûr de toi.
-Bizarrement, je le suis.
-Dans ce cas, est-ce que toi, t'es prête à me découvrir aussi? Je parlerais plus de mystères ou de malheurs, mais bon ces toi qui vois, dit-il en ricanant nerveusement.
-Plus que jamais.»
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The walk of undead.
FanfictionP.A.U.S.E. & R.E.E.C.R.I.T.U.R.E. Un jour ou l'autre, la mort parvient à vous atteindre. Ce jour là, votre destin est entre vos mains. Soit vous abandonnez, soit vous persistez. Apparemment, pour elle, son heure n'était pas encore arrivée. Car mal...