OS Virgil Van Dijk x Marcus Rashford #64

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ATTENTION !! Ce texte est la suite du numéro 48 que j'ai sortie cet été. Je n'ai jamais trouver l'envie ou le temps de faire la suite mais maintenant avec cette histoire de confinement je peux.

Donc voici enfin la suite !

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L'homme au main étrangement grande me fais passer dans tout un tas de couloir, tous aussi morbide les uns que les autres.

J'ai un immonde goût de bile qui remonte doucement le long de ma gorge et les cris que j'entend de part et d'autre du couloir me font encore plus peur.

Je ne suis pas comme ça, pas comme eux. Je suis normal moi.

Est-ce-que le fait que j'ose  me griffer un peu me condamne à rester enfermer auprès de personne qui sont 2, 3 voir même 4 dans leur tête.

D'autre qui sont même entrain de parler aux murs. Je peux le dire parce-que je l'ai vue !!

Une larme coule sur ma joue sans que je ne le veuille spécialement mais soit.

L'homme qui voulait que je le suivent bien sagement se stoppe.

-Voici ta nouvelle chambre Marcus, tu sera en colocation avec Virgil. Tu vera il est très calme, il ne parle pas beaucoup mais il est sain d'esprit. Nous n'allions pas te mettre avec quelqu'un qui n'est pas du même état psychologique que toi. Ici nous essayons d'adapter les chambres pour que le séjour se passe au mieux.

Je ne dit rien et il m'invite à ouvrir cette porte, ce que je fais bine-sûr sans rien dire.  Lorsque le battant s'ouvre.

Je vois un métis assis sur l'un des deux lit et il lève sa tête et me souris , mais je sens que derrière son sourire, il y a énormement de douleur.

-Je te présente donc Virgil. Je vais vous laissez parler et Virgil.

Ce dernier regarde Olivier.

-Oui ?

-Je vais vous laissez faire connaissance et si vous voulez visitez vous pouvez, mais pour le repas emmene le à la salle de réféctoire. En plus à midi le repas se compose de courgette et de nuggets de poulet, donc ne soyez pas en retard.

-Oui d'accord, je m'occupe de lui montrer tout ce qu'il faut ne t'en fais pas.

-Merci, bon allez je vous laisse j'ai pas mal de paperasse à faire.

Il repart en prenant grand soin de fermer la porte. Virgil vien me serrer la main en souriant.

-Enchanté, Marcus c'est ça ?

-Oui.

Je scrute la chambre du regard et vois des choses toujours plus banal sauf des produits d'hygiènes féminines qui attire mon regard.

-Euh Virgil, il y a une fille dans cette chambre ?

Il ne semble pas avoir vu ce que je regarde.

-Non nous sommes que tout les deux pourquoi ?

-Pourquoi y a des tampons et tout alors ?

Il se redresse et rougis fortement.

-Oh euh je......c'est à moi.

Je fronce mes sourcils.

-A toi ?

-Oui, je...je suis hermaphrodite...

-Oh je vois, pardon.

Je me sens grave gêner.

-Nan ne t'en fais pas, j'ai beaucoup moins de mal à le dire maintenant. C'est pour ça que je suis là enfaite. J'ai voulut me tuer à plusieurs reprise tout ça parce-que des mecs de mon école ont eux la magnifique idée de m'enfermer dans les douches et de me tripoter jusqu'à ce que je les supplies d'arrêter.

J'écarquille grand mes yeux et pose ma mains sur son bras.

-Je suis vraiment désolé pour toi, c'est absolument horrible ce que tu as dû vivre.

-Ouii c'était horrible, mais tant pis. J'ai apprit à passer autre chose. Tu sais ici les gars sont bien, les médecins sont gentil et Olivier s'occupe bien de nous. Tu veux bien me dire pourquoi tu es ici ?

-Oh eh bien disons que j'ai la facheuse tendance de me griffer la peau.

-Je vois, tu as donc beaucoup de marque. Tu vis toujours avec ton sweat sur le dos ?

-Oui, je n'ai pas le choix. Je n'ai pas envie que tout le monde voit mes marques. 

-Tu sais un jour tu sera assez fort pour oser mettre des tee-shirt ou te balader torse nu. Je ne te cache pas que ça prendra du temps, mais le travail paie. Au début je n'assumer absolument pas qui j'étais et maintenant regarde...j'ai carrement laisser mes protections comme ça alors que l'on m'as dit que tu aller arriver aujourd'hui. Je te le garantie Marcus, tu ira mieux et cet hôpital vas t'y aider même si tu pense le contraire.

Il se lève et me tend sa main.

-Aller vien je vais te faire visiter et surtout je vais t'emmener à l'accueil parce que ces andouilles en t'on pas donner ton bracelet.

Je fronce mes sourcils.

-Comment ça un bracelet ?

-Oui ici enfaite on fonctionne par bracelet. Pour pouvoir rentrer dans la salle de jeu, la cours , le repas. Nous ne sommes mit que avec des gens qui ont la même couleur que nous, comme ça, ça nous évite de nous retrouver avec des meurtriers fou furieux.

J'avale difficilement ma salive et le regarde.

-Parce que y'a des meutriers ici ?

-Oui mais ils sont dans l'aile D. Nous ici nous somme dans l'aile A, qui est donc la verte et la plus safe. Ici tu ne irsque absolument rien ne t'en fais pas.

-Mais toutles cris que j'ai entendu en venant ?

-Ah, ba ça c'est Olivier qui t'as fais passer par un des couloirs de l'aile C. Je ne sais pas pourquoi il fait ça mais bon ce n'est pas grave. C'est pas chez nous en tout cas. Iic aucun gars est dangeureux et franchement je pense que tu pourrais te faire pas mal de pote parmis nous.

-Si tu le dit, bon on peux y aller s'il te plaît, cette putain de chambre me fou la chair de poule.

-Oui okay, mais reste prêt de moi juste au cas où.

-Okay.

Je le suis alors dans tout les nombreux couloirs sans écouté ce qu'il dit. Mon esprit se remet à vagabonder et mon envie de repasser ma lamae sur mon corps me reprend.

Je me stoppe et sans lui dire quoiq que ce soit je fonce en courant à notre chambre. Je cherche partout quelque chose qui pourrais faire l'affaire et retourne même nos matelas pouvoir si y a pas quelque chose dans le sommier qui ferai l'affaire mais rien.

Je m'ecroule en plein milieu de la chambre, en larme et me met à gratter ma peau jusqu'à ce que le sang coule.

Mais je suis bien vite rejoins par Virgil qui vien se mettre à mes côtés et me prend dans ses bras, il me berce doucement.

-Virgil donne moi une putain de lame !!

-Nan je ne ferais pas ça, tu ne dois plus te marquer.

-SII !!! JE DOIS LE FAIRE POUR ME SENTIR BIEN !!

-Nan.

Sans que je n'ai le temps de dire quoi que ce soit il me retire mon sweat et mon tee-shirt.

-Regarde toute tes traces ! Tu crois que c'est ça qui te fais du bien ?

-J'en ai besoin ! J'ai besoin de me faire mal.

-Et pourquoi Marcus ?

Sa voix se fais plus douce.

-Pour m'aider à oublier ce que j'ai vécu......................


Recueil d'os FootOù les histoires vivent. Découvrez maintenant