OS Sergio Ramos #41

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Sergio Ramos

J'ai apprit ma maladie il y a maintenant 1 ans.  Sa peux paraître bizarre de savoir que je continue de jouer ainsi, mais dans ma vie j'ai 1 devise.

The show must go on
Le spectacle doit continuer

C'est donc pour ça que je me bas du mieux que je peux.  Depuis 1 ans je vien sur le terrain en sachant pertinnement qu'a tout moment tout peur dérapé.

Bien sûr les médicaments aide, je ne peux pas le nier. Mais malgrès tout j'ai toujours cette boule au ventre avant d'entrer sur le terrain.

Que se soit en nationale ou en club, j'ai peur de ne pas gérer.

C'est dur d'imaginer ces 2 équipes sans moi. Mais parfois........parfois j'imagine que sans ma présence nocive, tout le monde se porterais bien mieux.

Parfois l'autre moi, celui dont je n'ai pas conscience, mais qui prend ma place au quotidien s'amuse à brisé tout ce que j'ai construis au fil des années et de dur labeur.

Je suis comme sa depuis petit, mais jamais aucun médecin n'as su mettre des mots sur le mal qui me ronge.

Inside my heart is breaking
A l'intérieur mon coeur est en train de se briser
My make-up may be flaking
Mon maquillage est peut-être en train de s'écailler
But my smile still stays on
Mais mon sourire reste encore

Quand j'ai enfin apprit de quoi je souffrais depuis maintenant plus de 30 ans ma femme a eu peur.

Elle m'as dit qu'elle avait peur de moi et que j'était un danger pour nos enfants. Je l'ai prié de rester un nombre incalculable de fois, dieu seul sais le nombre de larme que j'ai verser.

Puis un jour en rentrant de l'entraînement, j'ai trouver la maison totalement vide des doux rires de mes enfants.

Elle était donc partit, sans même me dire aurevoir. Et avec, comme seul explication, un morceau de papier où il était inscrit :

"Tu es dangeureux, tu ferais mieux d'être enfermer."

Mais têtu comme je suis, je n'ai pas accepter se smots une seule seconde. Mais son départ m'as apprit une leçon.

Je dois cacher ma maladie si je veux pouvoir continuer à vivre.

C'est donc ce que j'ai fais. Je n'ai rien dit à mes amis, à mon entraîneur, à mes coéquipiers et à mes dirigeants.

J'espère juste que tout se passeras bien, je croise les doigts.

Whatever happens I'll leave it all to chance
Quoiqu'il arrive je laisse tout ça à la chance

Les jours de match je me contente de sourire, de prendre mes médicaments et de prier pour que Infierno ne fasse pas son apparition sur le terrain.

C'est dur de se dire que je ne suis conscient de rien. Quand c'est lui qui prend le dessus sur moi, ma vraie personnalité s'évanouie, pour laisser place à se fou furieux.

Il est totalement l'inverse de moi.

Dans la vie je suis quelqu'un de souriant et gentil. Mais lui c'est le genre impulsif et violent.

Je sens bien que depuis petit je ne suis pas normal, mais je n'arrivais pas à savoir se qui n'allais pas.  C'est comme si j'étais a la fois conscient et inconscient de se qui m'arrivais.

Puis un jour lors de mon adolescence, j'ai craquer et l'autre homme en moi à prit le pouvoir et à tabasser un homme.

Il l'as laisser pour mort dans une rue de Madrid.

Recueil d'os FootOù les histoires vivent. Découvrez maintenant