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PDV : FARID

Après plusieurs minutes d'attente, les médecins sortent enfin.

Je me lève immédiatement et vas vers eux.

Moi : comment vas t-elle?

Docteur : je suis désolé. Nous n'avons rien pu faire, votre femme est décédé suite à un arrêt cardiaque.

Moi : ....

Kheti : *pleure* elle est morte....elle est morte!

Mon monde s'ecroule. Mon coeur se lâche. Je n'ai plus la force de me lever et de prendre conscience.

Une femme. Celle que j'ai toujours désiré. Celle qui m'a donner l'espoir d'être père un jour. Celle qui a sacrifié son monde pour le mien. Ma femme.

Kheti : tout ceci est de votre faute. Vous l'avez tuée *pleure* ils ont tuer ma fille.

Sélim : vient mama. Restons pas là.

Il aide sa mère puis ils s'avancent vers un autre banc. Imen et Roukaya s'approchent de moi.

Roukaya : ...je suis désolé.

Moi : ....

Imen : Farid? Tu dois pleuré et faire sortir ta peine. Ne te laisse pas assombri par ta tristesse.

Moi : ....

Imen : Farid...

Moi : ....

Imen : Farid....

[~~~]

??? : tu m'entends?

Moi : ....

Dalayla : Farid?

Je me tourne vers elle et l'a regarde.

Moi : tu vas bien?

Dalayla : oui je vais bien.

Moi : t'es sûre de toi?

Dalayla : mais oui!

Moi : ... Je t'aime mon amour.

Dalayla : je t'aime aussi Farid.

Moi : j'ai eu tellement peur de te perdre.

Dalayla : oui mais je ne suis pas partie. Je suis belle et bien vivante. Tu me vois non?

Moi : oui...

Dalayla : viens je te fais un bisous.

Je me suis approcher d'elle, elle m'a fait un bisous sur la joue. J'ai pris sa main.

Flash-back :

Inf : elle a besoin de réanimation. Son coeur est entrain de lâché.

Elle est entrée dans la chambre. J'ai entendu les machines faire des bruits.

Je me suis assis au sol tout en me tenant la tête. Imen est venu me rejoindre.

Imen : ne t'inquiète pas , ta femme est forte.

Moi : ....

Imen : ....

Khelti : Farid?

Moi : ....

Khelti : wouldi lève toi. Elle ne vas pas aimer qu'on soit comme ça. Faut qu'on soit forts et que l'on ne pense pas au malheur.

Moi : ...

Sélim : vas-y lève toi.

J'ai levé la tête. Il m'a aider à me lever avant de me prendre dans ses bras. Au même moment, les médecins sortent de la chambre.

BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant