Chapitre XVII

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Jenifer est assise sur un fauteuil en cuire noire, autour d'elle tout est tellement sombre. elle se sens comme paralyser, seule ses yeux parviennent à bouger. Elle scrute alors doucement la pièce dans la quelle elle se trouve. Les murs autour d'elle on l'aire d'être en béton brute ainsi que le sol et le plafond aussi. Il n'y a pas une seule trace de couleur, pas un meuble, pas de porte non plus. Il n'y a aucune fenêtre. Il n'y a rien, si ce n'est un petit renfoncement qui semble être un couloir mais la perspective est mauvaise. Il y a aussi une la lumière très faible mais quand même présente, la source de cette éclairage en revanche, elle reste introuvable. Elle tante autant qu'elle peux de bouger mais rien, il ne se passe rien. C'est la qu'une petite voix vient a son oreille. C'est la voix d'un enfant, d'une petite fille même.

PF: regarde toi.

Jenifer reconnais alors cette voix lointaine. Cette voix si familière, cette voix qui remonte droit de ses souvenirs. C'est là siennes. C'est elle cette petite fille.

Pf: regarde toi... tu n'est plus rien. Tu gâche la vie dont on n'a toujours rêvé. Tu ressemble a une épave. Il faut que tu réagisse, sort, vas danser, vas t'amuser, rie, vie.... réveille toi.

Elle répète en boucle c'est deux derniers mots. Le song de la voix augmente petit à petit à chaque fois qu'elle dit « réveille toi ». Elle en viens même à le crier. D'ailleurs c'est sous les cries de cette voix qu'elle se réveille enfin. Elle se lève de son lit en un bon et bouger devient plus que vitale. Elle doit sentir qu'elle contrôle encore son corps. Sentir qu'elle a encore un peu d'influence sur sa propre vie. Une fois qu'elle a bien fait bouger chaque membre de son corps, elle se rallonge sur le lit mais elle ne ferme pas les yeux et elle regarde le plafond blanc au quelle est accrocher un ventilateur. Les palme de celui ci tourne à une telle vitesse qu'elle est bercée ou plutôt hypnotisée par le mouvement et elle replonge dans ses rêve. Elle se réveille de nouveau dans un sursaut. Elle a refait le même rêve à l'identique. Elle se lève donc et décide d'aller boire un grand verre de lait chaud pour l'aider à s'endormir. Quand elle se rendort enfin, rapidement elle se retrouve de nouveau paralysée sur le fauteuil.

Pensée de jen
Cette voix encore cette putin de voix. Mais faite la taire.

Voi : mais regarde toi, tu est pathétique.

Jen cris mais rien absolument rien ne sort.

Mais ta geule. Ferme la. T'aies toi t'aies toi t'aies toi...

Voi: tu ne sert a rien, tu n'a aucune ambition. Tu n'est rien, tu vas mourir sur se fauteuil.

Nonnn laissez moi partir

Voi: tu voudrais sûrement t'enfuir, mais vas-y, ici rien ne te retiens. Tu vas te réveiller et sortir.

Elle m'entend ?! Non, quoi ?

Voi: bien sûr que je t'entends. Je suis là, dans ta tête. Toi c'est moi et moi c'est toi, c'est simple non ?

Pourquoi je peux pas bouger?

Voi: mais tu pourrais. C'est toi qui décide, tu peux prendre le Contrôle des chose.

Comment? aide moi.

Elle pleure mais aucune larme ne coule sur sa joue. Elle s'arrache les cheveux elle s'agite dans tout les sens mais son corps ne fait pas le moindre mouvement. Elle crie mais pas le moindre song ne se fait entendre. Rien c'est le calme plats dans la salle.

Voi: tu est la seule à pouvoir trouver la réponse.

Mais tu le sais.

Voi: je ne dirais rien à se sujet.

Mais pourquoi?

Voi: si j'ai la réponse c'est que tu l'as aussi. Tu na pas besoin que je te donne la réponse, seulement que je te disent d'allez la chercher.

Mais où ?

Voi: dans la vrais vie, dans le monde, de hors. Ou tu veux. Ouvre les yeux regarde la vie et sourit lui. Tu peux le faire, suffit d'imaginer une dimension dans la quelles tu est heureuse de t'enfermer dans cette dimension et d'y rester pour toujours. Tu ferme la porte de ton paradis secret à double tour et tu lance la clef.

C'est n'importe quoi.

Voi: je te ferais remarquer que se son tes idées, moi je n'existe pas. Alors si c'est n'importe quoi ta cas te réveiller.

Une ombre de petite fille s'en fuit en courant et la vois cris « réveille toi » c'est si violant qu'elle en sursaute. Elle se lève du lit c'est plus fort qu'elles.  Elle enfile une robe de chambre blanche où les initiales MP son brodé en noir. Elle traverse le couloir et passe à coter de la chambre de Matt qui est réveillé lui aussi. Il ne dit rien et la brune pense qu'il dort. Elle n'allume aucune lumière elle se contente d'avancer droit vers la terrasse elle s'arrête devant la grand porte vitrée. Elle prend une grande inspiration et souffle doucement. Elle est tellement concentrée qu'elle n'a pas remarqué qu'un homme se tenais tapie dans l'ombre de l'autre conter de la pièce. Il l'observe la jeune femme ouvrir la porte et la bloquer. Elle sens l'aire froid sur son visage, dans son coup, et sur ses jambes nue. Le souffle glacer lui gèle les poumons, ils se gonflent si fort c'est comme une renaissance le sentiment est si bon qu'elle en verse une larme. Elle laisse son pied glisser sur le faut gazon, sa semble si naturel si vrais, elle sens les goute d'eau sous ses pied. C'est froid mais pas désagréable. Une main viens se poser autour de ses hanches, sa la sort de ses pensés immédiatement. Sur le coup elle sursaute et son cœur accélère mais la vois grave et douce de Matt la calme instantanée.

Matt: je suis fier de toi.
Jen: vraiment?
Matt: oui...
jen: tu sais que ça vas être long, je suis pas encore prête à marcher dans la rue, à voir des gens me sourire et souhaiter la bonne journée sans savoir à quelle point celle-ci sera long et dur à supporter.
Matt: je sais, c'est pas se que je te demande, profite juste de se moment. Avance étape par étape.

Il l'a tourne face à lui et lui sourit. Si il ne savais ce qu'il sais il l'embrasserais là maintenant sous la lune et les étoile que la nuit parisienne a finalement laisser apparaître juste pour cette instant.

Ça fait si mal Où les histoires vivent. Découvrez maintenant