BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]

-34- BONUS

Elle n'est pas très longue mais ça fera l'affaire ♥

Bonne lecture mes roses 🌹

PDV : FARID

On se rends vraiment compte de l'amour qu'on éprouve pour quelqu'un que lorsque cette personne est partie ou est sur la voie.

Mon coeur, ma tête, mon corps, tout! Je ne pouvais plus réagir ou déchiffrer ce sentiment qui me déchire le coeur et éffondre mon monde.

Ce monde, je l'avais construit avec Dalayla et cet être qui grandissait en elle allait le rendre meilleur. Mais hélas, quand tu crois que tout vas bien, il y a un problème qui te tombe dessus, puis quand tu crois avoir une personne sur qui compter, un autre te retombe dessus.

Allah n'éprouve que ceux qu'il aime certes, mais il devenait injuste avec moi. Il m'a pris mon bébé et maintenant ma femme.

[....]

?? : elle dort toujours?

Moi : oui.

Fadi : les médecins n'ont rien dit?

Moi : les analyses sortiront plus tard.

Fadi : je suis désolé pour ton bébé.

Moi : ...

Fadi : elle sera mal quand elle l'apprendra.

Moi : je ne sais même pas comment je le lui dirais.

Fadi : et tu ne peux pas non plus ne pas l'a mettre au courant, c'est la mère et elle doit savoir.

Moi : je sais.

Fadi : tu veux du café?

Moi : non. Je vais retourner dans la chambre, tu peux rentrer et informer aux autres?

Fadi : tu es sûr de toi? Je peux rester avec toi.

Moi : c'est ma femme alors ça me dérangerai pas de rester avec elle. Ça va aller!

Fadi : d'accord. Je viendrai tôt le matin avec Imen, elle restera et toi tu rentrera faut que tu te repose.

Moi : d'accord, vas-y.

Il m'a fait un petit câlin et est partit. Je suis entrer dans la chambre et je me suis assis sur la chaise.

Je me suis mis en face d'elle et j'ai pris sa main avant de lui faire un bisous dessus et de poser ma tête puis fermer les yeux.

PDV : IGHBAL

Moi : Roukaya?

Roukaya : hm...

Moi : tu m'aime?

Roukaya : quoi?

Elle se retourne et se mets en face de moi.

Moi : est-ce-que tu m'aime?

Roukaya : bien-sûr que je t'aime. Pourquoi tu me demande ça?

Moi : parce que je suis mauvais.

Roukaya : tu n'est pas mauvais. Viens , je vais te donner tes médicaments.

Moi : je n'ai pas besoin de me médicaments.

Roukaya : d'accord d'accord mais calme toi omri d'accord? Je t'aime moi et peu importe comment tu es, moi je t'aimerai toujours.

Moi : ....