-Qu'est-ce que vous allez faire de lui?
-De quoi tu parles?
-Vous savez très bien de quoi je parle.
-On va sûrement le laisser pendouiller ici un moment. Il va se décomposer tout seul. On enterrera les ossements dans les champs. Comme toujours. Mange maintenant.
Je regarde l'assiette de soupe devant moi, et même si mon estomac crie famine je refuse d'avaler quoi que se soit venant d'eux.
-Combien?
-Combien quoi?
-Combien de personnes avez vous tué.
-Pas tant que ça tu sais. La plus part du temps on s'amuse longtemps avec.
-Quand allez vous me tuer moi? Je veux mourir.
-Ne dis pas ça. Il te reste encore longtemps à vivre. Le temps qu'on se lasse de toi. Mange.
-Non.
-Mange!
-NON!!!
Je me lève en jetant l'assiette qui vole à travers la pièce.
-Calme toi immédiatement. Ou alors on va jouer à un nouveau jeu.
-ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE! ALLEZ TOUS VOUS FAIRE FOUTRE!!!
-Comme tu voudras. Alors la règle est simple: tu dois tenir le plus longtemps que tu peux sans hurler.
Juan m'attrape par la nuque et me colle à plat ventre contre la table, la joue collée contre le bois.
Je me débats mais il me tient fermement.
-LACHEZ MOI!!!
Il retire mon jean et le siens.
-Plus tu résisteras plus se sera douloureux ma belle.
Je pousse un hurlement de douleur et d'horreur lorsqu'il me pénètre violemment.
Il se penche sur moi et me chuchote à l'oreille:
-Tu n'as pas tenue très longtemps cette fois...
Il se retire puis recommence encore plus violemment, donnant des coups de reins puissants.
Je hurle. Je me débats. Je crie. Je pleure. Mais toujours il continue.
Il continue pendant plusieurs minutes interminables.
A la fin je ne me débats plus.
Je le laisse faire, priant pour que cela finisse.
Et puis il finit par se retirer pour de bon et me donne une claque sur la fesse.
-Tu es calmée? Alors maintenant tu vas pouvoir manger.
Il m'attrape par les cheveux et me colle face contre le sol.
-Lèche ta soupe!!!
Je pleure sans m'arrêter. De la bave, des larmes et de la morve se mélange sur mon visage.
-MANGE!
J'obéis et lèche à même le sol la soupe que j'ai fait tomber.
-C'est bien ma belle. Tu vois que tu peux le faire...
