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17 Septembre 2017 :
Point de vue de Kelly :

Je cours à toute allure à travers les rues, le souffle court.
Ayant ratter mon réveil à 6h, je me suis réveiller à 7h. Sachant que le bus part à 7h10, j'ai juste enfiler mes vêtements que j'avais préparer la veille et ai pris simplement des feuilles pour la journée avec ma trousse. Préférant supprimée mon petit-déjeuner pour parcourrir le chemin que j'effectue chaque matin d'école en quelques minutes, je me retrouve à faire le marathon en priant pour que le conducteur du bus ait du retard et qu'il ne passe pas avant que je n'arrive.
Malheureusement, lorsque j'arrive, je le vois tourner au bous de la rue. Je comprends donc en ne voyant plus personne à l'arrêt de bus, que je suis arrivée trop tard. Je mets un petit temps à reprendre mon souffle, me maudissant d'avoir pris des ballerine pour me chausser alors que je vais devoir courir jusqu'au lycée pour ne pas avoir un retard et une engueulade de la part de mon tuteur en rentrant ce soir.
Je reprends donc mon souffle avant de repartir en courrant sur le trajet de l'école, évitant à plusieurs reprises de me casser la figure à cause de mes chaussures. J'arrive quelques minutes après devant le portail, complètement essoufflée et je pose mes mains sur mes genoux en me penchant en avant pour pouvoir respirer, me rendant compte qu'il me reste 10 minutes avant que la cloche sonne.

- On a couru le marathon pour ne pas louper les cours ? Ricane une voix près de moi.

Je me redresse en vitesse pour ne pas paraître au bord de l'évanouissement et tourne la tête vers la droite où je découvre trois garçons en train de fumé en me regardant, adossée contre le mur du portail.
Il y a Will Kace, un garçon aux cheveux noir corbeau et aux yeux sombre, qui est le plus proche de moi. Il a une peau matte qui ressort à cause des tons claires de ses vêtements. Son visage laisse bien voir sa machoire puissante. À côté de lui, le dos contre le mur et un pied sur celui ci, se trouve Gabriel Mathis. C'est un châtain clair avec une énorme mèche sur le devant, cachant un peu son front, la peau claire et des yeux bleus vifs avec le visage ovale. Et le dernier, assit par terre devant ses amis, Fabien Stuart me fixe. Ses cheveux blonds coupés en brosse lui tombe un peu devant ses yeux noisettes. Sa peau bronzé de cet été ressort à cause de ses vêtements blanc et gris et son visage rond est tourné vers moi.
Ils sont tous les trois des garçons à  fille, celles-ci tombent à genoux devant eux en bavant littéralement sur eux. Ils sont populaire, surtout. Je les connais de vue, puisqu'ils ont quelques cours avec moi. Ils sont tous assez intimidant avec leurs airs de "monsieur tout permi" et leur connerie à la gomme.
Je secoue de la tête de gauche à droite en me souvenant de la question, mais sursaute en entendant la sonnerie. Je me dépêche donc de rentré dans l'établissement pour aller en classe.