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PDV : FARID

Fadi : nous sommes fier de toi petit frère.

Moi : merci.

Fathi : j'ai toujours eu confiance en ta performance. Ce dossier était lourd.

Moi : vous ne pouvez pas imaginez le soulagement que j'ai eu lorsqu'ils l'ont signer.

Fadi : je te comprends parfaitement , étant donner qu'on a faillis les perdres.

Moi : heureusement que ce n'est pas arriver.

Fadi : si seulement ton savoir parler marchait sur Dalayla.

Moi : Dalayla est têtue aucun homme ne peux lui enlever ça.

Fathi : moi je la comprends. Elle à le droit de prendre son temps avant de vouloir revenir avec toi.

Moi : elle aura tout le temps qu'elle voudra. Moi je l'attendrai.

Fathi : c'est ça. C'est juste une question de patience.

Moi : ouais.

Fadi : tu crois qu'elle te reviendra ?

Moi : je ne sais pas.

Eux : ....

Fathi : bon je vais y aller.

Fadi : d'accord.

Fathi : euh...Fadi pour l'arrivée du tunisien demain n'oublie pas.

Fadi : oh non ! Je dois accompagner Hawa chez son gynéco.

Moi : je peux les accueillir Fathi.

Fathi : c'est parfait !

Moi : ouais ! Tu m'en dois une Fadi.

Fadi : je t'amenerai Dalayla.

Ils se sont mis a rire puis ils sont partits. J'ai pris mon carnet et j'ai noté l'arrivée du consulteur tunisien. J'espère qu'il sera un mec correcte. On doit à tout prix les convaincres , c'est déjà bien qu'ils aient signaient alors s'ils voient ce qui leurs plaie dans l'entreprise, on peux être sûr de gagner des millions par mois....

Le lendemain:

J'ai mis ma cravate puis je suis sortis de la chambre. J'ai bu du café vite fait puis j'ai pris la plus neuve de nos voitures d'entreprise avant de prendre la route de l'aéroport.

(...)

Cela faisait plusieurs heures que j'attendais. Je voulais être a l'heure mais je crois que je suis trop a l'avance. J'étais même entrain de dormir dans ma voiture. Je m'étais réveiller tôt ce matin.

J'ai posé ma tête sur la vitre puis je me suis mis a dormir. J'étais bien là mais il a fallut qu'une femme vienne tapé sur ma voiture. J'ai levé la tête. C'était une femme , comment vous dire ? Elle était belle je vous le jure... yeux bleus cheveux rousses et un teint presque caramels.

Elle : vous êtes de l'entreprise *****.

Moi : euh...oui oui.

Elle : figurez vous monsieur que ça fait des heures que je suis ici. C'est ça que vous appelez ponctuel ?

Je suis descendue de la voiture. Là je suis dans la merde. Elle me regardais. Puis sans comprendre, elle a éclaté de rire. Wesh elle est conne ? Sous la nervosité je me suis aussi mis à rire. Elle en avait les larmes aux yeux. Je comprenais vraiment pas son attitude.

BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant