Chapitre XX

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Se matin c'est difficile pour Matt, il a la tête en vrac, à vrais dir il n'est même pas sur que se soit vraiment le matin. Il se lève, prend une douche et traîne dès pied jusqu'au salon.

Jen: t'es réveillé.
Matt: euh vaguement, et toi t'a fait le petit déjeuner.
Jen : j'ai décidé d'être optimiste.
Matt: depuis quand.
Jen: maintenant.
Matt: ça a un rapport avec le rendez-vous avec le psy.

Jenifer lâche la tasse de café qu'elle comptait servir à Matt, celle-ci se brise au sol au même moment ou la brune éclate en sanglots.

Jen: je ne veux pas qu'il dise que je suis folle ou dépressive, je ne veux pas qu'il le dise.
Matt: personne ne dira ça jen, t'es loin d'être folle personne n'a jamais remis sa en doute.
Jen: se serais plus simple pourtant si tout ça n'étais qu'une folie de mon esprit. Si rien n'étais jamais réellement arrivé.
Matt: oui mais c'est arriver et tu n'est pas folle.

Jenifer se blotti contre Matt. Il resserre ses bras autour elle et semble hésitera parler.

Jen: qu'est-ce qu'il y'a? C'est moi qui te gêne maintenant?
Matt: Non, non jamais mais c'est juste que... tu me détestes pas.
Jen: non. pourquoi ?
Matt: euh... par rapport à Tal.
Jen: je t'en ai voulut... même très fort mais je sais que c'est de ma faute.
Matt : non c'est...
Jen: laisse moi finir... je sais que c'est de ma faute, ça fait des semaines que tu attend qu' au minimum je clarifie notre situation. Et je l'ai pas fait. Je suis là comme, comme un parasite... je suis accroché à toi et en même temps je te repousse sans cesse. Je comprend que tu est eu besoin d'aller voir ailleurs.
Matt: arête j'ai été con je suis désolé, et t'es loin d'être « un parasite » après tout c'est moi qui t'es invité.
Jen: et tu vois t'es encore là à faire comme si tout allais bien comme si rien étais jamais grave. Tout tes plus simple dans tes bras.

Ils se regarde tous les deux dans les yeux un silence presque gênant s'installe et là à là grand surpris de Matt jenifer monte sur la pointe des pieds et les yeux fermés, dépose ses lèvre contre les sienne. Bien que la sensation de chaleur qui parcourt sa bouche soit très agréable c'est une expression de douleur qui transperce son visage, c'est comme si elle se forçais pour faire quelques chose qui lui ferais du bien. Elle reconnais se sentiment, elle l'a déjà ressenti. C'est le même que celui qui l'habite avant de monter sur scène quand son ventre se tord de stresse que dans sa tête l'es parole de toute ses chanson se mélange mais que tout devien claire une fois sur scène que tout son corps se détend et que tout semble se passer comme prévu. Ça fait si longtemps qu'elle n'a pas sentie ça, si longtemps qu'elle n'a pas eu l'impression de contrôler ce qui lui arrive. Matt se recule légèrement surpris puis retrouve le contact. Il glisse une main dans son dos et la laisse descendre mais jen se recule et le repousse légèrement. Le contrôle est perdu.

Jen: doucement.
Matt: désolé.
Jen: commence pas a t'excuser sinon sa devenir gênant.
Matt: oui des...
jen: bon euh j'ai rendez-vous non?
Matt: bas si on pars maintenant on aura près d'une heur d'avance.
Jen: alors quitte à sortir autant le faire vraiment.
Matt: qu'est-ce que tu veux dire?
Jen: on pourrais sortir manger.
Matt: tu veux allez où? Rive droite, le clarence ou au plaza.
Jen: je préfère un burger...
Matt: ah eu oui ok.
Jen : burger king c'est bien aussi.
Matt: oui bien sûr.

Jenifer prend son sac et Matt lui ses clé de voiture. Ils partent ensemble jusqu'au parking de l'immeuble. Quand la voiture sort pour rejoindre la route une orde de paparzzie les prend en chasse entre scooter motos et voitures Matt tente de les semer. Jenifer elle en pleine conversation téléphonique avec la police.

Jen: Matt.
Matt: oui.
Jen: euh il on dit d'allez au commissariat mais que bas il pouvais rien faire pour nous si se n'est nous proposer une escorte pour aujourd'hui.
Matt: ok, bas je suis désolé pour ton burger.
Jen: t'inquiète j'ai l'habitude maintenant.

Ça fait si mal Où les histoires vivent. Découvrez maintenant