14-Le mystère

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Je dois avouer que j'étais loin, mais alors vraiment loin de m'attendre à ça...

Lorsqu'il m'avait invité à entrer, juste après nous avoir fait enlever nos rangers, j'avais franchi le pas de la porte prudemment, avançant sur le parquet marron bois à peine illuminer par la lumière du couloir, et pour l'instant seule la faible lumière de lune illuminant cette pièce me guidait, je ne m'étais même pas rendu compte que le soleil s'était déjà couché.

Une lumière tamisée venait de s'allumer, je suppose que ce devait être Romain juste derrière moi venait de l'actionner, mais je ne n'avais pas vraiment le temps de penser à ça, j'étais bien trop obnubilé par le spectacle qui s'offrait à moi...

A ma gauche se trouvait une roue verticale amovible, en cuire noire avec plusieurs attaches, pour maintenir, fort probablement sa victime, la tête en bas. De plus elle avait l'air déplaçable horizontalement, vu la place qui me séparait de cette roue. Juste après cette roue je pouvais voir une cage carrée à roulettes, un peu moins grande que ma taille...

Quant à ma droite je pouvais voir, une immense croix en forme de multiplication à taille humaine, avec des attaches à chaque bout, après coup je trouvais, ma description un peu puérile voir naïve, mais sur le moment, je n'avais pas d'autre mot pour décrire ce que j'observais. Et un mettre à coté je pouvais voir une sorte de pilori en bois, ouvrable avec 3 emplacement, un grand trou pour la tête et deux plus petit pour maintenir les mains emprisonnées de chaque côté.

A son exact opposé se trouvait du côté gauche une barre en métal allant du sol au plafond, bien que je n'en aie jamais vu de ma vie, cela ressemblait sans nul doute à une barre de pole dance.

Et entre les deux côtés de la pièce, était suspendu une sorte de balançoires, avec diverses sangles.

Sans m'en rendre compte, je m'étais avancée vers cette balançoire, et c'est à ce moment que quelque chose attira particulièrement mon attention, car de chaque côté des murs couleurs marrons chocolat-caramel, juste après la barre, et le pilori, se trouvaient de multiple objets divers et variés en tout genre...

Cela, allait des cannes de proportion et de longueurs diverses, en passant par des menottes, avec ou sans fourrure selon les préférences. Mais ce n'était pas le plus surprenant encore, il y avait aussi des sangles, des attaches, des plumes, ainsi que des cravaches, ou des cordes de différentes couleurs, j'en voyais des vertes, des rouges, des bleues et même des jaunes.

Je voyais également des laisses et des colliers en cuir ou encore des fouets ou des martinets, mais aussi des objets pour moi non identifiés, comme un martinet différent avec au bout de chaque corde un nud, mais il y avait encore d'autres objets qui me paraissaient étranges, comme des sortes de bout de bois et des métaux en forme de règles avec un manche ou en formes de brosses à cheveux, mais sans les picots et bien sûr sans les cheveux.

Après mettre remis de ma stupéfaction devant ces objets des plus étranges, je continuais mon inspection en silence. Je sentais vaguement la présence de Romain dans mon dos en tout cas je ne le voyais et il ne disait rien non plus, fort heureusement car j'avais besoin de silence et de calme, pour réfléchir tranquillement au guêpier dans lequel je m'étais fourrée, qui ressemblait, maintenant que j'y réfléchissais plus sérieusement, vraisemblablement à un donjon ! D'ailleurs la fenêtre du côté gauche, vers la barre de pole dance, illuminant le canapé en cuir rouge juste en dessous d'elle, semblait d'accord avec moi avec des barreaux qui sectionnaient la lumière de la lune en diverses parties.

De l'autre côté vers le mur de droite à l'exacte opposé du divan en cuir rouge était placé un drôle d'objet. En premier lieu j'aurais pu croire à un cheval d'arçon en bois arrondi, entièrement recouvert de cuir noir, mais c'était sans compter les deux planches en cuir juste devant sortant de l'objet, servant sans doute à poser ses genoux de chaque côté, avec deux sangles, permettant d'attacher les jambes du côté gauche et droit des deux planches, laissant un trou entre les jambes pour une vision direct sur le sexe de la personne qui essayerais ce truc, avec des sangles de chaque côté, je supposais qu'ils étaient là pour immobiliser las bras de sa proie.

L'espéranceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant