PDV : AHLEM
Moi : NON LÂCHEZ MOI ! TU VEUX TE BATTRE ALORS VIENS SALE PUTE ! JE VAIS TE MONTRER CE QUE J'AI DE PLUS QUE TOI. ALLEZ VIENS.
Médina et Fadi m'ont tenus pendant que Imen et l'une de mes domestiques tenaient Dalayla.
Moi : LÂCHE LA TIMA !
La domestique a lâché Dalayla.
Médina : pourquoi vous vous battez comme ça ?
Moi : qu'est ce qu'elle fiche ici ? A ce que je sache elle n'est plus mariées à Farid !
Médina : comment ça ?
Moi : euh... Il me la dit. Il lui a envoyer les papiers du divorce.
Dalayla : ....
Imen : ce n'est pas possible ! C'est vrai Dalayla ?
Dalayla : oui c'est vrai et j'étais venue pour prendre le reste de mes affaires.
Imen : ... suit moi.
Elles sont parties accompagner de Roukaya. Médina et Fadi m'ont lâchés.
Fadi : cette maison n'est pas faite pour réglez vos comptes de femmes alors que ça ne se reproduise plus.
Moi : ....
Il est partit. Médina m'a regarder.
Médina : j'ai eu à douter de Dalayla mais toi , je ne te fais pas eu tout confiance.
Moi : pourquoi tu me dis ça ?
Médina : il y a des choses que l'on ma apprise. Tu n'est pas plus intelligente que qui que ce soit ici. Surveille tes arrières...
Elle est monter à son tour. J'ai commencer à avoir peur. Est ce qu'elle m'a vu mettre la poudre dans la nourriture de Farid? Je ne crois pas ! C'est impossible.
PDV : DALAYLA
Moi : alors elle a pris ma chambre ?
Imen : je n'ai rien pu faire. En plus Khelti est d'accord avec ça.
Moi : Tres bien. Merci d'avoir tenues ça pour moi.
Imen : c'est rien.
Roukaya : Dalayla ?
Moi : oui ?
Roukaya : tu compte laissé tout ce que tu as construit pour que cette femme te le prend ?
Moi : .... Je ne sais pas. Écoutez, il se fait tard et je dois rentrer là. On en parle la prochaine fois ?
Roukaya : ok.
On a fait un dernier câlin puis je suis sortie de la maison. Je ne sais pas ce qui s'est passé mais j'ai trébuché mais je suis pas tombés. J'ai pris un taxi vite fait.
Après être monter dans la voiture , j'ai sentis une douleur atroce venant de mon ventre. J'ai retenus ma respiration.
Chauffeur : vous allez bien ?
Moi : non...
Chauffeur : vous voulez que je vous conduise à l'hôpital ?
Moi : non ça va aller. Je peux tenir le coup. Roulés plus vite je vous en prie.
Il acquise. Je ne connaissais pas cette douleur mais elle était partie à mon plus grand soulagement. J'ai directement pris les escaliers lorsque je suis arrivée. Je ne sais pas combien j'ai donné au chauffeur mais ce n'était pas important pour moi.
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BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]
Любовные романыElle a sacrifié son amour pour sa famille . Elle lui a fait du mal en rendant l'autre heureux . BONHEUR DE MALHEUR... 3ème chronique .... Covers by : Milledya Création : Le 21/09/2018 Publication : Le 06/10/2018