BONHEUR DE MALHEUR... [TERMINÉE]

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Moi : merci Jalal.

Jalal : ce n'est rien. C'est tout a fait normal.

Moi : ....

Jalal : t'es sûre que ça va ?

Moi : oui. Ça m'a juste fait un truc de le revoir.

Jalal : ah oui ?

Moi : oui. Bon je vais y aller.

Jalal : d'accord. A bientôt.

Moi : bye.

Je suis descendue puis j'ai fermé la portière. Je suis rester dehors pendant quelques minutes puis je suis rentrer dans mon appartement. J'ai eu beaucoup d'appels manqués mais je les regarderais plus tard.

J'ai  pris un petit carnet avec un stylo. Puis j'ai commencé à acrire. Je voulais tout mettre en ordre dans ma tête.

Le lendemain , je me suis réveillé super tôt. La première chose que je dois faire est de m'occuper de ma grossesse. J'avais certes mal au coeur parce que je me vois contrainte de signer les papiers de divorces. Je vais laisser le destin faire les choses.

Je me suis habiller vite fait puis je suis aller voir ma gynécologue. Après 5 min d'attentes, c'était en fin a mon tour.

J'ai toqué à la porte avant de rentrer.

PDV : IMEN

J'étais dans ma chambre. J'ai essayer de joindre Dalayla a plusieurs reprises mais elle ne répondait pas.

Je me sentais inutile dans mon mariage. Je ne pouvais ni enfanter , ni empêcher mon mari d'aller voir ailleur. Si j'avais eu un enfant , ça aurait sûrement pu l'empêcher de se marier mais je n'y pouvais rien.

Je n'étais pas contre son mariage avec Hawa mais fallait que je reprenne mes esprits et miser sur mon amour pour lui. Je connais Fadi , ce n'est pas un tricheur , quand il dit qu'il aime Hawa mais qu'il m'aime encore plus je ne peux que de le croire.

La porte s'ouvre. C'était Medina et Roukaya.

Médina  : ça va ?

Moi : oui.

Médina : t'es sûre ?

Moi : oui je vais bien t'inquiète pas.

Médina : c'est l'essentiel. Tu ne dois pas te sentir mal pour ça.

Roukaya : ne dis pas ça Médina. Mets toi a sa place.

Médina : c'est vrai mais ça aurait pu être pire. Il pouvait fuir ses responsabilités et s'en aller avec Hawa mais il la pas fait parce qu'il t'aime.

Moi : ....

Roukaya : Médina a raison. Fadi t'aime éperdument. Tu as tellement de la chance de l'avoir dans ta vie...

Moi : ...

Médina : tu restera sa préféré même si l'autre lui donne des milliers d'enfants. T'a été la première dans sa vie et tu le restera.

?? : c'est tout ce que je souhaite qu'elle le comprends.

Moi : ....

Fadi : ....

Je me suis levé puis je suis aller dans ses bras. On a fait un long câlin. Il m'a laisser et m'a fait un bisous au front.

Fadi : je t'aime.

Moi : *rire* je t'aime aussi.

On s'est refait un autre câlin.

PDV : AHLEM