Ce n'était qu'un défi

Chapitre 18

Moi : On est quoi tous les deux ?

Lui : Euh...on est en couple ?

Un grand sourire se dessine peu à peu sur mon visage. Je ne peux résister, je me lève et me penche vers lui pour atteindre ses lèvres il bascule à l'arrière et je tombe avec lui. Nous sommes tous les deux par terre et rions.

Il s'arrette et plante son regard dans le mien. De ses grandes mains il emprisonne mon visage, et m'embrasse. D'abord avec douceur et je lâche soudain prise avec la réalité. Plaquée contre son torse musclé, happant ses lèvres avec passion mes mains agrippèrent son t-shirt. Ses lèvres ont toujours le même goût que ce matin. Ses doigts se glissent dans ma tresse déjà bien défaite mais il finit le travail.

A contrecœur, je lâche prise manquant de souffle. Il n'a toujours pas relâché son étreinte. Je sens son souffle balayer mon visage, et je brûle de gouter à nouveau à ce baiser fiévreux.

Lui : Je vous aime mademoiselle Taylor Rogers.

Moi : Je vous aime encore plus monsieur Justin Bradley.

Lui : Si celà est possible...

Il pose de nouveau ses lèvres sur les miennes avant que je me lève.

Moi : Mon ventre crit famine !

Il se lève et m'enlasse en me chuchotant à l'oreille.

Lui : Je t'invite au restaurant beauté.

Il mêle nos mains ensemble et me traîne jusqu'à un restaurant italien.

Nous rentrons et on nous installe à une table avant de nous apporter les cartes.

Moi : T'as vu les prix Justin ! M'exclamai-je.

Lui : Je pourrais tout t'offrir Taylor, regarde pas les prix mais plûtot les plats.

Il pose sa main sur la mienne qui est libre.

Moi : Tu prends quoi, mon coeur ?

Lui : Des spagetthis.

Moi : Je crois que je vais prendre comme toi.

Je replis le menu et fixe le beau brun.

Moi : On va chez moi après ?

Lui : Si tu veux.

Une serveuse arrive pour prendre nos commandes. Elle est très vulgairement vétue, c'est tout juste si ses siens ne débordent pas de son débardeur. Elle dévore littéralement Justin des yeux mais celui-ci me fixe.

Elle : Que prendrez-vous ?

Mon copain relève la tête, tombe nez à nez avec la poitrine de la pouf et se mit à la fixer

Lui : Deux spagetthis avec deux coca.

Je lui donne un coup de pied sous la table pour qu'il me regarde et non cette chienne en chaleur qui s'éloigne. Il tourne la tête vers moi avec un sourire pervers.

Lui : Ma copine est jalouse ?

Moi : Non...répondis-je inocemment en baissant la tète.

Il me fait le regarder en me redressant ma tête à l'aide de de son index.

Moi : Bon d'accord je suis jalouse, avouai-je.

Il approche son visage du mien et me chuchote à l'oreille.

Lui : Je t'aime.

Moi : Je reviens je vais aux toilettes.

PDV de Justin