BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]

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PDV : DALAYLA

J'étais seule dans ma chambre d'hôpital. Farid était partit le matin et je m'ennuie.

Je veux juste m'en aller de ce lieu. J'en peux plus de l'odeur, la nourriture, les piqûres, les médicaments et chaque jours il fallait qu'ils me fassent des examens.

Bref donc j'etais entrain de toucher mon ventre tout en faisant quelques marches dans la chambre.

Tout mon corps était engourdi et j'en piuvais juste plus de rester coucher ou assise à longueur de journée.

La télé elle me servait à rien. Moi je voulais avoir une personne avec qui parlé.

Comme si Allah avait entendu mes prières , la porte s'ouvre laissant place à Faysal. Celle là, elle date!

Faysal : coucou!

Elle avait des sacs à la main et avait l'air heureuse.

Faysal : ma jolie!!!!

Moi : Euh...ça va?

Faysal : oui oui et toi? Attends...

Elle pose ses sacs pendant que je m'assois sur le lit. Elle tire une chaise puis l'a pose devant moi avant de s'y installer.

Faysal : comment se porte ton bébé?

Moi : il vas bien.

Enfaite je ne savais pas comment prendre la discussion avec elle. Il s'est passé tellement de chose entre nous.

Faysal : alors voilà...je sais que tu t'ennuie donc j'ai apporter des affaires à moi et je t'en ai acheter aussi. *dit-elle en se levant de la chaise*

Moi : c'est quoi?

Faysal : on vas s'amuser.

Moi : ....

Je l'a regarder faire sortir des séchoirs, des vernis, des maquillages et toutes pleines de choses.

Moi : c'est pour quoi tout ça?

Faysal : tu veux bien me faire confiance et me laissé faire?

Moi : de quoi tu parles?

Faysal : chuuuttt...

Elle s'approche de moi avec ses outils...

PDV : AHLAM

Moi : merci.

Je signe les derniers papiers pour la procédure. Je dois avouer que j'avais peur. Je savais que Aymen était déterminer a me faire du tort en me prenant mon fils mais j'allais pas le laisser faire.

Farid, je ne sais pas comment le remercier. Grâce à lui mon fils m'est revenu. Je lui en serais toujours reconnaissante.

Donc après avoir signer les documents je me levais et sortis de la salle. Farid était dehors et il m'attendais avec mon fils dans ses bras.

Lorsqu'il m'a vu, il s'est lever et est venu vers moi. Sans réfléchir, je me suis Jetté dans ses bras.

Moi : merci merci merci mille fois.

Farid : ce n'est rien.

Moi : c'est la deuxième fois que tu nous sauves.

Farid : c'est tout à fait normal. Si je ne l'avais pas fais un autre l'aurai fait.

Moi : qui? Personne me serait venu en aide j'ai eu la chance de t'avoir rencontrer.

Farid : merci.