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Je vous passe 1 mois , rien avait changer dans ma vie. J'ai perdue mon enfant , mon mari et ma mère. Faut croire que je suis malchanceuse...

Comme je l'ai dis , rien avait vraiment pas changer. Chaque jour c'était la routine ,  manger dormir encore manger et dormir. Je ne sortais plus , ça faisait tellement longtemps que je n'étais pas sortie. Les courses c'est Faysal qui s'en chargeait.

Mes frères ne cessaient de m'appeler mais je refusais leurs appels. Je sais qu'à l'attente de leurs voix , je vais pleurer comme une petite fille et c'est ça que je veux éviter. Ne pas pleurer et rester forte.

L'argent que m'avait envoyer l'inconnue je n'y avais pas toucher. Il avait envoyer la même somme ce mois ci mais je reste sur mes gardes. Je ne veux pas être nourris.

Je savais qu'il me fallait d'abord avoir un travail et ensuite je pourrais voir ce que je peux gagner et déménager encore une fois.

Certes je n'arrêtait pas de penser à Farid. Il me manque tellement...

Aujourd'hui je me suis réveillé avec des vertiges. A chaque pas , je me fatiguais alors j'ai appeler Faysal. Je reconnais cette sensation et je priait fort à l'intérieur de moi pour pas que cela soit vrai.

Je ne serais pas prête à porter l'enfant de Farid. Il m'a dit que... Non je veux pas.

30min après , Faysal est apparue devant moi.

Faysal : qu'est ce que t'a ?

Moi : j'ai des vertiges depuis ce matin.

Faysal : allons à l'hôpital.

Moi : oui bien-sûr. Je veux être sûre que je ne suis pas enceinte.

Faysal : enceinte ? Mais ça sera une bonne nouvelle qui amènera Farid vers toi.

Moi : non je ne veux pas. Je ne veux plus qu'il revient. Il peut bien rester là-bas.

Faysal : dis pas ça.

PDV : ROUKAYA

L'hôpital psychiatrique m'avait appeler aujourd'hui pour m'annonçais que mon mari allait sortir aujourd'hui. J'étais heureuse de pour l'accueillir à bras ouvert. Il m'a tellement manquer.

Le portail s'est ouvert et c'est avec le sourire jusqu'aux oreilles que je me suis jeter dans ses bras. J'ai fermer les yeux en pleurant de joie et de tristesse.

PDV : AHLEM

Moi : Farid ?

Farid : oui mon amour.

Moi : est ce que tu m'aime ?

Farid : tu doutes de mon amour ?

Moi : j'ai besoin de l'attendre !

Farid : calme toi. Tu sais bien que je t'aime.

Moi : ah oui ? Et Dalayla ?

Farid : Dalay....

Il a arrêter de parler.

Farid : c'est Dalayla...que j'aime...

Moi : QUOI ?

Farid : ....

Je me suis levé et j'ai pris le fétiche. Il m'a regardé.

Farid : c'est quoi ça ? Qu'est ce que tu fais ?

Moi : *Oublie Dalayla*

Il s'est tenu la tête avant de perdre l'équilibre et de tomber. Je me suis mise à trembler.

BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant