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PDV : DALAYLA

J'ai direct appeler l'hôtel. Ils m'ont confirmer que c'était bien de l'argent envoyer dans mon compte mais que celui qui l'a fait à demandé à ce que ça soit anonyme et apparemment j'en recevrai le même prix tous les mois.

J'y croyais pas. C'était trop facile pour être vrai. Genre quoi ? On me donne de l'argent comme ça gratuitement ?

C'était pas l'argent qui me causait problème mais la personne qui me l'envoie. Mon téléphone me fit sursauter. C'était un appel de Imen.

Moi : allô.

Imen : salut. Ça va ?

Moi : oui et toi ?

Imen : pas mal. J'ai attendue tes appels mais tu ne l'a jamais fais.

Moi : c'est parce que j'étais occupée.

Imen : d'accord.

Moi : je viendrais récupérer le reste de mes bagages bientôt.

Imen : laisse moi te les apporter.

Moi : mon appart n'est pas vraiment en ordre alors je préfère venir les chercher moi même. Tu me saluera les autres. Merci .

J'ai raccrocher. Je suis sûre que c'est eux qui m'ont envoyer l'argent? Je n'ai pas besoin d'eux dans ma vie ni de leur argent. Ils peuvent le garder pour eux. Je préfère être seule maintenant.

J'ai ranger les courses puis je suis aller dans ma chambre. Je me suis allongée. J'étais choquée de me voir entrain de toucher mon ventre. Mon bébé me manque... .

FLASH-BLACK

Farid : qu'est ce qui me fait croire que tu m'aime toujours.

Moi : je suis resté ! Je t'aime ! Je te l'ai prouvé...

Farid : prouvé ? Tu n'a rien fait qui prouve que tu m'aime.

Moi : j'ai porter ton enfant !

Farid : qui est mort aujourd'hui ! Il n'est même pas venu au monde.

Moi :....

Je l'ai regarder. Comment ose t'il me dire ça ? Pourquoi il me fait ça ? Je suis humilié.

FIN.

Il a eu raison de dire que je suis incapable de lui donner un enfant. C'est pour ça que ça me fait mal... J'ai essuyer mes larmes. Je sais que ça prendra du temps pour l'oublier mais j'y arriverai.

Je me suis lève du lit lorsque j'ai vu l'appel de Faysal. Quand je pense que je ne peux plus faire confiance à certains !

Moi : salut.

Faysal : je viens de quitter chez toi là mais ils m'ont pas laissé entrer disant que Madame ***** interdit que je rentre. Si tu m'en veux toujours dis le moi et je....

Moi : ce n'était pas moi. C'est sûrement Khelti.

Faysal : tu peux sortir une minute ?

Moi : je ne vis plus là-bas.

Faysal : t'es où alors ?

Moi : je ne peux pas te le dire.

Faysal : qu'est ce que tu as ?

Moi : rien.

Faysal : est ce qu'on peux se voir quelque part ?

Moi : je ne crois pas...

BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant