Chapitre 2

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Yann Lancey

La nuit commence à tomber sur le chic quartier de new ice. Je ferme mon ordinateur et je tourne mon siège vers ma grande baie vitrée qui me permet d'admirer une vue plus que magnifique sur ce quartier.

De mon entreprise, je constate que j'ai bâti un empire plus que bien placé. Je souris , je suis un homme riche et puissant.
Pourtant je sens qu'il me manque une chose. Depuis plusieurs jours, je sens un vide au fond de moi. Est-ce la crise de la trentaine ?

Je prends ma mallette et reprends ma veste sur mon siège. Je sors du bureau en adressant un dernier aurevoir à Hanna, mon amie qui a bien voulu m'aider a trouver une secrétaire.

- Demain commence l'entretien me dit-elle en souriant

Je lui rendis son sourire. C'est la seule femme avec qui je me sens bien. Une vraie amie pour moi.

- Hanna ne me dit pas que tu veux déjà me quitter ? Dis-je en lui faisant un visage triste.

- Bien sûr que non je veux juste reprendre ma vie habituelle. N'oublie pas que je suis déjà ton assistante et c'est très fatiguant d'occuper deux postes à la fois.

- Sache que tu as été de loin la meilleure secrétaire remplaçante que je n'ai jamais eu.

Elle me sourit puis je lui adresse un dernier aurevoir avant de partir. Le gardien me sourit gentiment puis me rend les clés de mon Audi garée dans le parking souterrain de mon entreprise.

***

En rentrant chez moi , je sens déjà l'odeur fait maison des pommes de terre que Olga ma gouvernante m'a cuisinée. L'odeur qui pénètre dans mes narines est divine. Je pose mes clés à l'entrée puis j'aperçois ma copine Sabrina venir m'embrasser.

- Comment vas-tu mon cœur ? Me dit-elle d'une voie mielleuse séparant ses lèvres des miennes.

- Bien merci. Lui répondis en la repoussant. Elle devient beaucoup trop collante.

Je me dirige déjà vers la cuisine pour dire bonsoir à Olga que j'ai toujours considéré comme ma deuxième mère depuis que je l'ai embauché. C'est une femme de petite taille à fort caractère.

- Comment tu vas mon petit ? Me demande t-elle

- Bien depuis que j'ai senti la délicieuse odeur de tes lasagnes Olga. Lui répondis-Je en la prenant dans mes bras.

- Ça me rassure , alors soit prêt pour le dîner de vingt heures trente. Dit-elle en souriant.

Je regagne ma chambre qui est au premier étage de ma maison pour me changer.

En attendant le dîner j'en profite pour travailler sur quelques petits détails qui me manque pour boucler une affaire.

- Tu travaille trop me dit Sabrina en venant me faire un massage aux épaules.

- Je sais bébé mais je dois m'occuper de cette affaires. Lui répondis-je en laissant mon ordinateur sur le  bureau et elle viens s'installer sur mes genoux.

Je regardais encore une fois Sabrina me sourire. Elle était magnifique. Ses yeux était vairons lui donnant un air mystérieux. C'est cheveux blonds bouclés lui arrivait à son dos et ses pulpeuses lèvres. On n'aurait dit le visage d'un ange.

En la voyant je me soudainement qu'un enfant d'elle et moi ne serait peu être pas mal. Surtout un garçon il aurait ses boucles bonds et mes tâches de rousseurs. Avec une joue potelée. Je souris à cette pensée quand Sabrina m'interpelle.

- A quoi tu penses chéri ? Me dit-elle essayant d'attirer mon attention.

- Je me disais qu'un enfant de nous ne serait pas mal.

Elle fronça les sourcils. Elle connaissait mon désir d'avoir un enfant avec elle, elle savait que je voulais qu'elle soit la mère de mes enfants mais elle voulait plus, une vie de princesse à qui son prince donne tous.

- Je t'arrête tout suite Yann , si tu veux un enfant de moi il faudra d'abord m'épouser devant la mairie. Dit-elle en se levant brusquement.

Je soupire doucement, elle était têtue. Tous ce que je voulais c'était un enfant mais elle voulait le mariage grandiose, que je la présente à ma famille, et tous ce qui va avec l'engagement. Je n'étais pas prêt à être cet homme. Pourquoi ne peut-elle pas être juste ma copine ?

J'étais allé jusqu'à jeter ses pilules , les remplacer par des bonbons mais rien n'y fit , elle était très douée.

Elle sentait que je ne voulait pas lui répondre donc elle partie , la tête haute de la pièce.

Peut-être devrai-je accepter ces conditions ? C'était le prix à payer si je voulais cet enfant.

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Désolé chapitre non corrigé dites moi si il y a des fautes XX

Le contrat ( terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant