Je ne suis pas prête, je ne veux pas y retourner, j'ai peur, non je suis terrifiée à l'idée de mettre un pied dans un établissement scolaire. Je ne me sens pas assez forte mentalement pour être au contacte d'une centaine de personnes pendant cinq heures par jours. J'ai l'impression que c'est trop rapide. Il y a quelques mois j'étais à l'hôpital, voulant mourir et aujourd'hui je m'apprête à retourner en cours. C'est vraiment trop rapide.
- Ava arrête de te ronger les ongles, me réprimanda ma mère concentré sur la route
Je suis stressé et quand je suis stressé je me ronge les ongles. J'ai une boule au ventre si grosse que j'ai envie de vomir. Je vois le paysage défiler à toute allure. Je sens qu'on se rapproche de mon nouvelle établissement, je me sens pas prête du tout à affronter de nouveau le regard de centaine d'élèves. La voiture ralentie en arrivant sur le parking de l'établissement.
Ma mère se gare avec aisance puis elle éteint le contacte.
- Ca va aller chérie, dit-elle d'une voix douce
Incapable de parler je fais un signe négatif de la tête, j'arrête enfin de me ronger les ongles et tourne la tête vers ma mère, les larmes me piquant les yeux.
- Oh ! Ma chérie je te jure que ces différents ici, tu peux y arriver. Tu nous as prouvée ces derniers mois que tu es plus forte que tu ne le pense ma puce. Ne t'en fait pas tout va bien ce passer. Aller sort de cette voiture. Me consola ma mère
Je soupire un grand coup, je ne me sens même pas capable de répondre à ma mère alors je prends mon sac de cours puis sort de la voiture. Je m'approche de l'école qui est une immense bâtisse blanche avec un immense parc où tout un tas de personnes discutent assis dans l'herbe. Je me sens comme dans les films américains.
Je marche sur l'allée principale donnant sur l'entrée de ce bâtiment majestueux. Le bâtiment vue d'en bas paraît tellement haut il doit y avoir au moins quatre étages, la façade est blanche avec plusieurs fenêtres à chaque étages qui sont toutes alignés au centimètre prêt. Je prends les escaliers afin d'accédé à l'entrée de l'école par d'immense porte en bois. L'intérieur est tout aussi majestueux que l'extérieur. Le sol est en parquet foncé, le couloir principal semble ne jamais ce terminé de nombreux casier bleu sont de paré d'autre du couloir. Je tourne la tête à droit et il y a une porte en bois avec une petite fenêtre sur celle-ci. Au dessus de la porte est inscrit « Secrétariat ».
Je me sens soulagé de trouvé directement le secrétariat, cela m'évite des moments embarrassant envers mes potentiel camarades de classe en essayant de me faire comprendre pour trouver le secrétariat de cette école.
Ni une, ni deux j'ouvre la porte et rentre dans cette grande pièce tout en bois. Je crois que c'est la devise de l'école, le bois. Devant moi il y a un bureau gigantesque toujours en bois derrière celui ci il y a une vielle dame à lunette, coiffé d'un chinons bien trop serré. En m'entendant rentrée dans la pièce la vielle dame me regarde par dessus ces lunette violette.
- Que puis-je faire pour vous ? Demanda t-elle d'une voix enroué sûrement dû à une consommation excessive de cigarette.
- euh... Bonjour, je m'appelle Ava Dubrin. Tentais-je de dire en anglais.
Sans un mot la dame parti de son bureau pour passé la porte qui se situé à gauche. Je l'entendis discuter avec une autre personne, mais je ne compris que des brides de conversation l'anglais n'étant pas ma langue maternelle j'eus encore du mal à comprendre tout le monde ainsi qu'a le parler. Vivre ici était un défi, comme m'intégrer sera un énorme défi. La secrétaire sort de cette fameuse pièce, elle m'indiqua gentiment d'y entrée.
Je fus accueilli par le directeur de l'école, un homme très grand aux cheveux bruns, habillé d'un costume trois pièces sûrement créent sur-mesure pour lui. Je m'attendais à voir un homme chauve avec la clope au bec ainsi que le verre de scotch sur le bureau mais rien de ça.
L'homme m dit de m'asseoir sur le fauteuil imposant devant son bureau. Lui s'installa confortablement derrière celui ci. J'étudiais la pièce furtivement. Ce fut une pièce assez sombre avec de nombreuse bibliothèque remplie de dossiers scolaire. Le directeur se présenta à moi et m'expliqua le fonctionnement de l'école. D'après lui il n'y a zéro tolérance de harcèlement, de bagarre et d'échec. Il m'informa aussi que ce qui c'était passé dans ma dernière école en France ne se reproduirais pas ici, je fus soulagé de le savoir comme agacé que ce directeur le sache déjà je ne voulais pas que cela se sache dans ce nouveau départ.
Il m'informa aussi que j'aurais des cours particulier pour l'anglais afin de rattrapé cette immense retard que j'ai. Après une heure d'échange avec le proviseur je fus enfin congédié avec un tas de papier en main. Je fus soulagé de sortir de ce bureau, je suis déjà épuisé de ma journée. Je me sens complètement étrangère, pas à ma place. Des tas de questions ce bouscule dans ma tête. Vais-je y arriver ? Va t-on m'appréciait ? Comment sont les gens d'ici ?
Par chance les cours avaient commencé, alors j'étais seul dans les couloirs à cherche ma nouvelle classe, d'après mon emploie du temps, ils sont en cours de français au deuxième étages. Après dix minutes de recherche intensive dans ce labyrinthe je trouve enfin la salle de classe.
Je frappe à la porte et attends qu'on me dise d'entrée, quand j'entre dans la salle de classe la plus banale qui soit, je remarque que tous les élèves ont les yeux braqué sur moi comme si j'étais la nouvelle attraction. J'eus qu'une seul envie à ce moment-ci c'est de prendre la fuite est partir tellement loin que personne ne me retrouverais. Comme me caché dans la forêt amazonienne.
- Bonjour, je suis la nouvelle, Ava.
Ma langue maternelle repris le déçus, que j'oubliai que nous étions au état unis.
Se manque de tacts fis rire mon professeur de français, elle me dit que je ferrais sûrement remonter la moyenne de classe de cette matière puis me demanda de m'assoie à une table disponible. Je traversé la salle sous le regard et les chuchotis des nouveaux camarades. J'arrivai pas à détermine si il se foutait de moi ou que je les intriguais. Je déteste être la nouvelle, je me sens tellement mal à l'aise et on ne peut pas dire que je peux fondre dans la masse avec un corps aussi imposant. Comment allais-je survivre à cette journée ? Pourquoi m'a t'on obligé à retourner en cours.
Le cours repris, je regardais droit devant moi, et je détaillais ce professeur qui est une femme, vraiment très belle et très féminine, avec un corps comme dans les magasines ou sur instagram. Cette femme à de quoi nous faire culpabilisé, nous les gros. Elle est blonde, maquillé à la perfection, elle porte un jean moulant avec un tee-shirt rouge et des baskets blanches, je suis sur qu'elle à moins de trente ans.
Je regardais un à un les élèves de la classe, je remarque que chacun à son styles, tous sont différents. Mais comme en France le premier rang et dédier au intello et le dernier à ceux qui en ont rien à faire du cours et au milieu il y a ceux qui essaye de suivre, les rêveurs, les dessinateurs en herbe.
- Salut, moi c'est Dean. Chuchota une voix roque à mes côté.
Je tourne la tête et vis un garçon de mon âge, à lunette bleue et aux cheveux noir, lui aussi avait son propre styles, il est vraiment bien habillé avec une chemise bleue et son noueux papillons noir à motif.
- euh... Ava, dis-je simplement ne voulant pas me lançais dans des phrases trop compliqué pour mon niveau médiocre.
- j'aime trop ton accent frenchi, rigola t-il
Le professeur repris mon camarade de classe à l'ordre en lui disant que si il se concentrait pas, jamais il n'aurait la moyenne ce semestre ci. Cela me fit sourire. Pour la première fois depuis des mois et des mois, une personne m'a parlé normalement sans insultes. Je ressens une sensation étrange, de la joie ? Du bonheur ? Du soulagement ? Je n'en sais rien du tout, mais ça fait du bien, finalement est-ce que ça sera si terrible ? Je ne pense pas. Je pense qu'une page se tourne réellement même si les blessures psychologique seront toujours la. J'espère pouvoir avancer de nouveau dans cette nouvelle vie.
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Le combat de ma vie.
General FictionTous les jours, c'est la même rengaine, les mêmes moqueries, les mêmes insultes, toujours les mêmes qui me pointent du doigt. Toujours ces mêmes personnes qui me jugent, me détestent et se moquent de moi.